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SUICIDE de l'Humanité
Le suicide de la science et de l’humanité :
Une révolution cosmique, atmosphérique et spirituelle inéluctable s’est déclenchée. Elle mettra un terme à la violation des lois cosmiques par l’humanité actuelle dans ce champ de vie dialectique. – Des changements profonds s’accomplissent dans notre atmosphère; les rapports entre l’oxygène et les gaz nobles sont en voie de modification radicale, par suite du déluge-par-le-feu en voie d’exécution, qui marchera de pair avec les grandes catastrophes naturelles, comme des tremblements de terre, des disparitions de continents, des épidémies, d’étranges et nouvelles maladies, d’autres rayonnements cosmiques, etc… La vie ainsi que nous la connaissons actuellement, deviendra impossible. Ce sera le suicide de la science et de l’humanité tout entière.
P.E. 121
Le suicide de cet ordre de nature :
On est arrivé à diviser les atomes de l’élément uranium. Il est donc ici question d’une imitation extrêmement faible de ce qui a lieu dans le centre de la terre sous la direction de la Hiérarchie de la Lumière. – Les éléments sont légion et ce que nos sorciers en science naturelle sont capables de réaliser est à comparer aux prestidigitations des mages égyptiens qui essayèrent, en présence du pharaon, d’égaler la magie de Moïse. – Cette découverte n’en est pas moins un danger de premier ordre.
Deux buts, en effet, sont poursuivis par la libération de l’énergie atomique :
1°- la création de possibilités destructrices dans un but de guerre ;
2°- Le développement technique pacifique. – Les calamités engendrées par le premier objectif sont claires, mais nous devons également comprendre que le deuxième objectif, l’application soi-disant pacifique de l’énergie atomique, apportera le désastre final : le suicide de cet ordre de nature.
P.E. 118, 119
Singer cet Amour représente un suicide sans aucune utilité, c’est négatif :
C'est pour cela que l'Amour a reçu le nom de Deuxième Rayon de la Divinité. Ceux que touche le Feu de ce brasier doivent le manifester en se donnant totalement au service du monde et de l'humanité, de façon non pas négative mais positive. Singer l'amour représente un suicide sans aucune utilité et c'est négatif. Manifester la Volonté divine et par là triompher et remporter la victoire, voilà qui est positif.
L'homme qui parvient, sur le Chemin, à se relier à cette Force divine s'unit par là même aux forces naturelles du nouvel état de Vie par un lien couleur de sang. Il y est indissolublement lié par le sang et comme par nécessité vitale.
Cette impulsion puissante anime désormais Christian Rose-Croix. Ceci explique pourquoi il dit: « Cette fois je remarquai que Cupidon commençait à agir aussi en moi, sur la base de la blessure reçue à la tête le Premier Jour ».
Le nouveau cristal, de forme régulière et d'une grande beauté, le signe du Fils de l'Homme, commence à rayonner sur son front. C'est le signe de son Ordre.
N.A. 2 - 260
L’anéantissement du moi de cette façon est un suicide :
Il y a des hommes qui entreprennent cette lutte vitale que nécessite le chemin, avec le moi, le moi voué à la mort. Ils donnent à cette lutte intérieure un caractère personnel. Ils partent de l’idée erronée que tous les maux, misères et peines sont dus au fait qu’ils ont encore un moi ; au fait que d’une manière ou d’une autre leur nature inférieure leur joue de vilains tours, au fait qu’ils sont encore pleins de mal et de péchés. Mais cela n’a rien à voir .
Vous avez ouvert le sanctuaire de votre cœur à une Force nouvelle, la Force du sixième domaine cosmique, la Force de l’état d’âme vivante. Cette Force pénètre en vous, pénètre dans votre sang, dans votre fluide nerveux et s’introduit dans le sanctuaire de votre tête ; elle remplit votre être entier et fait naître votre âme. Mais il y a aussi une autre force. Cette force provient du système vital de base, du feu du serpent, et elle fait en vous son chemin. Ce sont deux forces essentiellement différentes de nature qui allument en vous un feu brûlant. C'est ainsi que votre âme souffre, mais aussi votre moi. Ne croyez pas que la cause en soit à l’âme, ou que la cause en soit au moi. Non, la souffrance provient de ces deux forces essentielles étrangères l’une à l’autre, provient de deux tensions totalement différentes, provient de deux pouvoirs électromagnétiques qui se rencontrent dans votre être.
Que faire alors ? Vivre l’endoura. Ne laissez pas le moi s’immiscer dans le processus... Quand vous sentez et vivez la douleur au plus profond de vous, c’est le moment où la Force-Lumière gnostique s'occupe de vous le plus puissamment de la façon la plus dynamique. Il y a toujours des hommes qui considèrent la lutte vitale qu’impose le chemin comme une lutte au caractère personnel. Le moi ne doit s’occuper de rien, le moi doit devenir silencieux. Laissez la lutte, laissez l’incendie de la purification faire rage.
Pensez aux pratiques courantes de mortifications et de mutilations des monastères de jadis pour lutter contre la chair, alors que la lutte du chemin de croix n’est pas une lutte contre la chair, mais une lutte entre le sixième et le septième domaine cosmique qui se déroule en vous. Il n’est pas de victoire possible si l’on s’engage avec le moi et que l’on essaie de terminer la lutte avec le moi. L’anéantissement du moi de cette façon est toujours un suicide. Personne ne peut y tenir et la mort est au bout. C’est pourquoi nous disons encore une fois avec insistance : ne cherchez pas désespérément à lutter contre vous-même. Ce faisant vous invoquez précisément des forces qui ne demandent qu’à s’occuper de vous. Vous vous mettez ainsi avec votre moi au service de l’un des deux partis. Le résultat est la grande dépense d’énergie jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Alors que devez-vous faire ? Pratiquer la piété ! Que ce soit le point important de votre vie. Et pour le moi né de la nature, c’est cela l’endoura. Retirez-vous du combat des deux natures, ne prenez part ni pour l’un ni pour l’autre : Laissez l’âme nouvelle accomplir sa tâche volontaire, son offrande en vous. C'est cela qu’envisageaient les mystiques initiés quand ils disaient : ‘Laissez Jésus-Christ accomplir en vous son travail’.
Ne vous retirez pas non plus dans un coin de votre être pour observer, avec votre moi, comment les choses vont se passer. Non, vous devez, dès le début, désirer l’endoura de tout votre cœur , dans l’oubli de vous-même et dans l’amour servant ...
Quand vous le faites, le second élément de l’âme né en vous, commence en vous son chemin de croix, le chemin de croix des roses : la rencontre entre les deux irréconciliables.
L’âme ne cherche pas la lutte, puisqu’elle est tout amour : le moi ne doit pas lutter puisqu’il veut seulement l’endoura On ne peut forcer le processus. Vous devez l’accepter volontairement et joyeusement. Ce processus dure et brûle conformément à la nature de votre microcosme, de votre être, de votre karma et des radiations de grâce qui y agissent. Mais à un moment donné, alors que vous ne vous y attendait pas, peut être au beau milieu des tourments brûlants, il apparaîtra soudain que le mortel est vaincu et qu’il est possible de prononcer le ‘Consummatum est’.
Accepter votre chemin des roses en parfaite objectivité et que votre moi ne s’en même pas. L’heure de la délivrance viendra certainement. Votre âme s’élèvera et célèbrera son matin de la résurrection. Ce sera le premier jour nouveau, l’éveil dans la Tête d’Or, l’aurore du nouveau matin de l’éternité.
G.O.E. 2 ch XI 83, 85
Le soi-disant suicide des saints Cathares :
Celui qui, en vertu de sa piété, peut entrer dans ce Troisième Temple reçoit l'aide nécessaire pour apprendre:
1° comment il doit nourrir le nouveau corps;
2° comment il peut aider à sa croissance;
3° comment il peut s'y mouvoir;
4° comment il peut l'employer et
5° comment il peut, progressivement, quitter le vieux corps de la nature.
Peut-être, ces renseignements nécessairement sobres éclairent-ils un des plus grands problèmes ayant trait aux saints Albigeois, toujours voilé au public dialectique : leur soi-disant suicide…
H.N.V. ch VII 2° part. 213
Se soustraire par suicide à l’emprise des bourreaux
…Les récits rapportent comment, au cours de la croisade contre les Albigeois au moyen âge, les prisonniers de Rome ne voyant plus aucune issue, exposés aux tortures les plus raffinées, quittaient volontairement leur corps, un sourire béatifique sur les lèvres, se soustrayant ainsi par suicide à l'emprise de leurs bourreaux.
On trouvait leurs corps inanimés, sans signe extérieur de violence, sans trace de poison, et dans un état de repos absolu.
Que faut-il penser de cela?…
H.N.V. ch VII 2° part. 213
Vous savez ce qu’est le suicide. Se suicider c’est porter sur soi une main sacrilège… :
…Vous savez ce qu'est le suicide. Se suicider, c'est porter sur soi une main sacrilège, c'est forcer la mort du corps, après quoi, le reste de la personnalité passe dans la sphère réflectrice pour y subir, dans certains domaines de l'au-delà, un temps de misères et de souffrances jusqu'au moment où la mort normale aurait dû se produire. Une réincarnation suit aussitôt dans laquelle le fil de vie volontairement brisé est repris dans des circonstances aggravées.
Vous comprenez sans peine qu'aucun Albigeois n'a commis un tel acte qui, abstraction faite des autres conséquences du suicide, aurait absolument mis fin à leur chance présente de libération réelle de la roue. Non, les Saints des Cathares possédaient le nouveau corps, la nouvelle personnalité ! Ils participaient au Cercle Apostolique de ce temps et appartiennent depuis lors à la Fraternité Apostolique.
H.N.V.Ch VII 2° part. 213
Les démons privés de la Lumière de Dieu s’insinuent en l’homme et engendrent impudicité, crime … suicide… :
L’intellect enfante toutes les images de la pensée, les bonnes, quand il reçoit les images de Dieu, les impies quand elle proviennent des démon
Car il n’y a nulle part au monde où les démons ne soient, j’entends les démons privés de la Lumière de Dieu. Ils s’insinuent en l’homme et y sèment les germes de leur propre activité ; l’intellect est fécondé par cette semence et engendre : impudicité, crime, irrespect filial, sacrilège, impiété, suicide par pendaison ou en se jetant du haut des rochers ou une foule d’autres choses qui sont l’œuvre des démons.
Ch. X – G.O.E. 3 - 77-
L’intellect fécondé par cette semence engendre impudicité… suicide :
Hermès fait entendre cette lamentation: «Les démons s'insinuent en l'homme et y sèment les germes de leur propre activité; l'intellect est fécondé par cette semence et engendre: impudicité, crime, irrespect filial, sacrilège, impiété, suicide par pendaison ou en se jetant du haut des rochers et une foule d'autres choses, qui sont l'oeuvre des démons.
Nous pourrions allonger cette liste de toutes les manières possibles sans jamais arriver au bout. Et nous nous posons la question: en ce qui nous concerne, cela va-t-il continuer? Pour nous qui, honnêtement parlant, avons fui dans l'Ecole Spirituelle pourchassés par nos démons, la situation doit-elle se prolonger? N'y-a-t-il aucune solution?
Si, frères et sœurs, il y a unesolution. Mais vous devez alors vous y mettre vous-mêmes (vous-mêmes, vous entendez)…
G.O.E . 3 - 84
Date de création : 24/09/2009 • 17:52
Dernière modification : 25/10/2009 • 10:20
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