Catastrophe cosmique
Les grandes catastrophes naturelles :
Une révolution cosmique, atmosphérique et spirituelle inéluctable s’est déclenchée. Elle mettra un terme à la violation des lois cosmiques par l’humanité actuelle dans ce champ de vie dialectique. – Des changements profonds s’accomplissent dans notre atmosphère; les rapports entre l’oxygène et les gaz nobles sont en voie de modification radicale, par suite du déluge-par-le-feu en voie d’exécution, qui marchera de pair avec les grandes catastrophes naturelles, comme des tremblements de terre, des disparitions de continents, des épidémies, d’étranges et nouvelles maladies, d’autres rayonnements cosmiques, etc… La vie ainsi que nous la connaissons actuellement, deviendra impossible. Ce sera le suicide de la science et de l’humanité toute entité.
P.E. 121
Ne pas considérer les violentes catastrophes cosmiques comme des châtiments mais comme des évènements nécessaires :
L’Idée de Commune, celle de Bellamy, l’Idée Juive, la foi en la Pyramide, etc…sont des parodies sur le plan horizontal de l’unité originelle de l’âme avec la Lumière universelle, unité grâce à laquelle chaque âme possédait des chances égales, des valeurs égales et des forces égales. Cette idée et ses manifestations dialectiques sont des réactions scientifiques-naturelles à l'impulsion de Christ, qui se fait valoir atmosphériquement.
Constatant dès lors la complète inégalité du standard de vie-âme de chaque être en comparaison d'un autre, nous constatons en même temps que des situations chaotiques de notre image-de-vie doivent aussi être présentes dans l'atmosphère. En effet, toute âme est nourrie par l'atmosphère et y trouve par conséquent tout ce qui est nécessaire à ses besoins personnels. Nous attirons particulièrement votre attention sur ce fait.
Notre image sanguine démontre l'état direct de notre état-d'être du moment. Chaque cellule de notre corporéité y est conforme, et notre système nerveux comme notre feu du serpent parlent le même langage.
Le fait que notre microcosme continue d'exister prouve irréfutablement que les forces du monde autour de nous doivent être pour le moins de la même espèce, de la même qualité. Consternante découverte ! Si la corruption est en nous et autour de nous, il ne peut être question d'un état statique. Ce qui est sujet à la corruption se corrompra toujours de plus en plus et créera toujours davantage de corruption autour de soi.
C'est pourquoi ce fait scientifique-naturel a toujours provoqué de violentes catastrophes cosmiques que l'on ne doit pas considérer comme des châtiments mais comme des événements absolument nécessaires pour tenir en état le courant de vie et empêcher que le fléau ne s'étende au delà d'un domaine déterminé. – 119 -La conservation d'un courant de vie comme le nôtre part nécessairement du principe universel d'Amour qui doit tenter, toujours et à nouveau, de reconduire le perdu, le déchu, vers la gloire originelle.
Alors, pour ce faire, quand la corruption du sang aura atteint des proportions sataniques et que le courant de vie séjournera comme dans un gouffre infernal, la plus grande partie des systèmes microcosmiques seront vidés, non par une catastrophe mortelle mais par une explosion atomique intercosmique à la suite de laquelle l'homme ne meurt pas, mais cesse simplement d'être, en ce qui concerne la plus grande partie de son microcosme. Une telle situation s'appelle nuit cosmique.
Plus tard, après une formidable purification et une renaissance totale du champ de vie planétaire tout entier, le courant de vie en question est remis en mouvement, porté à la manifestation afin de lui faire trouver, de bas en haut, le Chemin du Salut.
Il y a maintenant des forces provenant de notre courant de vie, qui peuvent échapper à cette catastrophe humaine universelle. Elles peuvent s'en écarter, non par la voie du salut mais par une voie magique de perdition. Elles possèdent une sorte de statut-d'éternité, non en divinité et dans la gloire rayonnante de la Manifestation Universelle, mais dans un grand asservissement et des souffrances infinies.
Dans notre philosophie, nous désignons ces forces comme étant la hiérarchie dialectique, sans jusqu'ici nous y étendre davantage. Ces forces partent de l'hypothèse que, lorsqu'elles pourront élever tout le courant de vie humain jusqu'à leur état-d'être, jusqu'à leur gloire clinquante, elles-mêmes seront délivrées de leurs souffrances et l'humanité sera sauvée.
N.S. 119,120