Sanctuaire de la tête
Ce qui se trouve dans le cœur est aussi dans la tête, le sanctuaire supérieur :
L’homme qui va ce chemin conquiert l’Âme et donc l’Esprit. S’il s’ouvre quelque peu à l’Âme il est tenu de recevoir aussi l’Esprit. Il subit l’épreuve des sept poids. Les sept poids sont remis à leur place. Dans sa tête, l’Eau Vive inonde les sept sources de la conscience et il ne peut faire autrement que de boire cette Eau, donc de vivre par Elle et d’agir par Elle. Aussitôt le processus de la transfiguration commence, c’est le début de la phase mercurienne, phase comportant trois aspects l’Esprit, l’Âme et le corps. – Il vaudrait mieux dire : l’Âme, l’Esprit et le corps. Car, dans ce processus c’est l’âme qui vient en premier. C’est l’Épouse qui attend l’Époux. Et, quand l’Âme, l’Esprit et le corps sont portés les uns vers les autres et que le candidat devient le vivant symbole de Mercure, l’escalier en spirale s’ouvre, le passage royal unique et direct entre la tête et le cœur, dont à un moment donné le chakra du cœur est la porte ouverte - 136 - … Au commencement du quatrième jour apparaît un état absolument différent. Auparavant il n’était pas question d’une véritable manifestation de Mercure. C’est que, chez l’homme né de la nature, le sanctuaire de la tête est un temple que le cœur, c’est-à-dire les instincts naturels, profane entièrement. Quant à son intelligence, elle est uniquement occupée à résoudre les problèmes de la conservation de soi et de la lutte pour l’existence. Lorsque la philosophie hermétique qualifie l’homme né de la nature d’homme animal, donc d’être animé sans plus, elle a totalement raison. – Mais, dans l’état d’être que décrit le passage analysé ici, le cœur a racheté sa faute capitale envers la tête par l’abandon total de tout désir instinctif. – Le cœur s’est ouvert sous l’effet des sept rayons du cœur central du microcosme. L’âme s’est renouvelée, une nouvelle nuée astrale se déploie dans le champ de la respiration et l’Esprit peut toucher le chandelier à sept branches du sanctuaire de la tête. Le sacrifice du sang a frayé de force le chemin vers le haut. – Et voici qu’une nouvelle porte s’ouvre. Un équilibre s’instaure entre la tête et le cœur, entre l’Âme et l’Esprit. Ce qui se trouve dans le cœur est aussi dans la tête, le sanctuaire supérieur. La toison d’or en fait foi.
N.A. 2 – 138 à 140
La conscience dialectique a elle aussi un foyer atomique que l’on trouve dans le sanctuaire de la tête.
De même que le feu luciférien était originellement dans le champ de la substance primordiale, créatrice, la protection du Feu christique, de même l’Atome en question dans le sanctuaire de la tête était à l’origine le reflet de l’atome étincelle d’esprit du coeur. L’atome de la tête brûlait dans la Lumière de l’Atome du coeur. - L’Atome luciférieur du sanctuaire de la tête a depuis des éons abandonné toute obéissance à l’Atome-Christ. L’Atome-étincelle-d’esprit a pris en main la direction du système entier, l’a, à tous points de vue structurellement désorganisé et s’est soumis à des milliers et des milliers d’années de culture... L’Atome luciférien a perdu son pouvoir d’activité de la Lumière spirituelle, ce pouvoir grâce auquel l’âme, le moi, pouvait vivre des Oeuvres de Dieu. Voilà pourquoi une nouvelle âme est nécessaire.
H.N.V. 108
Quatre éthers opèrent dans le sanctuaire de la tête :
Il existe quatre éthers qui opèrent exclusivement dans le sanctuaire de la tête et par lui et que nous appelons les éthers mentaux.
H.N.V. 182
La somme totale du subconscient se fait valoir dans le sang :
Il est faux de croire, comme le pense généralement la littératurre occulte, que seuls les éthers réflecteurs, par exemple, sont cause d’activité mentale. Non l’activité mentale et les autres fonctions du sanctuaire de la tête sont obtenues par l’action d’un groupe complet de quatre éthers, de même que les quatre éthers ensemble constituent le sang et l’entretiennent.
En résumé, disons que quatre éthers sont actifs dans le règne dialectique de la nature, se subdivisent en douze aspects, états ou vibrations. Ces douze forces ou nourritures provenant des quatre éthers et travaillant en trois groupes se retrouvent dans toutes les philosophies universelles. L'univers visible entier est constitué par ces Douze, et il s'est développé dans la Langue Universelle une série infinie de dérivations symboliques.
Pris dans leur unité, ils sont Dieu se manifestant dans la nature.
Pris dans leur triplicité, ils deviennent la Trinité.
Pris dans leur quadruplicité, ils sont les quatre Nourritures Saintes ou les quatre Seigneurs du Destin.
Pris dans leur totalité, on les appelle les douze Patriarches, les douze apôtres, les douze dhyânis, les douze hiérarchies, etc.
Supposez maintenant un homme qui soit entièrement de cette nature.
Il est clair que dans cet homme, les trois sanctuaires doivent fonctionner en parfait équilibre, de sorte que les processus d'assimilation des éthers et les activités qui en découlent démontreront une connexion absolue.
Nous constatons chez cet homme une première base vitale; un niveau sur lequel se développe la vie. Cette base vitale est celle du sang où se manifeste toute la poussée karmique de l'être aural. La somme totale de subconscient de l'antique passé dialectique, qui, durant de nombreuses existences s'est inscrite dans les points magnétiques de l'être aural, se fait sentir et valoir dans le sang. En conséquence, les éthers naturels absorbés par le système de la rate sont accordés à la nature cet homme et c'est ainsi que les premiers mobiles, les activités motrices de la vie sont assurés.
H.N.V. 183
L’aurore se lève dans le sanctuaire de la tête :
Revenons-en maintenant aux processus de la Sangha*, les processus du Chemin de la guérison.-185
Derrière le sternum luit l'atome du coeur et c'est l'élève qui évei1le cette étoile de Bethléem. Quand il fixe son attention sur ce principe-feu intérieur et s'offre à lui en reddition, un désir nouveau naît jusque dans les os, un désir aux aspects remarquables. C'est, en effet, un désir qui n'est pas né du sang, du moi-sang, ou d'une autre activité de la nature, mais qui provient d'une autre nature, une nature pré-humaine.
Conformément à ce désir extra-naturel, une vigoureuse impulsion part du sternum. Cette prière qui n'a rien d'un pieux rabâchage mais qui provient, pourrait-on dire, d'un soupir des os, ne peut qu'être exaucée. L'étoile s'arrête au-dessus de Bethéem, la maison du pain de la Nature divine et le candidat reçoit la nourriture. Il progresse dans la vertu du Chemin. Mais attention ceci représente aussi une intense perturbation du processus naturel dodécuple, représente «la guerre intestine », le glaive dans l'âme ! Le sanctuaire du coeur va assumer deux fonctions : l'assimilation des éthers naturels et celle des éthers divins. Il y a perturbation dans le coeur. Le bastion des douze forces naturelles, la place-forte de la dispensation mosaïque dodécuple est attaquée dans son centre : le coeur. Et, d'une part, le rayon-feu de la Gnose passe dans le sang et de l'autre s'attaque aux fonctions du sanctuaire de la tête. Vous comprenez sans peine que lorsque notre désir, le rayonnement de notre sternum, se modifie fondamentalement, le pouvoir du penser doit suivre ; pouvez-vous imaginer, en effet, un désir sur lequel ne s'axerait pas la pensée?
Donc, lorsque, poussés par l'atome primordial, nous suivons ce que nous dicte le coeur, l'aurore se lève dans le sanctuaire de la tête. Le nouveau soleil teinte de sa pourpre les brumes matinales. Un nouveau coup de glaive pourfend l'âme ; la connaissance suit la vertu. Une seconde lutte s'amorce, car à côté des éthers mentaux de la nature ordinaire, ceux de la nouvelle nature
entrent dans le système.
H.N.V.186
Cette influence de l’Esprit septuple toujours plus active touche le sanctuaire de la tête :
Lorsqu’une entité à l’âme renée s’unit pour la première fois à l’Esprit, à Poïmandrès, un seul des six rayons secondaires du Rayon principal agit en elle pour commencer. C’est ce que veut dire Hermès dans le septième verset : <Bien qu’en toi n’agisse encore qu’un des six rayons de ton type, profite de cet état pour comprendre l’Essence de Dieu. Car cette influence de l’Esprit septuple, toujours plus actice en vous, touche le sanctuaire de la tête et plus spécialement le pouvoir du penser. Et la pensée, la conscience de l’âme, voit l’invisible parce qu’elle n’est pas encore manifestée. Car la pensée précède la manifestation. – Quand le cerveau vit encore uniquement du sang de la naissance, comme c’est le cas pour un jeune enfant, il n’est capable d’aucune activité de la pensée. L’activité de la pensée n’est possible pour commencer que lorsque le rayonnement de base du type vient, de l’extérieur, donner cette capacité au cerveau. – Vous savez peut-être que le sanctuaire de la tête comporte sept cavités ; chez l’homme l’une d’entre elles est toujours plus particulièrement active ; il s’agit surtout ici d’une influence astrale ayant pour effet de libérer l’ether réflecteur, l’éther mental. Dans la nature dialectique nous vivons dans un certain champ astral dont les inflences touchent le sanctuaire de la tête, se transforme d’abord en éther mental qui à son tour active les fonctions cérébrales. Mais ne commettez pas l’erreur de croire que cet éther mental de la nature ordinaire permette au cerveau de contempler l’imperceptible, le non-manifesté. L’homme naturel ne peut ni comprendre ni contempler ce qui n’est pas manifesté, ce qui n’est pas directement connu dans la sphère de perception des sens ordinaires. Il peut, tout au plus, le rechercher. Dans l’état d’être né de la nature l’activité de la pensée, les fonctions cérébrales ne sont donc pas autonomes. En tant qu’homme dialectique, vous ne pouvez pas penser librement.
G.O.E. 2 - 220, 221
La Fleur d’Or s’épanouit dans le sanctuaire de la tête :
Nous comprenons le huitième verset selon lequel seule l’intelligence libérée, seule la conscience de l’âme peut contempler le non-manifesté. Aussitôt que vous possédez les yeux du Noûs, vous pouvez révéler le non-révélé. Dès que la pensée est libérée, vous êtes reliée par la pensée au vaste Univers de Dieu, vous pouvez y contempler toutes les choses vers lesquelles se tourne votre attention. Votre intelligence peut contempler le non-manifesté dès que Poïmandrès est né, donc que s’est entièrement accompli le développement précédent : la naissance de l’âme. Alors la Fleur d’Or merveilleuse, l’œil de l’Âme s’épanouit dans le sanctuaire de la tête et l’homme dont l’âme est née voit dans l’espace de l’univers Le candidat entre en liaison avec le nouveau champ astral d’où provient l’éther mental. Vous comprenez maintenant pourquoi nous attirons votrre attention vers le Corps vivant. Car la nouvelle Force astrale y est concentrée ; car la nouvelle Sphère astrale pure se manifeste au moyen du Corps vivant de l’École spirituelle actuelle.
G.O.E. 2 - 222
La Force-Lumière touchera le sanctuaire du cœur, touchera le sanctuaire de la tête :
Le processus complet sur lequel nous attirons maintenant votre attention et que nous vous transmettons, présente dix aspects. Le premier aspect nous rappelle la parole des Béatitudes:
«Heureux ceux qui aspirent à l'Esprit.»
La base en est une vie véritablement animée par l'effort sérieux et le désir de libération. Dès que l'on devient intérieurement un vrai chercheur, naît une activité astrale provoquée par l'intellect. Il est impossible d'aspirer réellement à la Gnose sans que ce fait détermine des pensées. Si donc vous avez un désir vous portant vraiment à la recherche, il suscite en vous une activité intellectuelle ainsi qu'une activité astrale; et celle-ci se manifeste aussi bien intérieurement qu'extérieurement. Quand une nouvelle force est allumée dans le champ astral du système humain, nous voyons briller un rayon vers l'extérieur, mais aussi vers l'intérieur. Un champ de lumière se développe comme une tension ardente au milieu du microcosme, en total accord avec le désir de l'élève; et c'est ce champ de lumière qui sélectionne et assimile la Force de Lumière gnostique.
Si l'élève persévère dans son aspiration et ses efforts malgré toutes les résistances inévitables, cette Force de Lumière concentrée touchera le centre du sanctuaire du coeur, parviendra jusqu'au sanctuaire de la tête, et se transmettra au sang. Le sang ainsi chargé coulera à travers le cerveau et influencera divers centres du sanctuaire de la tête, dont certains sont latents. Il s'agit maintenant de savoir si le système cérébral avec ses différents centres réagira à l'intervention de l'influence gnostique transmise par le sang. Si oui, un nouveau penser intellectuel naît dans le sanctuaire de la tête. Et il est clair que cette activité nouvelle de la pensée, ce nouveau développement de la conscience de l'intellect influencera à son tour le corps astral.
De cette façon, le corps astral est purifié. Vous purifiez le corps astral uniquement par un penser nouveau, né du sang. De nouvelles forces astrales sont alors libérées, qui se divisent en quatre éthers purs, les quatre Nourritures Saintes.
Ces éthers touchent le corps vital et se dirigent vers tous les organes et fluides du corps matériel qui font vivre et agir; et ils se manifestent enfin à nouveau dans le sang.
Le courant circulaire est ainsi établi: le processus qui a commencé dans le sang se manifeste dans le penser, puis dans le corps astral, dans le corps éthérique et à nouveau dans l'enveloppe matérielle et le sang. - 125 -
Par ce nouveau principe animateur, la Gnose acquiert donc le contrôle de tout le système de l'élève. Une fois établi ce décuple processus, conséquence d'un comportement entièrement dévoué au processus en question, on peut maintenir le comportement sans contrainte. Quand le courant circulaire des Forces de Lumière gnostiques est né dans le système, vous n'avez plus la moindre difficulté à persévérer dans le comportement gnostique.
L'antique Gnose chinoise appelait ce courant circulaire: «la circulation inverse». Vous nous en avez sans doute entendu parler dans le passé.
Lorsque le nouveau comportement est devenu un fait, le candidat remarque que son système a besoin de ce comportement. C'est un comportement qui rejette complètement la dialectique de la nature de la mort; il engendre :
premièrement, un dévouement inébranlable,
deuxièmement, une harmonie créatrice parfaite,
troisièmement, une intelligence pratique,
quatrièmement, un service sacerdotal.
G.O.E. 3 - 127
Les sept Rayons affluent dans le sanctuaire de la tête :
L’âme animale, la conscience ordinaire issue de la nature ne vit que jusqu’au moment où la forme se désagrège. L’autre âme, l’âme véritable est animée de façon toute différente. Pour commencer le Noüs se manifeste, c’est-à-dire que la Rose du coeur vivifiée, le noyau du micrososme, se relie aux radiations de l’Esprit. Le Noüs entre en liaison avec la Raison, qui grâce à celà s’emplit d’Esprit; la conscience cérébrale de l’intellect est alors consacrée à sa vraie tâche. La conséquence en est que l’état de vie dialectique entier répond à son vrai but. - Puis apparaît un phénomène étrange. - La Raison emplie de l’Âme-Esprit* entre en liaison avec la conscience ordinaire; ensuite la conscience se relie à l’Âme-Esprit, l’Âme-Esprit à l’Esprit, l’Esprit à la Raison. - Autrement dit : quand l’Âme véritable peut célébrer la rencontre avec l’Esprit, les sept Rayons affluent soudain dans le sanctuaire de la tête. Celui-ci se remplit d’Esprit et les aspects de la conscience intellectuelle s’épanouissent de la juste manière. En même temps l’influence de l’Esprit grandit dans l’être entier. - Ainsi apparaît un mouvement en circuit fermé : un mouvement partant de la Raison, donc partant de la tête et, propagé par le sang à travers le système entier.-; un mouvement qui du coeur du candidat, afflue vers l’Âme-Esprit et de l’Âme-Esprit vers l’Esprit, puis de l’Esprit retourne à la Raison. C’est un mouvement qui revient sur lui-même, un mouvement en circuit fermé soutenant l’autre mouvement en circuit fermé dont nous avons si souvent parlé. De cette manière l’Esprit agit et se fait connaître dans le système tout entier.
G.O.E. 3 - 212,213
12 courants pénètrent le sanctuaire de la tête
Chaque cellule du corps possède le principe de la force stellaire de la nature ordinaire. Cette force stellaire afflue en l’homme sous forme de douze courants. Dans la Pistis Sophia ils sont dénommés les douze éons et comprennent de multiples subdivisions appelées archontes. Ces douze courants pénètrent le sanctuaire de la tête par le système magnétique du cerveau et y sont reçus par sept foyers, le chandelier à sept branches.
P.S. 377
Dans le sanctuaire de la tête, 12 paires de nerfs crâniens :
La force principale du chandelier est Jadalbaoth. Le chandelier à sept branches est le noyau de la conscience, le moi, l’intelligence. De ce centre jaillissent, dans le sanctuaire de la tête, douze paires de nerfs qui gouvernent et dirigent le système tout entier sur l’ordre du principe de l’intelligence, Jadalbaoth.
P.S. 377
Le sanctuaire de la tête pénétré par le pouvoir du penser de la stature céleste :
Car c’est cela le nouveau Saturne, né de la manifestation de l’homme céleste :
L’élève découvrira rapidement qu’il n'est pas question ici de culture de la personnalité, mais d’un intervertissement des personnalités.
Par les deux initiations fondamentales, la triple lumière de la Conscience céleste Supérieure est introduite dans le système de l’homme inférieur.
Nous voyons ensuite, comment en principe, l’ancien pouvoir du penser dépérit pour faire place à un nouveau : le pouvoir du penser de la stature céleste qui pénètre dans le sanctuaire de la tête et pose les assises d’un nouveau Temple. Ce travail de salut s’opère par l’initiation de Mercure.
Par la quatrième initiation, celle de Vénus et la cinquième celle de Mars, l’ancien corps de désir, la sphère aurale meurt aux principes du vieil homme, et le nouveau corps du désir, la nouvelle sphère aurale, est appelée à la vie tel un firmament microcosmique.
D.G.I. 117, 118
Dans le sanctuaire de la tête nous voyons la table avec les douze pains de propositions et le chandelier d’or à sept branches.
Ces forces et ces lumières représenent le zodiaque et le planétarium humains. Les douze signes du zodiaque microcosmique doivent, nourris et guidés par les sept éléments, rayonner dans le sanctuaire de la tête.
P.E. 146
Une conscience biologique régit le sanctuaire de la tête :
Une conscience biologique régit le sanctuaire de la tête; le sanctuaire du coeur est subjugué par les forces psychiques de l'homme inférieur;
les forces éthériques sont, dans le sanctuaire du bassin, en concordance avec l'état des deux autres sanctuaires.
L'homme actuel est appelé à construire un nouveau temple qui doit avoir une certaine ressemblance avec le tabernacle humain originel, mais qui, fondamentalement, est différent.
P.E. 147
Le sanctuaire de la tête consiste en deux hémisphères :
(Les deux Hémisphères cérébraux) vu micro-cosmologiquement, le sanctuaire de la tête consiste en deux hémisphères. La moitié cérébrale droite est le foyer principal du pouvoir du penser; la gauche, le foyer principal de la volonté. (28 )
Glossaire H.N.V. 337
Le nouveau courant électromagnétique touche le sanctuaire de la tête, le thymus et le sang :
Anneau situé autour de la pinéale, cercle de Feu de la kundalini formée d’innombrables petits pois semblables à des points minuscules. Quand le nouveau courant électromagnétique touche le sanctuaire de la tête, via l’atome-étincelle-d’esprit, le thymus et le sang, ces petits pois qui ont chacun une tâche, un pouvoir et une activité propres, commencent à rayonner une lumière multicolore, le dit cercle-de-feu de la kundalini. À mesure que la pinéale s’ouvre toujours davantage à l’afflux de la Lumière de la Gnose, la force et l’activité de la kundalini croissent constamment en intensité et en beauté.
Glossaire H.N.V. 338
Intervenir dans ke sens d’une neutralisation ou d’une sanction :
Il existe de nombreux cas et situations dans lesquels le travailleur qui y est élu ne peut faire usage de la sainte force de l'esprit. S'il le fait, il accomplit bien sûr la sainte loi: «les péchés sont remis.» Cela signifie que les liens entre le karma de l'être aural et le plexus sacré sont rompus, car c'est sur cela que repose la loi de la rémission des péchés. Les péchés sont donc bien pardonnés, mais attendu que la seule et unique leçon indispensable n'a pas été apprise, les mêmes péchés sont à nouveau immédiatement commis, et un grand désarroi s'ensuit pour la personne en question.
De plus, le travailleur sacerdotal qui est intervenu d'une manière erronée et a pardonné les péchés, va attirer dans son propre système ce karma refoulé et non assumé, ce qui, c'est logique, va lui faire perdre la liaison avec le champ de l'esprit. Aucun des deux partis n'aura donc tiré bénéfice de cette intervention erronée. Au contraire, il y aura accroissement de misère.
Le travailleur sacerdotal peut aussi, grâce à la magie gnostique, intervenir dans le sens d'une neutralisation ou d'une sanction. Il y a de nombreux cas où il faut absolument le faire. Si le travailleur sacerdotal le néglige, par exemple par considération
G.O.E. 2/ 213
Tout le sanctuaire de la tête admis dans le même champ vibratoire que celui de la kundalini du bassin, l’être entier est envahi ar le flot du passé microcosmique et de l’être aural :
Il existe trois centres de kundalini dans lesquels cette pure Force divine peut agir: le cœur, ß et le bassin ou sacrum. Ces trois centres sont, chez l'homme dialectique, totalement prisonniers de la sphère astrale terrestre. La tête est prisonnière du champ astral terrestre, le bassin ou sacrum, totalement sous l'emprise du karma et le cœur est si souillé qu'il ne répond plus qu'à ce que la tête lui impose. Seul le cœur possède encore un certain degré de liberté par la présence de la Rose.
La plupart des chemins de réalisation occulte, de nombreux systèmes de yoga, tentent de faire accéder ceux qui s'y appliquent à une imitation de renaissance. Des exercices permettent de faire remonter le courant de kundalini du sacrum, par le feu du serpent, jusqu'à la quatrième cavité cérébrale et finalement jusqu'à la pinéale. Tout le sanctuaire de la tête est alors admis dans le même champ de vibration que celui de la kundalini du bassin et l'être entier est envahi par le flot du passé microcosmique et de ce que porte son être aural.
C'est ainsi qu'apparaît la conscience des domaines supérieurs de la sphère réflectrice avec ses légions de dieux et de maîtres. L'emprise dialectique des forces naturelles est alors fermement établie dans le pôle inférieur par l'être aural, et dans la tête par le champ astral terrestre. Le candidat est définitivement perdu pour la Libération…
G.C. Glossaire 461, 462
La pure kundalini du cœur influence le sanctuaire de la tête :
Mais le processus de Renaissance gnostique a lieu tout autrement. Il débute toujours dans le cœur où par l'activité de l'Atome-étincelle-Esprit, s'éveille la pure Kundalini du cœur. Elle influence le sanctuaire de la tête. La Lumière de la Gnose réalisant l'unité tête-cœur, descend alors jusqu'au plexus sacré par le cordon droit du sympathique et à l'inverse du processus occulte, purifie successivement, par ce courant gnostique venu du cœur, les différents chakras, pour enfin anéantir le passé karmique du plexus sacré. Elle remonte alors par le courant gauche du sympathique et atteint finalement la pinéale dont le rayonnement devient éclatant. Le système du candidat désormais entièrement libre, tant de l’être aural que de la sphère aurale terrestre, s’éveille à la Lumière gnostique du Domaine de Vie originelle.
G.C. 461, 462