SUBSTANCE ORIGINELLE :
Citation Hermès Livre 13 vers. 27
Air ou substance originelle :
Ainsi ce que la matière a de plus subtil est l’air ou substance originelle ;
Ce que la substance originelle a de plus subtil est l’âme,
Ce que l’âme a de plus subtil est le Noûs
Et ce que le Noûs a de plus subtil est Dieu ».
G.O.E. 4 - 114
Substance originelle, pure Force astrale
Les élèves de l’École cherchent la Lumière authentique pure. Ils cherchent une vie intensément libératrice. Grâce à l’élévation de leur conscience dans le cœur, ils savent, intérieurement, que cette pure Lumière existe. C’est la Substance sidérale pure, originelle, la pure Force astrale.
G.O.E. 1 - 123
Substance divine rendue plus divine :
Le but de Dieu repose en tout, c'est-à-dire en l'Esprit, en un domaine situé au-dessus et en dehors du domaine pranique. Aussitôt que la conscience présente dans le microcosme, est en accord avec le but , dès qu'elle va à la main de Dieu une substance pranique absolument pure, répondant entièrement au but est rayonnée dans le système. Alors le système tout entier devient champ de rayonnement d'une grande magnificence, et par transmutation une substance pranique est restituée au domaine cosmique. Cette substance confère au domaine pranique des possibilités plus grandes; en conséquence l'évolution peut s'accomplir d'une façon meilleure plus rapide et plus grandiose. C'est un axiome divin qui veut que la substance divine puisse être rendue plus divine, plus splendide et plus puissante par les Fils de Dieu.
G.U. 110 -
Le principe fondamental de la substance originelle
Amour, sagesse, volonté et activité. Le principe fondamental de la Substance originelle et les quatre émanations qui en découlent forment, ensemble une étoile à cinq branches, un pentagramme lumineux, plein de majesté et de gloire, comme un Soleil universel, comme Abraxas. Celui qui, de la seule manière possible et juste, veut réaliser la manifestation des forces contenues dans la substance originelle afin de les utiliser pour parvenir à la vie, a le devoir de bien connaître tous les secrets de la formule et de les appliquer dans l’ordre juste. – Il s’agit en premier lieu de l’amour, dans son aspect le plus élevé et le plus pur, de l’Amour à l’état unique, non différencié, sans considération de l’état dans lequel peut se trouver un enfant de Dieu. Muni de cet Amour et grâce à lui, on peut aborder, pour les résoudre, n’importe quel conflit, n’importe quelle cristallisation, n’importe quel état d’incompréhension. C’est cet amour que doit posséder chaque travailleur dans le champ de la moisson. Quand on peut entrer ainsi dans le grand chantier, il se développe la sagesse, celle du Plan divin. C’est elle qui approfondit l’état de toutes les situations, le sens de tous les phénomènes vitaux, permettant sur cette base le développement de la vraie magie, de la juste activité.
Nyc.A.T. 91
Par le mot Univers nous entendons la Substance originelle :
en effet, provoque, de temps à autre, intentionnellement, suivant des lois périodiques, une diminution de la fréquence de ses vibrations et des modifications correspondantes dans les longueurs d’onde de ses rayonnements. Par conséquent les limites du septième domaine cosmique sont franchies et les rayonnements de la Gnose, du nouveau champ astral donc, descendent dans le champ de vie dialectique, dans le champ de l’espace-temps Il est résulte que beaucoup d’hommes vivant aux limites vibratoires les plus hautes du septième domaine cosmique et avides de s’éloigner de ces barrières en profitent pour entrer dans le sixième domaine cosmique...- 152 - Toutes ces fluctuations dans les vibrations du nouveau Champ astral doivent servir à donner à ceux qui en sont dignes, qui en ont besoin, l’occasion d’entrer dans les saintes halles du renouvellement. C’est pourquoi la Bible dit, en de nombreux passages, que le Seigneur de la Vie va à la rencontre du pèlerin......... - Peut-être comprendez-vous maintenant la grande offrande apportée au monde par la Gnose et ses serviteurs. Car, lorsqu’un homme a dépassé vers le haut la limite du septième champ de vibration, du septième domaine cosmique ce n’est pas pour une stagnation. Il va toujours plus loin, toujours plus haut dans le champ universel de lumière et de vibration.- Émanant du Logos*,
sept Rayons, sept Activités, sept immenses Courants de Force meuvent l’Univers. Par le mot ‘Univers’ nous entendons la Substance originelle. La totalité de l’espace universel est emplie de Substance originelle; et celle-ci, ainsi que toute la vie qui s’éveille en elle est mue par les sept Courants, les sept Rayons, les sept Seigneurs du destin, selon l’expression des Rose-Croix classiques. Toutes les activités biologiques de la nature, y compris la vie animale, s’expliquent par l’activité de ces sept rayons. - Or, tout ce qui se passe dans l’univers dialectique, tout ce qui se meut et se développe est soumis à un plan. Tout s’éveille à la vie et est de nouveau brisé, tout monte et descend y compris le règne humain qui, à l’exception de l’intelligence, ne se distingue pas du règne animal. Tout, absolument tout est soumis à un plan. Ce plan est destiné à éveiller dans toute la vie biologique la possibilité d’un nouveau développement. Lorsque ce dessein échoue, ou ne peut pas encore se réaliser, ce qui a été créé disparaît au moment voulu pour être éveillé à nouveau du sein de l’éternité universelle et recevoir ainsi une nouvelle chance. - Le Plan du Logos et son Esprit septuple a donc pour but d’éveiller en nous une nouvelle possibilité. Cela ne réussit-il pas, nous disparaissons. En nous agit la loi : <Tu es poussière et retourneras en poussière.> Nous restons donc attachés à la roue de la vie et de la mort. – Le rythme, la périodicité des jours et des nuits cosmiques, des flux et reflux de l’univers, tout est réglé et exécuté par les sept Rayons de l’Esprit Saint. Bien compris, les sept rayons agissent donc pour la délivrance de la créature. « Tu es poussière et tu retourneras en poussière ». L’homme animal, l’homme naturel est ainsi fait qu’il peut être délivré, qu’il peut réagir positivement aux sept Rayons et que la dénaturation, la mort ne soit pas nécessaire. Voyez là le prix des âmes parfaites : la victoire sur la mort. La récompense de la victoire des âmes parfaites c’est être libéré de la mort.
G.O.E. 2 – 152, 153
L'Esprit divin du Père projette un Plan, par l'intermédiaire du Logos, dans l'Océan infini de la substance universelle.
Ce Plan, cette Idée divine est fortement magnétique et forme donc une concentration, une sphère de substance originelle, dans laquelle les atomes vont être transmutés d’après les divers ordres et forces de ce Plan.
Chaque atome de l’univers entier contient toutes les Qualités et Forces divines, les sept Forces de la Vie absolue, correspondant aux sept aspects de l’Esprit septuple. Ce que nous appelons « radioactivité » n’est qu’une étincelle de l’une des sept Forces de l’atome. Et quand l’homme, par la fission de l’atome, même pour un but soi-disant pacifique, libère les Forces atomiques uniquement pour obtenir de l’énergie et faire fonctionner l’appareil social, il devient victime des autres Forces atomiques qu’il a libérées en même temps, mais non utilisées. Les Forces libérées vont s’accumuler dans l’atmosphère et y provoquer un feu ardent, à la suite de quoi notre champ de vie dialectique sera bouleversé et détruit pour la inième fois…
G.O.E.. 2 - 261
Le résultat de la progression du Logos dans la substance originelle est une vie absolument divine.
C’est ainsi, et pas autrement, que le deuxième Dieu procède du Logos. Afin que ce secret ne vous paraisse pas invraisemblable, faites attention à ce qui suit.
De tous temps il y eut des hommes envoyés par la Gnose qui, enflammés par l’Amour de Dieu, avec une grande compassion intérieure sont allés vers ceux qui demeuraient prisonniers de leur désordre mental et astral, n’ayant pas encore mené leur âme à la double renaissance et demeurant encore plongés dans l’abîme de la souffrance et du malheur.
De tels travailleurs commencent toujours avec un Plan, engagés qu’ils sont dans une intense activité mentale. Puis ils projettent ce Plan à l’extérieur. Et tandis qu’ils agissent, ils savent que jamais ils ne pourront échapper à ce Plan, en raison de la loi naturelle établie des forces mentales et astrales et leurs conséquences, la loi qui veut que le Créateur ne laisse pas périr l’œuvre de Ses mains. Là
vaut aussi la sainte Loi : « Ce qui est en bas est semblable à ce qui est en haut ». Lorsqu’un Plan de ce genre est conçu dans la sphère d’un corps gnostique, lorsqu’un tel Plan est édifié à partir des Forces mentales de la Lumière du Monde, de la Chaîne universelle qui est parfaitement unie au Logos de la Planète on peut facilement s’imaginer ce qu’il va se passer. Dans l’espace du champ de vie où les travailleurs opèrent, le champ de ceux qui vivent encore dans le désordre, le Plan projeté va engendrer un principe puissant, une Idée, dont la conséquence sera d’attirer des atomes comme l’aimant attire la limaille de fer. C’est ainsi que se crée dans la nature de la mort une sphère de nature atomique mais non encore vivifiée : un champ de travail très particulier. Les travailleurs sortent alors vers ceux qui cherchent, qui gémissent et soupirent. Ils leur disent : « Bienheureux ceux qui aspirent à l’Esprit, car le Royaume des cieux est à eux ». Ils conduisent tous ceux qui cherchent véritablement vers la sphère préparée, de nature mentale si particulière. Ils couvrent les chercheurs des forces de cette sphère comme d’un manteau et ils accordent avec le champ mental les pensées et les aspirations de ceux qui sont rassemblés, au moyen d’allocutions, rituels et prières, de manière gnostique magique.
Que va-t-il se passer maintenant ? Lorsque ceux qui aspirent vraiment s’approchent et entrent dans cette sphère mentale, ils ouvrent véritablement leur cœur, et dans leur vie, dans leur microcosme se déroule le processus mental et astral que nous venons d’indiquer avec tout ce qui s’ensuit dans le sens de la dissolution et de la transfiguration. Vous pouvez ainsi vous représenter la marche du processus entier qui a lieu dans une École spirituelle de bonne foi.
G.O.E. 2 261, 262
Une concentration de substance originelle :
La Parole est donc l'image et le Noûs de Dieu; le corps est l'image de l'Idée; et l'Idée est l'image de l'âme.»
Cette citation d'Hermès et la suite entière du treizième livre recèlent la clé de la transfiguration, transfiguration que le candidat aux Mystères gnostiques doit accomplir lui-même à l'aide de ses deux pouvoirs immortels: le Noûs et la Parole.
Nous avons plus ou moins étudié avec vous ces deux pouvoirs divins et nous avons aussi indiqué le chemin au long duquel les éveiller et les libérer. Car sans eux aucune entité ne saurait parcourir le chemin de la vraie libération. Afin de bien comprendre ce que sont ces deux pouvoirs, il faut commencer la recherche par le microcosme.
La puissante force d'idéation du Logos, de l'Omniprésent, de Celui qui emplit l'Univers, se projette elle-même dans ce que nous appelons l'espace. Cet espace, comme l'affirment les Rose-Croix, n'est pas vide: «Il n'y a pas d'espace vide.» L'espace est rempli de Substance originelle. Dès que l'Idée divine relative au plan concernant sa créature rayonne dans l'espace, le microcosme naît
Pensez à une concentration d'atomes, de substance originelle. Au début, le microcosme est la monade non encore incarnée, une concentration de substance originelle formée par un principe magique.
G.O.E. 4 -113
Cette matrice, cette matière de la Sophia, la substance originelle,
existe loin de l’agitation et de la dégradation de la nature de la mort. La Sophia est dans le Silence, c’est-à-dire dans l’espace libre, originel . Or toutes les particules de cette matière sont chargées de grandes Forces divines, les Idées du Logos. C’est la semence de l’unique Bien. Dès que cette merveilleuse semence, la matière de la Sophia, parvient à pénétrer le véhicule mental, déjà présent mais encore vide, et que le pouvoir du penser peut de nouveau fonctionner comme un véritable corps, la vie quadruple conçue à l’origine redevient une réalité : la forme sublime respire alors de nouveau, par le sanctuaire de la tête, dans la Sophia. Et, de ce penser va vivre le corps astral, de ce corps astral, le corps éthérique, et de ce corps éthérique le corps physique ;`Ainsi commence la transfiguration.
G.O.E. 4 - Ch . XIX - 167
Substance vitale nouvelle :
Il faut une Substance vitale nouvelle pour le grands changements de la transfiguration - Donc un principe vital nouveau, une Énergie vitale nouvelle et une Substance vitale nouvelle. La Substance vitale nouvelle est le matériau dont sera fait le Manteau d’Or des Noces. Les nouveaux matériaux de construction sont libérés dans le corps éthérique, en relation avec la rate dans le corps physique. La rate comme vous le savez probablement est un organe qui absorbe les éthers. Et les éthers sont, au sens absolu les matériaux de construction. Ils sont désignés comme le sel dans les Noces alchimiques de C.R.C. –
N.A.1 - 162
La nouvelle substance vitale pénètre dans le système :
L’élève qui commence à suivre le chemin, au début de son développement, œuvre avec les anciens éthers, les éthers dialectiques, il ne dispose pas encore des éthers nouveaux. C’est pourquoi au début il s’efforce de purifier le plus possible les anciens éthers de la nature de la mort. Il tâche d’en ‘retirer ce qui s’y trouve’ afin de servir à l’exécution de son plan : participer à la Vie du Royaume immuable. De là, le comportement élémentaire et les règles qu’adopte un élève confessionnel. Il s’efforce, au début, de ramer avec les rames dont il dispose. Pour ce faire il entretien ces rames dans le meilleur état possible. – Mais les vrais matériaux de construction nouveaux dont nous avons besoin, ne peuvent absolument pas provenir des éthers anciens. Ceux-ci sont totalement dépourvus de valeur pour le nouveau Champ de vie. C’est pourquoi il faut d’abord disposer d’un nouveau principe vital, à partir duquel une énergie vitale nouvelle se développe de par le deuxième mystère. Et quand le foie est en mesure d’assurer parfaitement le développement ultérieur et que l’élève reçoit les quatre Nourritures saintes, les éthers nouveaux, la nouvelle substance vitale, les nouveaux matériaux de construction pénètrent dans le système.
N.A. 1 - 162, 163
La Parole de Dieu n’est pas un rayonnement mais une substance même qui coule à travers l’espace.
Le rayonnement électromagnétique de la Force fondamentale peut être désigné mystiquement comme « le Souffle divin », comme la Parole divine, car ce Souffle de Dieu vient vers nous à un certain rythme, à une certaine fréquence de vibration. Il y a donc en Lui une intention cachée. Littéralement une sainte Parole nous est dite. 154…
Cette Parole est appelée dans l’Enseignement « le Nom mystérieux de Dieu » composé de six ou sept lettres.
C’est une désignation de la sainte Force septuple, des sept Forces gnostiques par lesquelles la sanctification de l’homme qui retourne à Dieu peut se réaliser. Le Nom de Dieu est la Gnose Elle-même. Avec ces sept rayons tout peut être réalisé. Tout d’abord la Force fondamentale est offerte à un groupe. Par l’accomplissement de l’exigence : les six autres, les Forces réalisatrices, montent vers le haut. De là vient que le Nom de Dieu est également désigné comme le « Nom secret », inexprimable, à six lettres, l’hexagramme. Celui qui abuse de cette Parole, comme l’homme religieux naturel, celui-là blasphème !
Exprimer le saint Nom de Dieu signifie effectuer l’œuvre du Salut au profit de l’humanité tombée ; réaliser le Plan de sauvetage en soi-même et au bénéfice des autres ; utiliser dans un nouveau comportement les Forces qui vous sont offertes, en abnégation. Ceci est servir Dieu, être au service de Dieu ; c’est : exprimer le Nom de Dieu, en acte et en vérité.
Le rayonnement électromagnétique, le Souffle de Dieu, la Parole de Dieu, ou le saint Nom de Dieu,
ce n’est pas une forme de rayonnement qui met la matière en mouvement. Non ! l’Enseignement universel annonce avec force que le Souffle de Dieu, cette Parole de Dieu, est une Substance même qui coule à travers l’espace ; ce qui explique pourquoi la Bible parle de « la Rivière de Dieu ».
G.T.P. 155
Se développent la Force astrale, la Substance astrale et les quatre Nourritures saintes :
C’est un Courant de Souffle divin, où nous voyons se développer en même temps la Force astrale, la Substance astrale et les quatre Nourritures saintes.
Ce Souffle de Dieu, ce Courant de Substance divine peut se communiquer à d’autres corps. Il pourra transformer ces corps et se frayer un passage à travers tout. En outre, il est évident qu’Il exerce des Forces.
Celui qui entend ou éprouve cette Parole et y réagit la verra poindre, après un certain temps, comme lumière ; ensuite comme lumière, chaleur et son ; Telles sont les trois Forces qui transfigurent l’âme du candidat.
G.T.P. 154 à 156,
Nous voyons les forces de la substance originelle se mouvoir continuellement … donc faire naître et apparaître des formes :
Ce chapitre reflète entièrement votre vie, ou en partie, donc il vous donne la possibilité de voir plus clairement l'état de votre conscience et de le purifier. Ici la Pistis, la force astrale, et la Sophia, le système intellectuel, appartiennent toujours entièrement au monde dialectique. Pour que la Pistis Sophia entre dans le Treizième Eon il faut que la force stellaire de la Gnose se substitue à la Pistis comme à la Sophia, ce qui équivaudrait à l'apparition une nouvelle Pistis. Après quoi se réveillerait la Sophia, une toute nouvelle intelligence: l'entendement. La Pistis véritable est la force des étoiles, la pure force stellaire divine de l'origine. Il faut faire une nette distinction entre cette force stellaire, cette force astrale, et la force astrale de l'univers dialectique. Le feu astral divin est double: spirituel et matériel. La force astrale de l'univers est chaotique et matérielle. Dans l'univers de la mort, tout est édifié à partir de la matière, tout se manifeste au moyen de la substance primordiale déchaînée de façon chaotique. L'univers matériel est réductible en particules les plus petites imaginables, et nous parlons alors de substance originelle. L'univers est mu par le chaos et comme nous voyons les forces de la substance originelle se mouvoir continuellement, changer perpétuellement, se séparer et se joindre, donc faire naître et disparaître des formes, on peut dire que le chaos est l'origine même de la nature dialectique de la mort. La nature dialectique s'explique par les propriétés de la matière originelle en particulier les deux pôles opposés du bien et du mal, de la lumière et des ténèbres. Ce que cette matière engendre ne peut donc jamais être divin et ne le sera jamais. – 372 –
Tout ce qui en provient est, de plus, toujours limité par l'espace et le temps. L'univers dialectique est donc un univers spatio-temporel, où tout monte et redescend, où tout se change toujours en son contraire.
La mort est un principe universel du monde de l’espace-temps. Qui entre dans cet univers, entre dans la mort. Dans cet univers, il y a des forces que nous appellerons pour commencer les douze éons.
Ces douze forces se manifestent d’abord de façon triple puis de façon quadruple : trois fois quatre et quatre fois trois. Ici on retrouve le principe du nombre sept ; en conséquence on peut dire que les forces qui se manifestent dans l’espace-temps forment une force septuple. La sagesse gnostique nomme Jaldabaoth cette force septuple, le principe directeur de la force astrale inférieure, littéralement le fils des ténèbres, l’enfant du chaos.
P.S. 372, 373
SUBSTANCE PRIMORDIALE :
La Substance primordiale, la Matrice :
En dehors de la Substance primordiale - la Matrice - il y a l’Esprit qui est et qui guide. Grâce à son Omniprésence, à son Pouvoir de pénétration, l’Esprit nous est fort proche. Oui, plus proche que les pieds et les mains. Mais pourtant, retenez-le, Il reste, par rapport à nous, transcendant.
M.V.M. 67
La substance primordiale :
Ainsi l’homme libéré a la possibilité d’employer les quarante-neuf Feux sacrés qui reposent, latents, primordiale, et de les utiliser à la gloire de Dieu et à la réalisation de son plan. C’est là le pouvoir du deuxième Mystère.
Nyc. A.T. 86
La Substance primordiale, la Matéria Magica :
Il y a à la base de notre prodigieuse planète – dont nous ne connaissons qu’une infime partie rendue par nous inharmonieuse - une formule alchimique divine, en état de continuelle réalisation. C’est une formule composée par l’Esprit divin et se rapportant à une manifestation dans, par et avec la Substance primordiale. - La Substance primordiale remplit le grand espace infini, inter cosmique, la mer éternelle de la Plénitude divine de vie. Elle est la Matéria Magica universelle, qui rend possible toute manifestation. Tous les éléments, matières et forces, imaginables et inimaginables, sont présents à l’état non organisé dans cette Matière magique et dans cette Mer universelle des eaux-vives, se manifeste ce que l’on désigne parfois comme le « Grand Souffle ». C’est l’Esprit inconnaissable qui meut ce flux des Eaux-Vives, le manie et le pousse à la manifestation. - Quand le « Grand Souffle » émeut les eaux de la Substance primordiale, nous voyons d’abord se former ce que l’on appelle « l’âme originelle », c’est la formule, le plan alchimique de manifestation. Par conséquent l’âme est un principe de manifestation dans la Substance primordiale. Cette définition n’est pas suffisante pour déterminer à notre entendement la nature de l’âme ; c’est pourquoi nous y ajoutons que le principe de l’âme est un feu allumé par l’Esprit, dans la Substance primordiale, la Matéria Magica. – Nous savons tous que l’âme est un « feu », c’est pourquoi nous parlons du « feu de l’âme », du feu du serpent, du principe igné de l’âme. Dès lors, quand nous examinons de plus près ce principe-feu de l’âme, nous découvrons que dans notre domaine d’existence, le feu fluidique de l’âme est un élixir extrêmement subtil, un gaz, qui ne vous est peut-être pas inconnu : l’hydrogène. L’hydrogène se présente sous un nombre infini de variétés, qui toutes cependant possèdent les mêmes principes fondamentaux…… (voir Hydrogène). Nous venons de dire que le principe hydrogène apparaît dans un nombre infini de variétés selon le nombre de vibrations dans lesquelles et par lesquelles il se manifeste. Ceci explique la diversité à peu près incalculable de révélations et de manifestations dans l’Univers. Nous comprenons ainsi qu’un principe-âme peut changer de nature et par suite de vibration. Dans ce cas, l’effet originel de la vibration de l’âme a un effet absolument différent. – Quand l’âme originelle, le « premier-né », demeure en rapport harmonieux avec le « Grand Souffle », avec le Créateur divin, la manifestation va s’extérioriser dans ce que la Doctrine universelle appelle « Manas », c’est l’être humain originel, la manifestation humaine primordiale. Or il ne n’est que trop vrai que notre âme n’est plus une âme originelle. Le feu de notre âme est un principe d’hydrogène de cette nature terrestre. Notre âme fut-elle originelle, au sens parfait du mot, un pré principe igné, allumé par le « Grand Souffle » dans le Matéria Magica, alors notre manifestation devrait en démontrer la preuve absolument divine. Or notre âme n’est qu’un infini fragment de l’âme primordiale, un principe-âme déchu. Ce principe-âme déchu est une formule d’hydrogène qui s’accorde exclusivement à cette nature et s’explique entièrement par elle. C’est pourquoi nous sommes appelés : « nés de la matière » et c’est pourquoi notre manifestation est mortelle. Il est plus qu’évident que ce principe-âme né de la matière doit être anéanti et qu’une âme originelle doit naître à nouveau du « Grand Souffle » si nous voulons être élevé dans ce champ d’existence, et être des hommes nouveaux, des Hommes originels.
H.N.V. 72 à 75
Une loi magnétique procède d’une idée rayonnante qui agite l’espace de la substance primordiale :
Une loi magnétique procède d'une idée rayonnante qui agite l'espace de la substance primordiale. Grâce à cette idée, un univers se constitue dans une grande diversité de formes et de forces.
Or nous constatons l'existence d'une nature de la mort, donc nous savons que l'idée qui en est le fondement n'est pas divine et ne le sera jamais; cette idée n'est pas valable, donc sa manifestation ne l'est pas davantage. Si l'idée qui a fait naître notre univers était divine, une manifestation anti-divine en serait exclue.
C'est pourquoi nous devons tous apprendre et admettre qu'il y a une autre idée, une autre Gnose, donc un autre champ magnétique, un autre univers, « plus proche que les pieds et les mains», existant et se mouvant partout où la nature de la mort n'est pas; il n'est ni en dehors, ni en dedans, ni au-dessus, ni en dessous, mais omniprésent, et pourtant aussi lointain que le corps céleste le plus éloigné.
P.S. 152/153
L’Esprit concentre et prépare la Substance primordiale… :
COMME VOUS LE SAVEZ, TOUT DEVENIR PROVIENT DUNE IDÉE SPIRITUELLE, D'UN PLAN SPIRITUEL. LORSQUE L'ESPRIT SE MET À AGIR, C'EST D’ABORD L’IDÉE, L’IMAGE ORIGINELLE QUE LA VOLONTÉ DE L'ESPRIT POUSSE À SE MANIFESTER, À SE RÉALISER. AUTOUR DE CETTE IMAGE ORIGINELLE, L'ESPRIT CONCENTRE ET PRÉPARE LA SUBSTANCE PRIMORDIALE AFIN QU'ELLE SERVE DE MOYEN DE MANIFESTATION À L’IMAGE ORIGINELLE LORSQUE LE PROCESSUS PRÉPARATOIRE EST ACHEVÉ.
Si nous voulons parler de l'activité de l'Esprit Saint divin en ce qui concerne la création du microcosme humain, il faut comprendre, d'après ce qui vient d'être dit, que dans ce processus évolutif grandiose, l'idée sans forme, l'image originelle de l'homme telle que le Créateur l'a intégrée dans son Plan, agit comme force centrale consciente, dirigeante.
Pour que vous vous rendiez encore mieux compte de cette réalité, nous vous proposons l'image de la semence. La semence porte en elle tout ce dont a besoin la plante pour son évolution, pour qu'elle puisse se déployer et s'épanouir: tous les éléments nécessaires à la formation, à la nourriture, la croissance, la protection, la fécondation, la floraison et la constitution de la graine sont présents dans la semence. Cela signifie qu'à la naissance et à la formation de la semence, l'image originelle de la plante a été déposée dans la matière primordiale en tant que plan d'évolution global; que
le développement futur de la plante est programmé dans la semence en croissance comme une mission inéluctable; que la volonté divine est consciemment active dans l'image originelle, dans le noyau de la semence telle une force créatrice, dynamique, formatrice.
L’ ENSEIGNEMENT UNIVERSEL EST UNE RÉALITÉ CONCRÈTE
Si nous généralisons cet exemple, si nous comprenons que telle est la base de tout devenir, nous voyons clairement qu'au plus profond de l'être, au coeur de la créature, est déposée la sagesse universelle du Plan divin; alors nous saisissons que ce que nous nommons, dans la Doctrine universelle, le Plan divin n'est pas une vague abstraction mais l'unique réalité concrète qui, dans la création entière, pousse inéluctablement à la réalisation, comme une tâche, une mission à accomplir. Dans la création entière, donc en nous aussi!
Pent. 4/1995 - 2
Ces éthers forment ensemble la troisième différienciation de la substance primordiale et la force ‘ou esprit) qui l’anime nous la désignons comme l’Esprit Saint :
Avant d'examiner l'aspect forme du processus de devenir de l'Homme divin, nous vous rappelons que tout l'univers visible, que tout ce qui a une forme ou prend forme, se manifeste grâce aux quatre éthers, aux quatre Nourritures saintes.
Si nous disons le «visible», il faut comprendre que nous parlons aussi bien de ce qui est visible pour l'oeil matériel que pour l'oeil de l'âme, le regard spiritue. La forme invisible pour l'oeil matériel est sans aucun doute constituée par des éthers et maintenue par des éthers l
TOUT CE QUI VIT ÉMANE DE L’ESPRIT SAINT ET EXISTE PAR LUI
Ces éthers forment ensemble la troisième différenciation de la substance primordiale, et la force (ou esprit) qui anime cette différenciation, nous la désignons comme l'Esprit Saint.
Tout ce qui vit et se manifeste dans l'espace émane donc de l'Esprit Saint et existe par Lui au sens direct ou indirect; au sens divin ou anti-divin. Lorsqu'une entité séjourne dans une demeure et est nourrie par la Vie divine, elle peut habiter cette demeure et utiliser la nourriture au sens divin, selon le Plan divin; mais elle peut aussi en mésuser, avec toutes les conséquences qui en découlent.
Cela montre que toute vie émane de Dieu mais n'est pas pour autant divine. D'innombrables dégénérescences surviennent là où la mission intérieure dont nous avons parlé a été refusée. Ceci est une clé qui permet de juger de toute vie apparente sans jamais se tromper.
Vous savez aussi que le cosmos terrestre comprend sept sphères, possédant chacune sept aspects. Les quatre Nourritures saintes exercent une certaine influence sur chacune de ces sphères, elles-mêmes constituées par ces quatre Nourritures.
Et c'est aussi en concordance avec ce cosmos terrestre que le microcosme est composé. Ainsi nous parlons des sept champs de vie de l'homme, sur chacun desquels les quatre Nourritures saintes stimulent une certaine forme de manifestation au service de l'ensemble. Remarquez bien que les quatre Nourritures saintes n'opèrent jamais séparément. Elles coopèrent toujours dans leur relation quadruple à un but unique ou multiple. Examinons tout d'abord quelles activités s'exercent dans les sept champs du microcosme pour mettre l'Homme véritable en état de se manifester selon la volonté et la loi divine, donc selon sa mission intérieure.
Pent. n°4/1995 - 4
SUBSTANCE PRIMORDIALE PLANÉTAIRE :
Ashia oriente l’attention sur le Triple Logos et son Ordre :
La mission est que Jean doit s’adresser aux sept Églises d’Asie. Le sens courant donné à ces sept communautés n’a rien de sublime, au contraire. On suppose généralement qu’il s’agit de sept communautés ecclésiastiques, en Asie-Mineure. Pourtant ceux qui sont initiés à la Langue des Mystères sont mieux avertis. « Ashia » oriente immédiatement l’attention sur le triple Logos et son Ordre. Son monde, dans lequel le véritable libéré séjourne et auquel appartient également la personnalité céleste endormie et vidée. Cet Être triple sublime « Qui est, qui était et sera », envoie dans chaque concentration de substance primordiale en laquelle Il entend démontrer Sa Majesté, Sa Charité et Sa Force, « sept Courants de Force dynamique qui sont devant Son Trône ». Correspondant à ces Forces, il y a également sept stades de développement spirituel, sept groupes et sept marches d’influences spirituelles, se manifestant dans, ou, au nom d’Ashia, la triple Divinité. C’est donc à tort que les cercles ésotériques ont pensé et enseigné qu’il y a sept Écoles des Mystères ésotériques distinctes, que domine une assemblée supérieure, sorte d’internationale connue sous le nom de « Loge blanche ». Les sept Écoles ne sont rien d’autre que les sept expressions des sept Forces primordiales, le Saint-Esprit septuple, œuvrant à travers tous les temps, dans toutes les sphères dans notre cosmos. Chaque religion mondiale divulgue ces sept Esprits primordiaux et les fils des Mystères doivent à un certain plan de leur développement gravir les marches, subir les sept épreuves, maîtriser les sept lois, et goûter aux sept dons de grâce. – On peut maintenant lire le prologue avec suffisamment de clarté. Il y a, en ce monde, une révélation de Dieu, un saint Mystère offert à notre époque, dans et par Jésus-Christ, à tous ceux qui se sont libérés à cette intention et se sont préparés à la recevoir. – Le saint Mystère touche « un tel Jean » et celui-ci, en vertu de son être, ne peut faire autrement que de rendre témoignage, de ce qui se révèle à lui dans cet Obombrement. Il y a, chez tous ceux qui observent avec amour le développement d’un pareil processus chez l’un des frères, un sentiment de béatitude, béatitude de la joie, étant donné qu’un des libérés s’approche de la Lumière. Or, le Jean, lui, s’adresse dans sa lutte aux sept communautés qui sont en Asie, c’est-à-dire aux sept aspects de sa Stature céleste. Cette Stature qui dort, qui cependant est, qui jadis était et qui, incontestablement sera de nouveau, est évoquée par une formule puissante, un mantran divin, - Elle est évoquée par les Sept Esprits, le Saint Esprit septuple qui est « auprès » et « de » Dieu et par Jésus-Christ, l’Hiérophante du Mystère chrétien, Qui, « comme premier né entre les morts », démontrera à Jean par Sa vie la manière dont le Corps céleste doit être éveillé à travers la nature du corps terrestre. – C’est en cette sainte Présence que Jean entreprend sa tâche.
D.G.I. 35 à 37
Cet Être triple envoie dans la Subtance primordiale sept courants de Force dynamique :
La mission est que Jean doit s’adresser aux sept Églises d’Asie. Le sens courant donné à ces sept communautés n’a rien de sublime, au contraire. On suppose généralement qu’il s’agit de sept communautés ecclésiastiques, en Asie-Mineure. Pourtant ceux qui sont initiés à la Langue des Mystères sont mieux avertis. « Ashia » oriente immédiatement l’attention sur le triple Logos et son Ordre. Son monde, dans lequel le véritable libéré séjourne et auquel appartient également la personnalité céleste endormie et vidée. Cet Être triple sublime « Qui est, qui était et sera », envoie dans chaque concentration de substance primordiale en laquelle Il entend démontrer Sa Majesté, Sa Charité et Sa Force, « sept Courants de Force dynamique qui sont devant Son Trône ». Correspondant à ces Forces, il y a également sept stades de développement spirituel, sept groupes et sept marches d’influences spirituelles, se manifestant dans, ou, au nom d’Ashia, la triple Divinité. C’est donc à tort que les cercles ésotériques ont pensé et enseigné qu’il y a sept Écoles des Mystères ésotériques distinctes, que domine une assemblée supérieure, sorte d’internationale connue sous le nom de « Loge blanche ». Les sept Écoles ne sont rien d’autre que les sept expressions des sept Forces primordiales, le Saint-Esprit septuple, œuvrant à travers tous les temps, dans toutes les sphères dans notre cosmos. Chaque religion mondiale divulgue ces sept Esprits primordiaux et les fils des Mystères doivent à un certain plan de leur développement gravir les marches, subir les sept épreuves, maîtriser les sept lois, et goûter aux sept dons de grâce. – On peut maintenant lire le prologue avec suffisamment de clarté. Il y a, en ce monde, une révélation de Dieu, un saint Mystère offert à notre époque, dans et par Jésus-Christ, à tous ceux qui se sont libérés à cette intention et se sont préparés à la recevoir. – Le saint Mystère touche « un tel Jean » et celui-ci, en vertu de son être, ne peut faire autrement que de rendre témoignage, de ce qui se révèle à lui dans cet Obombrement. Il y a, chez tous ceux qui observent avec amour le développement d’un pareil processus chez l’un des frères, un sentiment de béatitude, béatitude de la joie, étant donné qu’un des libérés s’approche de la Lumière. Or, le Jean, lui, s’adresse dans sa lutte aux sept communautés qui sont en Asie, c’est-à-dire aux sept aspects de sa Stature céleste. Cette Stature qui dort, qui cependant est, qui jadis était et qui, incontestablement sera de nouveau, est évoquée par une formule puissante, un mantran divin, - Elle est évoquée par les Sept Esprits, le Saint Esprit septuple qui est « auprès » et « de » Dieu et par Jésus-Christ, l’Hiérophante du Mystère chrétien, Qui, « comme premier né entre les morts », démontrera à Jean par Sa vie la manière dont le Corps céleste doit être éveillé à travers la nature du corps terrestre. – C’est en cette sainte Présence que Jean entreprend sa tâche.
D.G.I. 35 à 37
La substance primordiale planétaire concédée à l’Humanité :
Il est question depuis le début de nos temps planétaires d’un Esprit de la Planète immanent, rayon du Logos transcendant qui porte et propulse l’univers. Cet Esprit de la Planète a trois aspects et peut se manifester de trois manières ainsi que l’homme qui, au témoignage de la Langue sacrée « est créé à l’image de Dieu et à Sa ressemblance »
Nous pouvons désigner les trois rayons qui émanent de l’Être Unique comme la Volonté, la Sagesse et l’Activité, ou comme l’Idée, l’Interprétation de l’Idée et la Réalisation de l’Idée ou encore, selon la terminologie chrétienne, comme le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Les trois Rayons qui émanent de l’Esprit Planétaire peuvent se manifester et se manifesteront toujours de deux manières, à savoir au moyen de deux hiérarchies ou groupes d’Êtres illuminés et Libérés et leurs envoyés.
Par sa Sagesse la Volonté divine nous est révélée et il peut être passé à l’Activité. Il est logique d’appeler CHRIST le Médiateur, car, ne nous explique-t-il pas le Père ? et il est logique aussi qu’après Lui vienne le Consolateur, l’Esprit-Saint afin de manifester la Volonté du Père qui peut être connue par la Sagesse de Christ.
À l’aide de cette simple et sobre indication, l’élève peut tirer des conclusions qui peuvent lui être fort nécessaires et il comprend que dès l‘aurore de l’existence humaine un Esprit imminent a manifesté la volonté du Logos Planétaire et a poussé l’humanité à réaliser la Volonté de Dieu, après que cette Volonté de Dieu eût été préalablement expliquée par un ou plusieurs Envoyés.
Cet Esprit est connu sous une multitude de noms et il a influencé l’humanité d’innombrables manières. Il est le véritable fondateur et destructeur de toutes les religions. Il est l’Esprit divin activant perpétuellement, s’efforçant toujours de faire répondre au grand But divin la substance primordiale planétaire concédée à l’Humanité.
D.G.I. 127, 128
Il existe un nombre illimité de substance primordiale placées sous deux rubriques :
Or il y a plusieurs sortes de prana. Nous voulons dire par là qu’il existe un nombre illimité d’états de substance primordiale. Plaçons tous ces états de la substance primordiale sous deux rubriques et parlons de force d’existence et de force de vie, ou de prana et de Prana primordial ou selon la Langue sacrée de nourriture corruptible ou de Pain de vie.
G.U Ch. VIII/105
Imaginez une substance qui se distingue nettement de la substance environnante et se trouve dans un état vibratoire particulier et démontrer une grande variété de vibrations :
L’ACTIVITÉ DU TROISIÈME CHAMP DE VIE
Dans le troisième champ de vie commence alors une activité tout à fait remarquable qui se développe sous la conduite du troisième noyau de conscience.
Imaginez une substance qui se distingue nettement de la substance environnante, et se trouve dans un état vibratoire particulier; c'est le premier champ de vie. Ensuite, cette substance, dans sa vibration fondamentale, va démontrer une grande variété de vibrations: c'est le second champ de vie.
Imaginez maintenant qu'à l'intérieur d'une telle substance sphérique un certain désir commence a s'exprimer, un désir indicible, mais qui est là, et qui est ressenti et éprouvé dans la conscience. Nous disons parfois de quelqu'un qu'il brûle de désir, qu'il est consumé par un brasier intérieur, par un feu intérieur.
L'Idée qui est à la base du Plan de création microcosmique formait, dans le premier champ de vie, l'unité du devenir. Dans le second champ l'idée développe la richesse d'aspects contenue dans cette unité. Dans le troisième champ de vie nous voyons cette richesse de vie en évolution se révéler, s'annoncer comme une chaleur, un éclat, un feu, une lumière croissante.
Nous connaissons le désir qui est une avidité, une inclination à «saisir» pour posséder, une avidité dont le but est soi-même.
Mais le désir silencieux, la chaleur vitale, qui se développe dans le troisième champ de vie, est un désir sans avidité, c'est un désir qui émane de chaque atome vers un objectif pour le servir, pour s'y perdre entièrement avec joie. C'est un feu ardent devant la face de Dieu, une sainte lumière.
Pent. n°4/1995- 5
SUBSTANCE SPIRITUELLE UNIVERSELLE :
Immersion dans une substance spirituelle universelle
L’élève aspirant qui veut accomplir un tel revirement, découvre que bien des liens qui l’attachent à l’ancienne vie l’en empêchent. Il faut d’abord rompre ces liens, ces empêchements fondamentaux, avant que l'on puisse se faire baptiser au nom de Jésus-Christ, pour obtenir le pardon de ses péchés. Par le baptême en Jésus-Christ la substance spirituelle universelle entre véritablement et corporellement en communication avec l'élève-constructeur.
Ce baptême n'est pas une aspersion d'eau, ni un acte rituel ou magique comme l'entend habituellement l'église. Il s'agit d'une immersion totale dans la substance spirituelle universelle que l'élève subit consciemment après son revirement. Cette liaison entre l'élève et l'Esprit-Saint est le commencement d'un processus merveilleux et ce baptême s'accomplit en l'élève <au nom de Jésus-Christ>.
Que veut dire cela? Le nom de Jésus nous associe à l'homme absolument sans péché dans la dialectique, tandis que le nom Christ nous relie à l'homme divin de la nature originelle, le Fils Unique. Le nom de Jésus-Christ ne reconduit donc pas l'élève de la Rose-Croix vers le passé lointain; mais l'élève éprouve une Force d'amour divine, actuelle, double, alchimique et poussant à la renaissance. Il s'agit ici d'un processus merveilleux et ingénieux: il s'agit, de pénétrer, sur la base du revirement, de 1’état d'homme naturel à l'état divin originel.
Entre l'Homme-Dieu et l'homme dialectique s'ouvre cependant un large gouffre, et la première Force d'amour divine, alchimique, que nous appelons « Jésus » est le pont, l’intermédiaire pour franchir ce gouffre.
Dans le nom de Jésus gît une signification cachée. Ce nom désigne le pouvoir de salut alchimique de l’Esprit universel.
C’est pourquoi, à travers les siècles les frères de Rose-Croix disent <Jésus est tout pour moi>
Ce pont, ce Jésus doit être érigé en vous afin que le Christ en vous puisse se libérer. Lorsque cette possibilité est réalisée, l’élève suit un chemin à différentes spirales et l’Ecole spirituelle l’accompagne partout.
C.U. 84 à 86
Se vêtir de la substance universelle, en libre obéissance à la loi du Royaume :
Porter un « vêtement de poils de chameau » signifie que l'on veut se vêtir de la substance universelle, en libre obéissance à la loi du Royaume Immuable. Le symbole du chameau est ici celui du chameau volant, l'ancien symbole de la vie universelle; c'est le même symbole que celui du dragon qu'on doit tuer pour pouvoir vivre.
La ceinture est l'emblème de l'homme qui, dans le voyage qu'il entreprend pour le dépérissement de son âme, a perdu toute ambition pour la vie dialectique et la vie inférieure.
Enfin, lorsque le Zohar et les grecs antiques employaient le mot « sauterelles », ils parlaient des serpents. Un élève sur le chemin qui se nourrit « de serpents », un « fils des serpents » est celui qui, portant un habit de poils de chameau, se nourrit de la sagesse universelle. Cet élève va ensuite de la contemplation à la pénétration.
Le miel renforce l'indication qu'il se nourrit de la force du Très-Haut, qui est le véritable Esprit divin.
Gd R. ch XIV/115
SUBSTANCE DE VIE :
Prana : vous pouvez traduire ce mot par « substance de vie » ;:
Nous vous disions précédemment « chaque microcosme prend de la force vitale, et chaque microcosme restitue de la force vitale. Les anciens appelaient « prana » cette force indispensable à l’existence. Vous pouvez traduire ce mot par « Substance de vie ».
Or il y a plusieurs sortes de prana. Nous voulons dire par là qu’il existe un nombre illimité d’états de substance primordiale. Plaçons tous ces états de la substance primordiale sous deux rubriques ert parlons de force d’existence et de force de vie, ou de prana et de Prana primordial ou selon la Langue sacrée de nourriture corruptible ou de Pain de vie.
G.U CH. VIII/ 105