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L'ENERGIE VIBRATOIRE DES ONDES DE FORME
1. Les ondes cosmo-telluriques
2. Les ondes de forme
3. Les ondes humaines
4. L'énergie des pyramides
5. Quelques découvertes
Depuis quelques années, nous entendons de plus en plus parler d'ondes de forme, d'ondes cosmo-telluriques, de magnétisme ou encore d'influence à distance et de projection active de la pensée. Au gré des fluctuations du mouvement New Age (qui devient cependant de plus en plus une simple mode), les articles fleurissent aussi bien dans les revues spécialisées que dans les magazines populaires; les livres sur le sujet, auparavant de diffusion modeste, commencent à se faire une petite place au soleil sur les rayons surchargés des librairies.
Nous verrons que si ces mystérieuses ondes ne sont pas la panacée vantée par quelques-uns, elles ont toutefois des applications pratiques non négligeables dans la vie courante. Mais tout d'abord, il nous faut faire un peu mieux connaissance avec ces « forces » étranges et déroutantes que sont les « ondes de forme » . Précisons dès maintenant que le terme d' « ondes » est peut-être impropre; leur nature n'étant pas définie. On les désigne également comme des « vibrations de faible énergie ». L'expression ondes de forme a été forgée en radiesthésie par MM. Chaumery et de Bélizal â partir de leurs recherches.
À quoi correspondent-elles? C'est très difficile à dire précisément. Les ondes de forme sont d'étranges phénomènes que l'on n'arrive pas (encore) à classifier. Au mieux peut on les apprivoiser pour s'en servir. À dire vrai, beaucoup de chercheurs et d'auteurs se sont penchés, au cours des siècles, sur ce phénomène. Ils l'ont constaté, l'ont étudié... mais n'ont pu en donner aucune explication qui soit unanimement acceptée. Peut-être les progrès de la physique dans les années à venir (et quand les scientifiques daigneront officiellement s'intéresser au problème) nous apporteront ils une réponse, mais pour l'heure les ondes de forme restent pudiquement voilées. Ainsi ne nous préoccuperons nous pratiquement pas de cet aspect de la question. Notre propos est de présenter un guide pratique de l'utilisation des ondes de forme dans la vie quotidienne, et nous nous en tiendrons essentiellement à cela.
Selon la théorie, ces ondes invisibles à l'oeil humain, d'origine inconnue, sont partout présentes. Comme les autres ondes, elles nous investissent, nous pénètrent dans les moindres fibres de notre corps. sans que nous en ayons conscience. Toutefois, elles ne sont pas encore, en l'état actuel de nos connaissances, clairement situées dans le spectre électromagnétique.
Tout ce qui a forme dégage de l'énergie, émet des ondes de forme qui agissent sur nous, en bien ou en mal, tant au plan physique que psychologique.
Toute onde, toute émanation de forme peut se localiser ou se re localiser dans d'autres formes. Inversement, toute forme émet une onde ou en capte d'autres.
En principe donc, toutes les formes, qu'elles soient bidimensionnelles (dessins, photos) ou tridimensionnelles (objets, meubles, maisons), émettent des ondes dites « de forme ». Personne n'a pu prouver la justesse de cette théorie (par ailleurs assez discutable), mais l'existence de ces « ondes », quelles que soient leur nature et leur origine véritables, ne semble pas devoir être mise en doute. Des expériences nombreuses (mais non reconnues officiellement, précisons le) ont montré leur existence et leur influence.
1. Les ondes cosmo-telluriques
L'influence des ondes dites « cosmo-tellurique », qui ne sont rien d'autre que l'action conjuguée des ondes cosmiques et de courants telluriques, est connue depuis longtemps.
Depuis des millénaires, les Orientaux, en particulier les Chinois et les Japonais, pensent que des courants invisibles traversent le monde physique. Ces énergies sont à la fois positives et négatives.
Le chi positif doit s'équilibrer avec le sha négatif. Le chi doit pouvoir emprunter une trajectoire sinueuse, tandis que les lignes droites du sha doivent être détournées pour les empêcher d'être néfastes. L'art de localiser les courants et de neutraliser ceux qui sont négatifs s'appelle le Feng Shui.
Au Japon, aucun édifice important n'est bâti sans autorisation de l'expert en Feng Shui. Même les particuliers y ont recours. Selon ces spécialistes, les voies sinueuses provoquent la chance et les voies rectilignes la malchance. C'est pourquoi dans les habitations, on arrête les lignes droites en disposant des miroirs ou des paravents.
L'Europe a également connu une technique similaire d'auscultation des sols : la géomancie.
Autrefois, on ne bâtissait pas une ville sans faire auparavant appel au géomancien pour tracer un relevé des courants bénéfiques et maléfiques.
Au début des années 1920, l'Anglais Alfred Watkins remit à l'honneur ces techniques. Il pensait que des voies rectilignes avaient été tracées à l'époque néolithique (4000/2000 avant notre ère) selon un système géomantique qui visait à les conformer à certains parcours de l'énergie vitale, appelés «ondes de forme telluriques ». Tous les monuments sacrés, comme les cercles de pierres, tel celui de Stonehenge, puis plus tard les églises (souvent bâties sur d'anciens sites païens), étaient situés sur ces parcours. Ces alignements sont parfaitement visibles sur une carte d'état-major. Les sites mégalithiques de toute l'Europe suivent ce même principe. Les alignements de Carnac, en Bretagne, sont placés sur des failles géomagnétiques, comme l'ont montré des études récentes. Notre moderne géobiologie, très en vogue depuis quelques années, n'est pas autre chose qu'une réactualisation plus scientifique de ces techniques ancestrales..
L'être humain, qui est une antenne par ses bras et ses mains et une prise de terre par ses pieds, est sensible à ces courants cosmo-telluriques. Focalisées par nos capteurs biologiques, ces énergies sont assimilées par notre corps énergétique (aura) qui les répercute sur notre corps physique. La médecine holistique (non reconnue officiellement) a clairement montré que notre corps énergétique est le plus sensible : il est donc malade ou guéri avant notre corps physique. La géobiologie (comme les sciences de pointe) permet de prendre conscience de ce que les Anciens savaient parfaitement, quoique de façon intuitive, c'est-à-dire qu'il existe un lien intime, une interdépendance entre les particules et les atomes de la Terre et du Cosmos, et ceux composant notre corps. La science se teinte ainsi non de mysticisme, mais de spiritualité. Cette approche holistique a permis de faire progresser la science dans des voies ignorées auparavant. C'est ainsi que les travaux de différents chercheurs ont mis en évidence l'existence de notre corps énergétique qui est le champ électromagnétique, ou aura, de notre corps physique. Cette énergie a pu être mesurée et matérialisée sur une plaque photographique par le procédé Kirlian (haute fréquence), ou encore celui de la spectroscopie (basse fréquence), à partir des travaux du Centre international de Médecine quantique.
Les courants telluriques sont des courants magnétiques, c'est-à-dire des phénomènes vibratoires auxquels notre corps énergétique est sensible. Si un lieu est déséquilibré ou chargé d'énergie « maléfique » (à cause de la constitution ou de la configuration du terrain), cela est perçu par notre champ bio électromagnétique qui répercute l'information sur notre corps physique qui, à son tour, développe maladies ou troubles. En effet, toute la Terre est parcourue par des courants magnétiques qui se croisent en un maillage (tel le célèbre réseau de Hartmann), avec des points telluriques où les intensités sont plus ou moins fortes. Ces points créent des axes magnétiques qui véhiculent l'énergie tellurique. Celle-ci se propage ensuite en empruntant des failles géologiques ainsi que certains types de gisements, tels ceux de quartz. Le réseau couvre toute la planète, créant des zones neutres, des lieux bénéfiques à la santé et au bien-être, et des endroits « maléfiques » générateurs d'ondes nocives. Impossible donc d'y échapper. Et l'influence du champ magnétique de la Terre, de l'atmosphère et des ondes cosmiques complexifie encore le phénomène.
Normalement, les couches atmosphériques filtrent les rayons cosmiques et nous protègent des ondes électromagnétiques ultracourtes et ultra pénétrantes engendrées par le vent solaire, mais dans certains cas, ces énergies venues du Cosmos peuvent interférer avec les courants telluriques et donner naissance à des hauts lieux cosmo-telluriques dont l'intensité énergétique varie avec la position du Soleil et l'activité solaire (orages magnétiques, protubérances, etc.. Il va sans dire que les déséquilibres de la biosphère, engendrés par les activités polluantes de l'être humain (en particulier la destruction de la couche d'ozone protectrice par les gaz C.F.C.-chlorofluorocarbone -et autres produits chimiques), perturbent les réseaux énergétiques. Il en va de même dans les habitations où, en plus de la nature du terrain et de la présence éventuelle de failles ou de cours d'eau souterrains, les matériaux de construction et les flux électromagnétiques des appareils électriques et électroniques agissent sur les courants cosmo-telluriques, et peuvent générer des ondes de forme ayant un effet néfaste sur la santé aussi bien physique que psychologique (par exemple les « maisons à cancer »).
Des recherches menées depuis le début du siècle en Europe, aux Etats-Unis et dans l'ex-U.R.S.S. démontrèrent l'influence des rayonnements souterrains sur la santé de tous les êtres vivants, mais aussi sur leur comportement et leur évolution. D'une façon générale, les travaux des géobiologistes ont prouvé que l'équilibre cosmo-tellurique pouvait être perturbé par différents facteurs, géologiques, cosmiques ou humains: tempête magnétique solaire, explosion de supernova, pluie de météores ou de comètes, cours d'eau souterrain, faille géologique, poche de gaz souterraine, galerie de mine obstruée, gisement de minerais (l'uranium, tout particulièrement), mais aussi par les erreurs d'architecture, l'électrification intense, les isolations synthétiques, certains matériaux de synthèse et l'emploi excessif de masses métalliques et de béton armé.
Les points forts et faibles du réseau cosmo-tellurique semblent avoir été connus dans les anciennes civilisations qui usaient de la géomancie pour les déceler. Les circuits initiatiques empruntent souvent les points forts du magnétisme où le futur initié s'imprègne des énergies cosmo-telluriques pour développer sa puissance spirituelle ou élever son niveau de conscience.
On sait, par ailleurs, que les oiseaux migrateurs et les baleines se servent des courants magnétiques pour se diriger dans leurs migrations. Pourquoi l'être humain n'aurait-il pas une telle sensibilité ?
Les hauts lieux initiatiques sont également placés en des sites où le magnétisme cosmo-tellurique est élevé. Les anciens constructeurs de mégalithes, de pyramides et plus tard de cathédrales semblent bien avoir eu connaissance de ces phénomènes naturels que nous redécouvrons aujourd'hui. Ces connaissances anciennes nous sont parvenues sous forme de traditions et de légendes. Ainsi, les courants telluriques, la vouivre des Celtes, sont symbolisés par les dragons et les serpents. Les forces cosmiques sont représentées par des aigles ou des cerfs; et les interférences cosmo-telluriques par des légendes comme celles de saint Michel ou de saint Georges terrassant le dragon, ou encore de la Vierge foulant aux pieds le serpent.
Il s'agit, en définitive, des représentations associant ou opposant des symboles solaires ou ouraniens et chthoniens (un bel exemple nous est fourni par le Cavalier à l'Anguipède gallo-romain, qui provient d'un mythe celte plus ancien).
On sait également qu'en Chine ancienne, les dragons étaient associés aux pratiques du Feng Shui, c'est-à-dire de la géomancie. Les géomanciens recherchaient les emplacements les plus favorables à l'édification des villes et des temples. Selon le Feng Shui, les courants magnétiques telluriques sont de nature négative (yin) ou positive (yang). Le courant positif était représenté par un dragon mâle et suivait normalement les lignes des hauteurs. Les routes allant ainsi de mont en mont étaient appelées lung-mei (routes du dragon). On prenait garde, en bâtissant les cités, les voies de communication ou les édifices, à préserver l'équilibre naturel des forces. Les sites étaient donc choisis pour être en harmonie avec « les courants locaux du souffle cosmique ».
L'Anglais John Mitchell, expert en Feng Shui, travaillant sur les sites mégalithiques britanniques (qui se répartissent suivant un réseau complexe correspondant aux lignes de force des principaux courants telluriques) a montré que leur tracé représentait, une fois pointé sur une carte de Grande-Bretagne, l'image approximative d'un dragon. En reliant les uns aux autres les principaux sites mégalithiques du sud de l'Angleterre, il a pu constituer un gigantesque alignement allant du Saint Michael's Mount en Cornouailles à la côte est au nord de Lowestoft, en passant par les sites de Glastonbery et Avebury. De plus, cette ligne correspond à celle du lever du Soleil au ler mai (qui marque la fête de Beltaine ou Feu de Bel, culte solaire répandu dans toute la Celtie). En suivant cette ligne d'ouest en est, John Mitchell a constaté une étonnante concentration d'éléments associés au mythe du dragon : toponymie, anciennes sculptures, légendes locales, églises et sites consacrés à saint Michel et à saint Georges... Une telle profusion d'indications relatives au dragon ne peut évidemment pas être qu'une coïncidence. Des recherches similaires menées par l'auteur du présent ouvrage en Lorraine ont donné l'image d'un gigantesque cheval surmontant un serpent cornu (ce qui est une représentation classique de la déesse Solimara chez les Leuques, peuple celte qui habitait la région).
Héritée du monde néolithique, connue des Celtes, des GermanoScandinaves, de Rome et de Byzance, la géomancie était connue primitivement en Chine sous le nom de Hing-Fa, art des formes et des situations, dont le Feng Shui est la survivance. De l'Occident à l'Orient, la trace vivace de cette géobiologie d'origine néolithique est restée sous sa forme mégalithique. Cela est particulièrement vrai pour l'Angleterre où le réseau énergétique des pierres levées est beaucoup moins abîmé qu'en France, par exemple (où il a été détruit par les chrétiens et Charlemagne). Il s'agissait de dresser un relevé de l'état énergétique des lieux en repérant les courants cosmo-telluriques, et de remédier aux éventuelles déficiences pour déterminer les meilleures influences permettant à l'être humain de vivre en harmonie avec son environnement naturel. La géomancie servait à édifier les bâtiments, les monuments, les plans des villes et des fortifications (celles de Hanoï, tracées par des ingénieurs français furent ensuite modifiées pour correspondre aux données géomantiques), mais aussi à orienter les maisons et à déterminer l'emplacement du mobilier à l'intérieur de celles-ci.
A l'heure actuelle, la science holistique occidentale redécouvre cette sagesse et ces connaissances anciennes sous le nom de géobiologie.
Selon la nouvelle physique, un haut lieu est la résultante de trois facteurs : matière, énergie, et information. Un certain potentiel d'énergie émane du lieu, favorisant la néguentropie (c'est-à-dire l'ordre) et retardant l'entropie (le désordre). Les lieux « maléfiques » agissent inversement, engendrant troubles et maladies.
Un haut lieu cosmo-tellurique est la résultante d'un «plus » physique (physique classique : atome, proton, électron). Par exemple, une interférence géologique et géomagnétique par la présence d'un courant tellurique et celle de minéraux particuliers (quartz) qui canalisent cette énergie. Il en résulte une incidence sur le champ énergétique du lieu (physique quantique: quarks), lui-même porteur d'une certaine information (physique holistique : électron /antiélectron, matière / antimatière, gravitation /antigravitation, gravité /antigravité).G.Altenbach et B.Legrais:lieux magiques et sacrés de France
L'Univers étant isomorphe, l'approche de la géomancie et de la géobiologie ne peut être qu'holistique. C'est déjà ce que professaient les alchimistes en disant que tout est dans Tout, que tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. En d'autres termes, les influences qui gouvernent l'Univers sont nécessairement les mêmes que celles qui régissent la vie sur Terre (ce qu'a d'ailleurs parfaitement démontré l'astrophysique). L'Univers est un tout qui ne peut être étudié par morcellement, mais il est également complexe, c'est-à-dire que réel et imaginaire s'y mêlent intimement. Cela a pour conséquence que toute idée, toute pensée correspond à un acte en trouvant sa réalité dans un autre système de référence, un autre plan d'existence ou une autre dimension si l'on préfère. Là est la clef de l'action à distance ou encore de la radionique (ondes de forme) ou de la télépsychie (projection mentale d' « ondes de forme » ). Là où l'homme « mégalithique » plantait ses pierres dans la Terre, l'homme « moderne » trace des schémas émetteurs qui doivent agir en véhiculant des ondes de forme.
2. Les ondes de forme
Nous avons vu que ce que l'on appelle «ondes de forme » sont des radiations électromagnétiques ou du moins que l'on considère comme telles, dont la longeur d'onde est inconnue.
Leur origine est muurelle, mais la théorie prétend qu'il est possible de les générer artificiellement à partir d'appareillages électroniques (radionique), de simples graphiques ou encore de structures tridimensionnelles.
Chaque objet émettrait donc des ondes de forme. Une telle idée peut paraître sinon étrange, du moins inhabituelle. Pourtant, de nombreuses expériences dans le monde entier semblent l'accréditer. Quelles que soient leur nature et leur origine, ces mystérieuses ondes de forme paraissent bel et bien exister, et avoir une influence sur la vie, bonne ou en mauvaise.
Il y a quelques décennies, à la suite de recherches sur les vibrations des plantes, Monsieur de Bélizal avait attaché au tronc d'un jeune pommier vigoureux une forme spéciale en bois de trente centimètres de long. Il avait eu soin d'inverser les polarités naturelles de la forme par rapport à la normale; en d'autres termes, il l'avait mise à l'envers. Au bout de trois semaines, le pommier avait perdu ses feuilles.
Au cours de l'été 1929, une nouvelle route avait été ouverte entre Brême et Bremerhaven. Un an plus tard, on dénombrait plus de cent accidents sur cette voie. Tous les accidents s'étaient produits au même endroit, au kilomètre 239, sur une ligne droite qui ne présentait aucune difficulté. Lorsqu'ils furent interrogés par la police, les survivants déclarèrent avoir éprouvé une grande « excitation » au moment où leur voiture arrivait au niveau de la borne, et senti une force les faire dévier vers le bas?côté. Les accidents continuaient au kilomètre fatidique et la police restait très perplexe, lorsqu'un sourcier du pays, Carl Wehrs, avança que la force mystérieuse n'était rien d'autre qu'un puissant champ magnétique créé par un courant tellurique. Pour apporter la preuve de ce qu'il avançait, il se rendit sur les lieux, une baguette de sourcier à la main. Alors qu'il arrivait à proximité de la borne, la baguette vola de ses mains. Comme arrachée par une force invisible, elle fut projetée de l'autre côté de la route, tandis que le sourcier faisait un demi-tour sur lui-même! Wehrs appliqua sa propre solution au problème. Il enterra un coffre de cuivre rempli de petits morceaux du même métal en forme d'étoiles, juste à la base de la borne. Trois semaines durant, le coffre resta là et on ne dénombra plus aucun accident. On le retira, et les trois premières voitures qui passèrent eurent un accident. Le coffre de nouveau replacé, il n'y eut plus de drames à la hauteur du kilomètre 239.
Ces exemples illustrent la puissance et l'efficacité des formes maniées en connaissance de cause, ainsi que la variété d'utilisation des ondes de forme.
Nous verrons au cours de cet ouvrage comment créer des graphiques actifs « générant » des ondes de forme, comment se protéger des radiations maléfiques, ou encore l'utilisation mentale de ces ondes, car le corps humain possède lui aussi un champ magnétique propre.
3. Les ondes humaines
Les ondes humaines sont ce que nous appelons le magnétisme. Si l'existence d'un champ bio?électromagnétique autour des corps vivants (humains, mais aussi animaux et plantes) est aujourd'hui prouvée, force est de reconnaître que nous ignorons à peu près tout de la nature de ce que nous désignons comme « magnétisme humain ». Pour comprendre cette terminologie, il faut remonter deux siècles en arrière, à l'époque dite « des Lumières ».
Alors que Mesmer se faisait connaître par ses recherches sur les guérisons par l'imposition des mains, Gauss mesurait le champ magnétique de la magnétite ou pierre d'aimant. On fit immédiatement le lien entre ces deux phénomènes, magnétisme minéral et influence émanant des corps vivants. C'est pourquoi Mesurer choisit le terme de « magnétisme animal » (il ignorait que les végétaux étaient aussi concernés) pour désigner cette « force » connue depuis longtemps. Mais tout cela sentait trop la magie en ce siècle des Lumières, et Mesmer ne put faire reconnaître son étrange « découverte » à la science balbutiante de l'époque.
Au cours du temps, de l'Antiquité à nos jours, cette force
inconnue qui permet l'action de l'esprit sur la matière, que l'on appelle improprement les « phénomènes paranormaux », a reçu de nombreuses dénominations, comme nous le voyons sur le tableau page suivante.
Ce phénomène, quelles que soient son origine et sa nature, est perçu comme une énergie qui baigne l'Univers tout entier et toutes ses manifestations (minéral, végétal, animal, humain, structure atomique...), à des niveaux vibratoires différents.
Sa nature, si l'on en croit certaines recherches scientifiques actuelles (Émile Pinel, Jean-E. Charon, Costa de Beauregard, Boris Presman...), serait électromagnétique (corpusculaire et/ou ondulatoire). Selon les mesures effectuées par Boris Presman, sa longueur d'onde serait à une marge inférieure à celle des rayons X.
Un large champ d'investigations s'est ouvert à la science de pointe, et les recherches ont permis une avancée non négligeable en ce domaine. Peu à peu, cette force énigmatique, que nous appelons dans cet ouvrage, par simple commodité, rappelons-le, « ondes de forme » ou « champ de forme », livre ses secrets. Nous rendrons brièvement compte plus loin de ces recherches qui nous permettent de mieux cerner le phénomène, même s'il est encore très mystérieux.
DIFFÉRENTES DÉNOMINATIONS DES PHÉNOMÈNES PARANORMAUX
Chine antique : Énergie vitale.
Inde ancienne : Prâna.
Polynésie, religion Huna : Mana.
Celtie, Gaule : Fleuve de Vie.
Paracelse : Munis ou Fluide astral.
J.-B. Van Helmont : Magnale Magnum.
Mesurer : Magnétisme animal.
Reichenbach : Force Odique.
Keely : Force Motrice.
Blondlot : Rayon N.
L.-E. Eeman : Force X.
Radiesthésie : Force rhabdique ou éthérique.
Radionique : Onde de forme ou champ de forme.
Parapsychologie soviétique : Énergie bioplasmique.
Parapsychologie tchèque : Énergie psychotronique.
É. Pinel : Champ unitaire causal.
J.-E. Charon : Éons.
Physique quantique d'avant-garde : Ondes quantiques.
Nous savons déjà qu'il est inhérent aux êtres vivants (magnétisme animal), qu'il se manifeste également en dehors d'eux (ondes de forme), qu'il prend diverses apparences (ondes cosmotelluriques, télépathie, télépsychie ...), et qu'il pourrait être véhiculé par les formes, que celles-ci soient physiques ou mentales.
Les travaux modernes sur le magnétisme ont commencé avec Hector Durville. Cette théorie du magnétisme avait déjà été défendue par Lucrèce et son maître Épicure, par Démocrite, Platon, les pythagoriciens et Descartes. Cuvier, Lord Kelvin (avec ses atomes tourbillons), Félix Le Dantec, Bohn et Lartigue s'en sont également faits les défenseurs. Cuvier écrivait :
L'être vivant est un tourbillon à direction constante dans lequel la matière est moins essentielle que la forme.
Ces tourbillons moléculaires, conformément aux théories de Helmholtz, Maxwell, Poincaré, Berthelot, etc., peuvent subir des attractions et des répulsions; ils peuvent entrer en vibration. Or, si l'on en croit certains, une propriété essentielle de ces tourbillons serait de contenir le « principe directeur de la vie » , la « force vitale » des Anciens. A ce sujet, Lartigue écrivait:
Tous les tourbillons sont doués de la propriété de donner naissance à d'autres tourbillons plus petits, spécifiquement semblables au tourbillon générateur et, comme lui, susceptibles de s'accroître en masse et en énergie aux dépens de la masse et de l'énergie du milieu ambiant.
Il résulte de cette théorie, proche de la géométrie fractale actuelle, une émission possible de radiations. Ce rayonnement serait biologique, du moins en ce qui concerne les êtres vivants. Si les molécules sont électriquement chargées, elles vont créer un champ magnétique qui agira sur les ions (atome, groupe d'atomes, voire molécule, portant une charge électrique) du milieu extérieur et pourra ainsi leur communiquer un mouvement. Bohn a repris cette hypothèse
Les particules constitutives des substances organiques seraient douées de mouvements vibratoires. Lorsqu'une molécule protoplasmique vibre dans le voisinage de substances d'une constitution appropriée, elle leur communique son mode de vibration et le mode d'arrangement d'atomes qu'elle a elle-même. Ce serait là le secret de l'assimilation, propriété caractéristique des êtres vivants.
Il serait donc ainsi possible d'agir à distance en utilisant ce que les radiesthésistes appellent l'agent éthérique (et que nous appelons dans cet ouvrage ondes de forme ou champ de forme), et qui serait, comme nous l'avons vu, de nature électromagnétique. Nous retrouverions ainsi chez l'être vivant le principe d'émanation par la forme d'une force toujours présente et contenue. Chez l'être humain, cette force serait représentée par la volonté, la motivation ou le désir qui sont les moteurs de l'action. L'onde humaine, ou magnétisme, latente en chacun et chacune de nous serait activée par la volonté, la motivation ou le désir (selon les individus), permettant d'utiliser un potentiel inconnu du cerveau humain pour agir à distance, aussi bien dans l'espace que dans le temps (mais cette « force » se propagerait en un temps nul, quelle que soit la distance). Voilà une hypothèse qui ouvre de très larges perspectives.
L'ENERGIE SECRETE DES PYRAMIDES
Comment se fait-il qu'une simple pyramide de carton aiguise une lame de rasoir usagée ou parvienne à momifier un morceau de viande placé à l'intérieur ? Pourquoi certains volumes émettent-ils une énergie d'origine inconnue et cependant mesurable ? C'est toute l'énigme des «ondes de forme » et des curieux phénomènes dont elles paraissent responsables qui se pose là. Un mystère que la science voudrait bien expliquer et dont certaines civilisations de la haute Antiquité avaient peut-être percé le secret...
Dans le dossier no 91304, au Bureau des inventions de Prague, il y a la description d'un appareil bien insolite qui est prosaïquement décrit sur la page de garde comme «ustensile à usage d'aiguisoir de lames de rasoir ». Le système a été déposé en 1959 par un ingénieur du nom de Karel Drbal, bien connu en Tchécoslovaquie parce qu'il y fut, entre autres, responsable de la création du réseau national de télévision.
Ce qui est incroyable, c'est que ça fonctionne. Sans que l'on puisse expliquer pourquoi ni comment !
«Ce n'est bien sûr qu'une hypothèse, déclare l'ingénieur tchèque. Mais il semble que toute évolution chimique, physique, biologique de la matière se produisant dans un espace donné varie en fonction de la forme de cet espace. Pourquoi ? On l'ignore tout à fait. Mais force est de constater qu'en utilisant des formes appropriées, la pyramide, en l'occurrence, on accélère ou on ralentit le processus... »
Pourquoi la pyramide ? Et plus particulièrement, dans le cas de l' « aiguisoir » de Prague, à l'échelle de celle du pharaon Chéops, en Égypte ?
Modestement, Drbal, dans ses Mémoires, avoue ne pas être tout à fait à l'origine de la découverte. Au début des années cinquante, raconte-t-il, un touriste français M. Bovis (unité Bovis), visite la pyramide égyptienne.
Dans la chambre mortuaire, un fait l'intrigue. L'humidité y est grande, et pourtant des cadavres de chats, d'insectes et de rongeurs,sans doute morts après avoir pénétré et s'être perdus dans les galeries, n'ont pas pourri. Ils se sont littéralement momifiés.
Bovis se demande alors si l'architecture même du tombeau ne serait pas pour quelque chose dans le phénomène. Il se dit que les prêtres égyptiens possédaient sans doute des connaissances que nous ne pouvons pas soupçonner sur les propriétés de certaines matières, de certaines formes ou de certaines lignes de force capables de modifier un processus naturel comme celui de la décomposition des matières organiques... L'abbé Moreux, qu'il a lu, l'a déjà pressenti dans son livre sur La Mystérieuse Science des pharaons...
Le corps était embaumé avec un raffinement extrême. Mais la structure même de la pyramide n'était-elle pas une précaution supplémentaire ?...
Bovis relève soigneusement les rapports entre toutes les dimensions du monument, son orientation, etc. Revenu chez lui, il construit une pyramide à l'échelle de celle de Chéops et l'oriente semblablement. Toutes les pyramides du plateau de Guizèh, a-t-il noté, ont une médiane de base qui coincide, à cinq secondes près, avec la ligne nord-sud. La précision est prodigieuse, et, sans doute, non dépourvue de raison.
Sous sa maquette, Bovis momifie un cadavre de chat et déshydrate un certain nombre de matières végétales et animales. Il en conclut que la forme de la pyramide et son orientation génèrent une énergie inconnue responsable de l'étrange phénomène.
En fait, pas plus que Drbal, Bovis ne peut être considéré comme le premier à avoir émis cette hypothèse. L'un et l'autre ont eu connaissance de travaux bien antérieurs.
Dans les années 1850, le baron Reichenbach avait mis au point un pendule excluant toute action musculaire de la part de l'expérimentateur. A une certaine hauteur, le fil de l'instrument était enroulé un certain nombre de fois autour d'un cylindre fixe. Le manipulateur posait le doigt non pas directement sur le fil, mais sur le cylindre. Toute intervention musculaire même imperceptible, sur le pendule lui-même, était donc à exclure. Or, le pendule oscilla !
Personne ne reprit les travaux de Reichenbach, qui attribuait ce phénomène à une mystérieuse force qu'il appelait Yod.
Vers 1905, le colonel de Rochas, déjà célèbre dans les milieux scientifiques internationaux pour ses travaux sur l'hypnotisme et le magnétisme humain, reprend les expériences de Reichenbach. Il pose une certitude : les énergies provenant des formes ne peuvent être rattachées au spectre électromagnétique connu. Mais il ne va pas plus loin, se contentant d'une communication à l'Académie des sciences, qui tombera dans l'oubli jusqu'en 1920, époque à laquelle l'ingénieur Turenne, puis Belizal, et les docteurs Chaumery et Morel reprendront ces recherches. L'ésotériste Enel, sous le nom duquel se cache un savant notoire, se joint à eux.
Le mathématicien Jacques Ravatin, un scientifique français qui, de nos jours, essaie d'expliquer l'énergie due aux émissions de formes », comme il l'appelle, déclare, à propos de ce dernier : « ... Il a sans doute été le premier à comprendre que les pouvoirs des formes relevaient d'un mode de pensée radicalement différent du nôtre. Plutôt que de se tourner vers les critères scientifiques du moment, il a considéré le problème du point de vue de la cabale hébraïque et des grands systèmes cosmogoniques de l'Inde et de l'Egypte anciennes. Cela lui a permis d'approfondir le sens des architectures sacrées qui sont, pour notre pensée matérialiste, rigoureusement incompréhensibles. Enel fut aussi le premier à soupçonner la relation entre émissions de formes et cancer. Il a même découvert une émission agissant sur les cellules cancéreuses, celle que nous appelons " émission Cancer d'Enel " .
Il ne s'agit donc pas simplement de la pyramide de Chéops et du pendule de Reichenbach. Pour les chercheurs des années vingt, ce ne sont que deux applications très ponctuelles d'un pouvoir beaucoup plus vaste des formes et des volumes spatiaux.
Belizal fait une curieuse constatation. Il se souvient que l'archéologue Carter, découvreur du célèbre tombeau de Toutankhamon, avait trouvé près du sarcophage une bague sur laquelle était gravé un signe étrange. Il la passa à son doigt. Coïncidence ou non : il fut le seul à ne pas être frappé par la terrible malédiction qui tua tous ses compagnons de fouilles...
Belizal émet également une hypothèse à partir, lui aussi, du livre de l'abbé Moreux sur La Mystérieuse Science des pharaons. Les prêtres qui ont procédé aux funérailles de Toutankhamon connaissaient le pouvoir des formes et celui de la disposition des objets dans une chambre mortuaire. Tout était prévu pour une protection maximale de la momie, l'étrange relief, en particulier, qui épargna à Carter un sort tragique.
Belizal reproduisit le bijou et le porta en bague pendant quelques mois. Sa santé,chancelante auparavant, s'améliora considérablement. Ses affaires prospérèrent. Bref, toute sa vie quotidienne s'en trouva mieux.
Il eut l'idée de l'expérimenter sur des plantes et des animaux. Sur le végétal : effet bénéfique indéniable ; sur un chat et des souris blanches : même chose. Il baptisa la forme du nom de Louksor, et en commença l'étude systématique, élargissant avec les années son champ de recherches à l'ensemble du mystérieux phénomène : pendules, mobiles divers, torsades métalliques, etc.
Enel et lui-même parvinrent à la conclusion que toute la statuaire, l'architecture et même le graphisme de certaines civilisations de l'Antiquité obéissaient à ces lois des émissions de forces. Lignes, volumes, disposition, orientation.... tout était calculé pour générer un équilibre idéal, une intégration parfaite dans l'espace de certains lieux et de certains hommes privilégiés...
Une science perdue ou volontairement occultée ? Une science ou une magie - mais ne se rejoignent-elles pas quelque part - qui aurait donné le Nombre d'or des plus grands monuments sacrés de jadis ?
Le mathématicien Ravatin et son organisme de recherches, le groupe Ark'All, se demandent si ces formes d'énergies inconnues ne jouent pas avec des structures du continuum autres que celles prises en compte par notre science d'aujourd'hui.
« Avec les émissions d'énergies dues aux formes, conclut le célèbre parapsychologue soviétique Serguéiev, sans doute irions-nous beaucoup plus loin, si nous en savions davantage, qu'avec toute notre électricité et notre nucléaire. Il y a certainement des raisons pour que ces connaissances se soient... perdues. » Mais peut-être pas pour tout le monde !
QUELQUES DECOUVERTES
Depuis des milliers d’années la forme de la pyramide est utilisée comme construction pour les temples. En effet, des Egyptiens aux Mayas, en passant par la multitude de lieux orientaux, jusqu’au musée du Louvre; ce volume géométrique se trouve sur tous les continents de la Terre. Ces constructions ont une vocation de lieu de culte, de vénération ou de place publique. Il apparaît que ce choix est savamment dirigé et que les architectes et leurs commanditaires accordent une très grande importance à la taille et aux proportions afin d’optimiser la fonction de l’édifice. Parmi les plus connus, nous trouvons la pyramide de Kheops.
Aujourd’hui, bien des études ont été réalisées avec succès pour démontrer l’existence des émissions dues aux formes et de leurs influences. Cependant leur nature est encore assez méconnue, ainsi que les paramètres qui régissent leur fréquence et leur intensité.
Les ‘mystiques’ et les ‘ésotériques’, tout comme les géobiologues utilisent ces formes et leurs énergies à différentes fins, cependant peu se sont penchés sur le ‘pourquoi’ de ce phénomène.
Quelques découvertes en matière d’émissions dues aux formes et de lumières :
En 1950, M. Bovis met en évidence l'influence des émissions de formes sur les matière végétale et animale. Quelques années plus tard, l'ingénieur Tchèque, Karel Drbal confirme.
Les chercheurs russes, Vladimir Proplapov et Dimitri Vernadski démontre que la pyramide structure au niveau moléculaire l'eau et accélère l'élimination du chlore à l'aire libre.
Pour le physicien et biologiste français, Georges Lakhowsky, la maladie est un dérèglement vibratoire. Il a mis au point un appareil pour traiter le cancer. Testé à l'hôpital de San Spirito de Rome avec le professeur Sordello Attilj qui rapporte que des guérisons de cancer généralisé ont été constatées. Il disait: 'La vie naît de la radiation, est entretenue par la radiation, est supprimée par tout déséquilibre oscillatoire.
En 1979, Jacques Ravatin dépose un brevet pour un amplificateur d’émissions de formes. Il y témoigne qu’au bout de 30 minutes de fonctionnement, il constate une altération dans la propagation du son et de la lumière et que les plantes se développent beaucoup plus rapidement. Professeur de mathématiques et chercheur, il a émit nombre de théorie et écrit de nombreux livre dont ‘Théories des formes et des champs de cohérences’ coauteur AM Branca aux Editions Cosmogone.
En 1980, Lewy met en évidence le rôle de la lumière blanche pour supprimer la sécrétion de mélatonine.
En 1984, Rosenthal décrit le SAD (seasonal affective desorder, ou dépression saisonnière) et propose la photothérapie comme traitement.
En 1992, JM Weiss met au point une lampe arc-en ciel qui décompose la lumière à but thérapeutique. C’est un chercheur qui a posé les bases de la colorthérapie. Il est le coauteur avec Maurice Chavelli du livre ‘Se soigner et guérir par les couleurs et les sons’ aux éditions du Rocher.
En 1998, JP Ronecker écrit le livre ‘L’Energie vibratoire des ondes de formes’ aux éditions Dangles.
Tout récemment, le professeur POIRRIER de l’université de Liège a développé avec la société belge SCHREDER un casque qui permet de bien doser la quantité de lumière, outil performant au service de la luminothérapie
Sources
lapyramide.org
Liens internes
Georges Lakhowsky Précurseur de l'étude des ondes de forme
Date de création : 28/10/2009 • 08:44
Dernière modification : 28/10/2009 • 08:48
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