la lumière de la nature
Les Grands par l'esprit laissent souvent une oeuvre dont la force s'impose toujours à nous. Ce n'est pas vrai dans le cas de Paracelse. Il apparaît d'abord sous l'aspect d'un démolisseur et d'un novateur, il inquiète,
il remue ; son message contient une charge explosive encore à peine découverte de nos jours.
LES TROIS PLANS Paracelse est intemporel. Son message franchit le temps et, du passé au présent, il apparaît dans le futur. Pour beaucoup Paracelse n'a encore qu'une signification historique. Pour d'autres, il est très actuel, mais pour certains son message a une dimension future qui commence déjà à apparaît. Ces trois aspects temporels reflètent les trois plans de son travail. Sur le plan corporel, il donne de nouvelles impulsions ; sur le plan de l'âme, il nous guide pour aboutir au point central divin que possède tout être humain. Sur le plan matériel, Paracelse demande que l'on perçoive les apparences sans parti pris. Il demande aux médecins et aux cher¬cheurs de se montrer critiques des vieilles hypo-thèses, et de faire eux-mêmes leurs recherches et observations.
A cet appel, souscrivent les sciences naturelles exactes, la physique et la chimie, bien que, pour elles, Paracelse n'a qu'une pure signification historique dans le sens où il est un pionnier de la recherche objective. Mais la biologie et surtout la science médicale, avec leurs paradigmes méca¬nistes, se heurtent à des limites. Ne se trouve-t- on pas impuissant et sans réponse face au grand nombre de maladies de la civilisation ? La raison est évidente : il est impossible d'expliquer la vie uniquement sur le plan matériel.
Pour comprendre la vie on doit atteindre un niveau supérieur : un niveau énergétique subtil. Dans les grandes civilisations séculaires, l'être humain a eu l'idée que le corps matériel recevait une force qui lui donnait la vie. C'est Para-celse qui met cette force vitale et l'âme dans une relation cosmique. Il explique comment le corps matériel reçoit du cosmos vie et vivification grâce à une image réfléchie subtile. Le microcosme est, par une liaison complexe, imbriqué dans le macrocosme.
Selon Paracelse le médecin doit prendre en considération non seulement le corps matériel, mais considérer l'être humain comme un microcosme ; et dans son diagnostic et sa thérapie il doit voir aussi la liaison avec le grand monde. Ce message est aujourd'hui devenu très actuel.
Paracelse est considéré corne le pionnier de la médecine totale, laquelle prend en compte l'aspect énergétique subtil. Rudolf Steiner, fonda¬teur de l'anthroposophie, a élargi et appliqué de manière pratique ce que Paracelse a envisagé à vol d'oiseau. Mais ce n'est pas encore l'oeuvre entière de Paracelse. Les deux plans forment le fonde-ment dont il a besoin pour propager son message spirituel. Ce message offre une perspective d'ave¬nir puissante : l'homme peut retrouver sa haute valeur spirituelle.
Mais quelques-uns seulement ont la capacité de comprendre et de réaliser de qu'annonce ce
message fondamental de Paracelse : l'homme n'est pas qu'un corps mortel, qu'un être animé, il est potentiellement un être spirituel éternel bien au-dessus du cosmos visible. Sa façon de souligner que le système vital cosmique et naturel de l'homme, aussi bien matériel que subtil, sont tous deux mortels est tout à fait remarquable.
Dans le coeur de l'homme se trouve le germe d'un être immortel secret, créé à jamais comme porteur de la divinité. Mais revenons en arrière.
RAPPORT ENTRE PHILOSOPHIE ET CONNAISSANCE DE LA NATURE On sait en général que Paracelse était un grand médecin. Il obtint beaucoup de guérisons et a légué surtout une oeuvre accessible sous forme de livres. On pourrait en tirer beau¬coup de prescriptions et de formules secrètes très actives à redécouvrir et appliquer. Mais nombre d'indications concrètes sont décevantes par rapport à la portée générale de son oeuvre. Car il s'agit toujours du principe, de la philosophie et de la compréhension de l'être humain, ainsi que de la nature et de Dieu. Il ne s'agit pas de méthodes et de prescriptions à appliquer concrètement.
Quand il donne quelques indications sur des plan¬tes et minéraux ayant une action médicinale, ou donne une recette, c'est pour montrer clairement le principe spirituel qui en est au fondement. La médecine comme l'envisage ce grand médecin ne peut jamais être entièrement découverte ou contrefaite à partir de ses prescriptions. Celles-ci ne justifient pas vraiment son art : il insiste à chaque fois sur ce qui afflige ses propres malades, d'où la nécessité de ses propres remèdes. Ceux qui sont en profonde contradiction avec sa manière de travailler ne peuvent se mesurer à lui, qui lance par¬dessus bord toute la sagesse livresque et en appelle à la recherche autonome. De son côté, il ne s'agit pas de claires prescriptions, mais de compréhension de l'homme et de ses rapports au cosmos. Paracelse est un flambeau qui éclaire la nouvelle période qui s'annonce. Il suit une voie nouvelle, mais il ne fait pas une description de la voie, du simple chemin que l'on doit suivre. Non, il témoigne de la Lumière qui permet à chacun de reconnaître son chemin, chemin que chacun doit accomplir à la lumière de la nature ; c'est cette lumière qui doit nous conduire si nous voulons découvrir la relation qu'il y a entre l'homme et la nature, entre le malade et sa guérison.
Cependant, si nous suivons « la vertu » et la lumière de la nature, alors, un jour, se lève pour nous la Lumière éternelle, bien supérieure à celle de la nature. Qu'entend Paracelse par « la lumière de
la nature » ? Pour acquérir la connaissance et la sagesse nous avons besoin de la lumière. C'est ainsi que nous parlons de la lumière de la connaissance ou du fait d'être éclairé.Vous vous trouvez dans un lieu totalement obscur. A chaque mouvement vous allez vous cogner et peut-être tomber parce que vous ne pouvez vous orienter.
Si une fenêtre s'ouvre, alors vous voyez le chemin que vous devez prendre. C'est ainsi que cela se passe avec la lumière de la nature. C'est un champ de rayonnement cosmique avec lequel notre âme entre en résonnance. Il en surgit un pouvoir de l'âme qui nous permet de reconnaître les rapports cachés entre l'intérieur et l'extérieur, l'homme et la nature, l'âme et le corps. Or les connaissances scientifiques ne se tiennent pas ainsi dans la lumière de la nature.
On peut comparer l'activité de l'intellect à celle d'une main tâtant l'espace dans l'obscurité. Les connaissances scientifiques se limitent à la connais-sance du côté externe des choses. Mais impossible ainsi de découvrir les connexions internes. A la lumière de la nature on peut voir et reconnaître l'essence des choses, les rapports entre différents phénomènes, même si vous n'en connaissez pas la causalité.
Tout est lié à tout, rien n'existe par lui-même.
Mais tout peut-il ne faire vraiment qu'un ?
La connaissance à la lumière de la nature touche la tête et le coeur. C'est la sagesse provenant de l'intuition du coeur. D'abord il faut être conscient de l'unité de toutes choses dans le cosmos, ce n'est qu'ainsi que se lève la lumière de la nature. Tout est relié à tout, rien n'existe
par lui-même. Mais, en réalité, tout ne fait qu'un. La conscience limitée par le corps engendre un sentiment de séparation. Nous éprouvons chaque fois péniblement les limites et la solitude de notre existence corporelle. On ne peut parler d'unité que s'il existe un principe de l'âme intermédiaire. Le cosmos, avec ses lumières, ses rayonnements et
ses énergies, est ce qui relie les diverses parties pour en faire un tout supérieur, soumis à une seule loi. Les trajectoires et rythmes de ces lumières, rayonnements et énergies dirigent tout, mettent tout en mouvement et relient tout.
LE CORPS DES ÉLÉMENTS ET LE CORPS STELLAIRE L'homme aussi possède un corps énergétique immatériel, dont la structure est une image du firmament, du cosmos. Paracelse le nomme « corps stellaire ». Ce corps est, en petit, une copie du cosmos, et donc un « microcosme ». Comme il y a dans le cosmos divers strates, autrement dit des champs énergétiques de différentes densités. il en
est de même pour le corps stellaire.. Mais laissons la parole à Paracelse à propos de la constitution de l'être humain : « D'abord, il y a le corps, puis le corps de celui qui le régente ; ensuite il y a le corps des sentiments avec le roi qui le régente ; et puis il y a l'homme et le roi qui le régente. » Qui se fie à la terminologie ésotérique reconnaît ici une division connue :
• Premièrement, il y a donc le corps, un corps de matière grossière. Pour Paracelse le corps est composé des quatre éléments : matières consistantes (terre), fluides (eau), gazeuses (air), ainsi que dégageant de la chaleur (feu).
• Deuxièmement, il y a le « régisseur », la force qui fait vivre et mouvoir le corps de matière : le corps éthérique.
• Troisièmement : le corps astral, le corps des sentiments par lequel proviennent les perceptions sensorielles, les découvertes, les sentiments et désirs.
• Quatrièmement, il y a le « roi », qui régente le corps astral, c'est-à-dire le « moi » ou corps mental.
• Enfin Paracelse distincte encore un cinquième principe : le « roi » qui régente l'homme, ou « moi supérieur ».
Cette partie supérieure, Paracelse l'appelle aussi le cinquième être ». Celui-ci est donc la réunion des éléments avec leur firmament. C'est la « quintessence » de l'homme. La quintessence est donc le roi qui, comme cinquième partie, couronne les quatre autres et les dirige.
Paracelse décrit de façon détaillée ce qu'un magicien,
un ésotériste, un occultiste, un cabaliste, un astrologue,
un clairvoyant, un prophète, un médecin, un guérisseur,
un philosophe ou un mathématicien peut s'imaginer
dans ses rêves les plus audacieux
Et il ajoute qu'il y a deux quintessences, l'une, active, mortelle ; et l'autre, latente, immortelle. Le microcosme tel qu'il l'envisage, le système complexe humain est mortel. Non seulement il est composé d'élément matériels mais le principe vital microcosmique animé est transitoire. Il dit que tous les corps meurent dans leur propre domaine. Le corps composé d'éléments est déposé dans la tombe et se décompose en ses éléments ; le firmament se retrouve après la mort dan la « sphère stellaire » et s'y dissout.
Paracelse ne fait aucune différence importante entre la composition de l'homme telle qu'elle est maintenant et celle de l'animal. Car l'animal aussi possède un corps constitué d'éléments et d'un firmament. tous deux mortels. Paracelse fait, sans merci, tomber l'homme du piédestal où il serait la couronne de la création, pour en faire l'équivalent de l'animal. Il souligne sans cesse que le savoir de l'homme est entièrement animal ainsi que son intelligence. Mais cette dégradation de l'être humain a pour objectif de lui redonner la compréhension de la véritable valeur qu'il possède par la grâce de Dieu.
Cette valeur n'appartient pas au microcosme éphémère, image du cosmos périssable. Nous sa-vons que les astres aussi périront ainsi que l'uni¬vers visible. Mais l'essence même de l'homme est éternelle. Elle n'est pas soumise à là loi du cos¬mos. Elle se tient bien au-dessus des astres. Pour Paracelse, l'éternité dans l'homme c'est « l'esprit de l'image » : l'homme originel, éternel créé « à l'image de Dieu ». Cette image divine est bien au dessus des astres mortels, elle n'est pas l'image d'un être actif qui évolue sur cette terre. Elle est
l'esprit de l'image ».
Paracelse utilise ici ce terme pour désigner un principe caché. L'« esprit de l'image » est le prin-cipe latent de l'homme originel divin. Selon ses propres paroles : « Si je qualifie l'homme d'ani¬mal, je sais pourtant quelle différence il y a entre lui et l'animal : c'est l'esprit de l'image. Il faut que j'insiste là-dessus. » Bien que mortel, l'être humain a le pouvoir de développer une grande sagesse et un grand art. S'il est conscient qu'en tant que microcosme il forme une unité avec le cosmos, il découvre les sources de la lumière de la nature. Et dans cette lumière affluent en lui en abondance sagesse et pouvoir.
LA LUMIÈRE DE LA NATURE Dans son ouvrage le plus important, « Philosophia sagax », il décrit ces pouvoirs à la lumière de la nature. Il dénombre neuf catégories : « nigromantia, nectromansia, astrologia, signatum, artes incertae, medicina adepta, philosophie adepta en mathematica adepta. » Chaque catégorie est elle-même divisée, et il donne de chacune une description détaillée. Cette lecture est prodigieuse. C'est la somme de toutes les spécialités imaginables des pouvoirs supérieurs nommés ci-dessus : tout ce qu'un magicien, ésotériste, occultiste, cabaliste, astrolo¬gue, clairvoyant, prophète, médecins, guérisseur, philosophe ou mathématicien peut imaginer dans ses rêves les plus audacieux.
D'un livre paru sur la médecine de Paraceles il y a a quelques années, citons ceci : « Qui a eu affaire avec des mediums ou en a quelque expérience. en reconnaîtra directement la filière. Il s'agit d'un don divin dont disposent des personnes
créatives (inspiration par contact spirituel avec d'autres personnes ou des êtres spirituels). » Mais si l'on parle sous ce rapport de don divin, le message de Paracelse n'est pas compris.
Il est loin de qualifier ainsi ce pouvoir car il déclare : « De même que le corps mange et digère, de même le monde extérieur donne à l'homme intelligence, capacité, sagesse et talent, et ce ne sont pas des dons particuliers de Dieu, mais ceux de la lumière de la nature. »
Paracelse veut montrer de façon évidente que tout les « pouvoirs » supra-sensoriels ne sont que des capacités naturelles élaborées par la lumière
Il y a cinq cents ans, on n'acceptait pas la médecine
totale de Paracelse. Aujourd'hui, dans ce domaine,
il est une autorité
de la nature. Celle-ci est puissante et peut nous accorder une grande sagesse mais périssable, mortelle, dit-il. Seul Dieu est éternel ; la lumière de la nature n'a rien de divin, la lumière éternelle divine est bien supérieure à elle. Pour Paracelse : « Il y a dans ce monde, deux sagesses : une éternelle et une mortelle. L'éternelle émane directement de la lumière de l'Esprit Saint, et l'autre, directement de la lumière de la nature. Celle de l'Esprit Saint est un principe essentiel : c'est la juste sagesse, indivisible. Mais celle de la lumière de la nature a en elle deux aspects : le bon et le mauvais. »
Pour beaucoup de gens, la divinité est quelque chose de vide et d'obscur, d'indicible. Et dans le passé, beaucoup de phénomènes naturels, comme par exemple, l'éclair, la foudre, étaient inexplicables, on les attribuait donc à Dieu. Ensuite la science est venue les expliquer et les activités typiques de la divinité ont beaucoup diminué...
Beaucoup de dons supra-sensoriels étonnants sont attribués à une influence divine, mais la science démystifie toutes sortes de phénomènes naturels en leur donnant une explication logique. Tout comme Paracelse avec sa « Philosophia Sagax ». Cet ouvrage fait l'effet d'une hache
bien aiguisée avec laquelle il tue d'un coup nos illusions divines, nos pauvres représentations divines des choses. Pendant près de cinq cents ans, on a rejeté complètement Paracelse et sa médecine. Aujourd'hui c'est une autorité dans ce domaine. Beaucoup le reconnaissent comme un pionnier. Mais cette médecine totale ne repré-sente qu'une partie de sa mission.
Son message principal est sa révélation d'une véritable compréhension de Dieu, laquelle commence par détruire complètement nos illusions à ce sujet. Tout spécialement, il éclaire en détail le domaine des perceptions supra-sensorielles, pour que personne ne croie plus que ce soient des dons divins, aussi sublimes soient-elles.
Paracelse déclare : « Apprenez à faire la distinction entre sagesse éternelle et sagesse quelconque, et à les reconnaître toutes deux sinon vous faites grande erreur. Car le point important c'est que beaucoup d'entre vous qui écrivez sur la sagesse éternelle, vous n'êtes pas encore nés à la sagesse éternelle..»
Il faut donc naître à la sagesse éternelle ! Et il continue : « Faites attention aussi qu'il existe deux âmes en l'homme : celle de la nature et celle de l'éternité : qu'il y a deux vies, celle condamnée à la mort tandis que l'autre résiste à la mort [...] Il en est de même avec le double esprit, l'éternel et le naturel. Le naturel est dans le « corps stellaire », et celui-ci n'est que corpo¬rel ; ils forment tous deux un seul homme, donc un double corps. » « Car sur terre il y a deux corps de chair, celui qui vient d'Adam, et celui de l'homme rené par Christ, qui voit Dieu. » Inlassablement, Paracelse nous pousse à développer nos talents à la lumière de la nature, et de mener une vie active pour ainsi accroître nos connaissances et nos talents. Mais avec la même force il nous démontre que tous nos dons sont imparfaits et ne nous mènent nullement à la vie véritable.
Son objectif principal est de nous indiquer l'essentiel qui est l'âme, le fond où découvrir le germe du coeur, dans « l'esprit de l'image ».
Là se trouve le point de départ de la renaissance de l'homme immortel. Cet homme nouveau a non seulement une âme immortelle mais aussi un nouveau corps immortel. Nous informer de l'existence de cet homme immortel, c'est là le véritable message de Paracelse non encore com¬pris de nos jours.
L'ÉTERNITÉ En général nous avons l'habitude de parler de la « renaissance ». Après une maladie, grave, une grosse épreuve psychique, nous pou¬vons nous sentir comme renaître. Ce sont des exemples d'un renouvellement de l'âme, comparable à la rénovation d'un vieux logis.
Mais Paracelse veut parler de tout autre chose. Il évoque la naissance de l'homme éternel non dans le sens d'un renouveau de l'âme. mais de la substance. Il fait allusion à une substance impérissable provenant de la naissance nouvelle. Paracelse considère ce phénomène par rapport à l'être humain.
Maintenant se pose la question de savoir si l'on peut recevoir l'un et l'autre de ces grands esprits, le naturel et l'éternel. Il s'agit de deux points. Paracelse dit ici quelque chose sur nos représentations habituelles d'un être consacré à Dieu totalement convaincu. L'esprit divin brise la nature et l'homme naturel ; il ne construit qu'en vue de la nouvelle naissance. Donc un maître qui, dans ce monde, travaille à cette construction, travaille en dehors de la lumière naturelle avec la Lumière éternelle.
Un messager de la Lumière éternelle saisit cette nature et l'homme mortel, puis brise les illusions. Sa force constructive n'agit que sur ce qu'il y a en nous d'éternel. Le Christ parle également dans ce sens : « Je ne suis pas venu pour vous apporter la paix, mais l'épée. »
Paracelse est un messager de la Lumière divine, un « theophraste ». Il ne nous apporte pas la paix ou de belles paroles. Il nous incite continuellement au discernement, à la recherche, à la compréhension, à faire la distinction entre le
vrai et le faux. Il nous porte une épée pour nous couper et nous guérir de tous nos égarement et de toutes nos illusions.
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