SEPT NOUVEAUX CHAKRAS
Les sept nouveaux chakras du nouveau corps vital :
Il est hors de question que les quatre Nourritures saintes puissent descendre dans un corps de structure ordinaire. Cette assimilation entraîne un processus de démolition de l’ancien corps éthérique ainsi que de l’ancien corps physique…. Nous existons personnellement dans un corps qui doit disparaître. Nos deux véhicules ordinaires, matériel et éthérique, doivent de toute façon, se perdre par la maladie ou autre cas de dépérissement ; il s’agit simplement dans le processus décrit d’une autre cause de mort, d’une mort qui mène à la vie. Si nous nous trouvons dans la naissance de la nouvelle âme, le corps matériel et son double éthérique deviennent lentement subtils. Notre robustesse diminue, ce qui ne signifie pas qu’elle doive démontrer des carences organiques ou des maladies, mais l’état tout entier devient plus pur, plus serein. Nous devenons désormais d’une constitution plus subtile, plus faible donc dans une certaine mesure, mais qui peut être maintenue jusqu’à la fin en pleine harmonie. Il ne s’agit donc pas dans ce processus d’un état maladif, épuisant et douloureux.
L’âme nouvelle, née, non de la volonté de l’homme mais de Dieu est de nature bisexuelle. Elle est autocréatrice… Vous savez que dès que peut être assimilé le rayonnement fondamental de la Gnose, une division en sept aspects s’y développe : l’Esprit septuple se manifeste dans notre âme. Autrement dit, la nouvelle âme est née, elle possède sept aspects, elle se manifeste en sept rayons. Une lumière très puissante émane d’elle, un feu rayonnant que vous pourriez comparer à la queue d’une comète. Dans ce rayon de feu vous pouvez clairement déterminer les sept aspects, les sept nouveaux chakras du nouveau corps vital. L’âme nouvelle est donc parfaitement nantie en vue d’une existence autocréatrice ; et elle développe par elle-même une structure de lignes de force dont l’aspect central est la colonne de feu aux sept aspects. C’est ainsi que s’élève de la nouvelle âme un nouveau corps éthérique, ce qui entraîne la manifestation d’un nouveau véhicule matériel qui n’est pas né de la nature, véhicule de construction subtile, noble de forme.
G.T.P. 251 à 253
Ces sept grands chackras jouent un rôle dans la personnalité entière :
Il apparaît donc que le Logos donne à chacun de ceux qui ont obtenu le Noûs deux remèdes à l’aide desquels guérir tous les maux du corps. Ces deux remèdes sont l’éclat de l’âme et l’Esprit sanctifiant. – Cette double panacée cependant n’agit pleinement et parfaitement que si l’homme la libère lui-même, par lui-même. Toutes les autres méthodes de guérison que le monde connaît et pratique sont toujours partielles, même les guérisons et sanctifications opérées par Jésus le Seigneur ou les autres Grands de l’Esprit. Ce fait ressort immédiatement, par exemple, des paroles de Jésus après chaque guérison : « Va et ne pèche plus » Dès que l’intéressé retombe dans l’ancien comportement, dans l’ancien état de vie, les difficultés réapparaissent. La sanctification n’est donc parfaite que si les trois : Esprit, âme et corps sont réunis au sens absolu. C’est à cela que le candidat aux Mystères gnostiques doit tendre.
Étant donné la nature et l’état actuel de l’homme physique, la plus grande confusion règne sur ce point et les antagonismes se multiplient.
L’homme physique est très cristallisé. Colère et avidité irraisonnées le dominent et il est totalement tourné vers la nature. Les rayonnements des éons de la nature dialectique déterminent entièrement son état. Dans cette optique examinons les sept grands chakras de l’homme qui en possède aussi beaucoup de plus petits.
On ne sauraient dire que ces sept grands chakras soient spécifiquement matériels, car ils jouent un rôle dans la personnalité entière. Sur le plan matériel ils sont dans un état gazeux; mais ils ont aussi, de toute évidence, une nature éthérique; enfin ils interviennent également dans le corps astral. Or la pinéale fait exception. C’est un organe extraordinaire. Il s’agit d’une glande à sécrétion interne qui peut être mise en évidence sur le plan physique puisque c’est un organe du sanctuaire de la tête, mais elle correspond aussi au chakra du crâne, d’où son puissant rayonnement…
G.O.E. 4 /73, 74
Ces chakras que l’on décrit parfois comme des roues … :
…Ces chakras que l’on décrit parfois comme des roues et qui ont chacun leur fonction, sont continuellement en mouvement. Vus de l’intérieur, ils tournent dans le sens des aiguilles d’une montre, de gauche à droite, et attirent, conformément à l’état intérieur personnel, différentes forces astrales que le mouvement en rotation transforme en éthers et que le corps ethérique transmet, en cet état, au corps physique.
G.O.E.4/74
Outre ces sept grands chackras il y en a encore quarante deux petits formant un réseau de sept fois sept centres de forces :
Outre ces sept grands chakras, il y en a encore quarante deux petits formant ensemble un réseau de sept fois sept centres de force. – Vous comprenez donc que le corps astral, éthérique et physique sont étroitement reliés, donc que l’état astral devient, en une fraction de seconde, l’état éthérique, et l’état éthérique, l’état physique dans le même laps de temps. - Comment cela peut-il se faire ? – Principalement par l’intermédiaire du monde et du champ de vie extérieur à l’homme.
Nous vous avons déjà expliqué que la pinéale, le chakra du crâne, fait aussi fonction de centre de respiration. Diverses forces puissantes pénètrent d’abord dans le centre de la pinéale, sous un aspect positif et négatif, et de là sont réparties dans tous les chakras, grands et petits. Autrement dit ces forces sont continuellement introduites et réparties à travers le système entier. Rayonnements, forces, pranâ, éons de la nature dialectique, déterminent entièrement la vie de l’homme physique – Ces courants de forces provoquent certains états dans le corps astral; ces forces astrales nous l’avons dit sont transformées en éthers par toutes ces roues qui tournent à des vitesses différentes suivant leur fonction, et sont ensuite introduites dans le corps physique. De cette façon, la nature dialectique est maintenue dans l’homme physique. Donc, si c’est lui qui domine le système, et c’est quatre-vingt-dix neuf fois sur cent le cas, il entraîne le microcosme dans une chute sans fin, dans la rotation « monter – briller – descendre », en une mort continuelle. Et l’âme introduite à la naissance dans cet étonnant système, et régulièrement réintroduite, se noie dans les fluides vitaux de l’homme physique.
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