CORPS de l’HOMME
Les sept aspects du corps de l’homme :
L’homme est doté d’un corps à sept aspects, également appelés véhicules ; nous distinguons de bas en haut :
1 - le corps matériel,
2 - le corps éthérique,
3 - le corps astral,
4 - le corps mental,
5 - le moi-mental,
6 - le moi-émotionnel,
7 – le moi-conscient. Les trois derniers représentent ce que l’on appelle le triple ego. L’ensemble de ce système vital septuple doit être renouvelé, rendu parfait avec l’aide et sous le rayonnement de l’Esprit saint septuple, par l’intermédiaire du noyau du microcosme, l’Âme immortelle.
N.A. 2 – 277
CORPS de l’ORDRE du SECOURS :
Comme corps de l’ordre du secours votre personnalité est née grâce aux possibilités venues de Dieu.
Dès que l'homme, dans un passé reculé, voulut accomplir la mission assignée par Dieu, et que son esprit (un esprit vierge, qui n'était pas encore réellement en Dieu) devint conscient de l'ombre des choses extérieures, le temps se mit en marche, sans doute un temps différent du nôtre, car le temps n'est pas un facteur stable, mais changeant. Et, avec le temps apparut le passé et, naturellement, le futur.
Cependant, le destin ne s'accomplit pas de façon systématique. La créature engendrée par le Créateur est libre, libre d'atteindre son but. Elle jouit de la liberté d'action, qui émane de la grande force de la Manifestation Universelle, de Dieu Lui-même. Mais, du même coup, elle a la liberté de s'éloigner de son Créateur, de se séparer de Lui. C'est pourquoi la Rose-Croix classique dit: « Ex Deo Nascimur», nous sommes nés de Dieu. Comme monade, votre microcosme provient de Dieu. Comme âme, le principe central du microcosme est né de Dieu. Comme corps de l'Ordre de secours, votre personnalité, bien que provenant de la terre et chargée de maux, est née grâce aux possibilités reçues de Dieu. Donc, jusqu'au plus profond du monde de la chute, règne l'unique loi qui dirige l'évolution. Nous sommes « nés de Dieu » et le restons, selon le fondement originel de notre existence. Quelle que soit la dégénérescence de cette existence, devenue une véritable prison, le fait d'être « né de Dieu » demeure.
Pent. Décembre 1983/ 17, 18