Absolu
Le dieu qui les conduisait n’était certainement pas l’Absolu mais un des innombrables archontes :
Disons cependant que la race juive, dès que commença sa marche et son développement, fut à l'évidence une organisation des archontes des éons, comme tous les autres groupes raciaux d'ailleurs. Le dieu qui les conduisait n'était certainement pas l'«Absolu», mais un des innombrables archontes auxquels incombait la direction de notre planète pour un temps plus ou moins long. Vous en trouverez la preuve dans le Deutéronome, chapitre 32, chapitre connu sous le nom de Cantique de Moïse. Aux versets 8 et il est dit:
Quand le Très-Haut donna un héritage aux nations,
quand il sépara les enfants des hommes,
il fixa les limites des peuples
d'après le nombre des enfants d'Israël;
car la portion de I 'Eternel,
c'est son peuple, Jacob est la part de son héritage.
P.S. ch 11 - 182, 183
Ce Seigneur c’est donc pas l’Absolu mais le di de l’alliance avec Israël : Jéhovah :
Ce seigneur n'est donc pas l'«Absolu », mais le dieu de l'alliance avec Israël: Jéhovah. Et il est clair que tous ces sémites, sous une direction surnaturelle de cette sorte, témoignaient sans cesse leur reconnaissance:
Je (Moïse) proclamerai le nom de l'Eternel. Rendez gloire à notre Dieu! (Deut. 32, 3).
L'Eternel seul a conduit son peuple. Et il n'y avait avec lui aucun dieu étranger (Deut. 32,12)...
P.S, ch 11 - 183
L’homme vit l’attouchement de l’Absolu dans son propre soi :
C’est dans son propre soi que l’homme peut vivre l’attouchement de l’Absolu. Le Soi universel, l’Esprit divin est enfoui en l’homme. Et bien qu’endormi en un état déchu, il attend d’être réveillé. C’est la clef cachée de la Sagesse de Dieu enfouie dans le Monde et l’humanité. Nous ne pouvons pas parler de l’essence de ces choses. Nous ne pouvons la saisir en image ou en paroles. Chaque tentative ne peut être qu’une indication, mais ne touche pas l’unique Essence sublime. Et si nous cherchons à la projeter à l’extérieur, ceci devient pour nous une illusion, de même que toute projection reste enchaînée à la matière, et partielle.
Pent n°1 1980/10