SUBCONSCIENT
Le passé en appelle toujours au savoir subconscient :
Notre délivrance se trouve-t-elle dans la passé ? Non, mais bien dans la consolation et le salut,, selon la parole d’or :
« Celui qui ne veut pas apprendre du passé est puni dans l’avenir ».
C’est pourquoi, en toute charité le passé en appelle toujours au savoir subconscient quand par ignorance et illusion, nous bloquons les chemins de l’avenir.
D.G.I. 3
Les résultats enregistrés dans le subconscient :
Votre conscience cosmique correspond à votre sphère d'existence tout entière. Cette conscience absorbe de la substance primordiale, du prana et le transmue. Il se produit alors dans la sphère d’existence un résultat : la stature de la personnalité avec une conscience qui lui est propre. - Les résultats de ces deux opérations s’enregistrent finalement dans le subconscient…
G.U 105
Le microcosme possède ce que l’on appelle un subconscient
…Chaque microcosme possède trois états de conscience : 1-) le microcosme est conscient en tant qu’unité, en tant que système. De ce fait nous pouvons parler de conscience cosmique. 2-) le microcosme possède une conscience de la personnalité qui a pris corps en lui. 3-) il possède ce que l’on appelle un subconscient, dans lequel sont enregistrées les expériences de la conscience cosmique, aussi bien que celles de la conscience de la personnalité...
G.U. 105, 106 –
Le résultat de ces opérations s’enregistre dans le subconscient :
…Votre conscience cosmique correspond à votre sphère d'existence tout entière. Cette conscience absorbe de la substance primordiale, du prana et le transmue. Il se produit alors dans la sphère d’existence un résultat : la stature de la personnalité avec une conscience qui lui est propre. - Les résultats de ces deux opérations s’enregistrent finalement dans le subconscient…
G.U. 106
Il existe un groupe d’illusions au niveai du subconscient :
Quand nous embrassons d’un coup d’œil toute la structure du système microcosmique, nous découvrons qu’il s’y trouve diverses possibilités de mystification et de vie illusoire. Il existe un groupe d'illusions au niveau du subconscient, un groupe au niveau de la conscience ordinaire et un groupe a niveau de la conscience cosmique.
G.U. 107, 108
S’enfoncer entièrement dans la sphère du subconscient :
Il y a des gens qui s'enfoncent entièrement dans la sphère du subconscient. Qu'est-ce à dire? Cela signifie que ces hommes, dans leur personnalité existante et avec elle, s'abandonnent entièrement à leurs inspirations, leurs aspirations, leurs penchants et leurs instincts, avec tous les aspects possibles d'aptitudes géniales, d'idéalité, de bestialité, de bonté et de méchanceté. Tout cela ne signifie rien d'autre que se torturer avec le passé, en y creusant et fouillant.
C'est un passe-temps qui contribue au développement dé souffrances et de chagrins immenses.
G.U. 108
Il y a des gens qui nient toute suggestion du subconscient :
Il y a des gens qui se plongent entièrement dans la sphère de la conscience ordinaire. Qu'est-ce que cela veut dire? Cela signifie qu'ils nient toute suggestion du subconscient et se placent, avec toute leur misère existentielle et leurs instincts existentiels, dans le présent actuel, dans une totale affirmation de soi et avec l'enjeu de toutes les possibilités de leur conscience de la personnalité. Vous savez où tout cela conduit.
Et il y aussi des entités qui se plongent entièrement dans la sphère de la conscience cosmique. Ce que ceci signifie est peut-être plus difficile à comprendre. – 108 - Les hommes qui possèdent la conscience cosmique de cette nature essaient de se soustraire eux-mêmes aux conséquences du péché et de la mort, en apportant autant d'organisation que possible dans l'action réciproque entre notre domaine d'existence et les différentes formes de prana. Ce sont les fondateurs de la loi, les éons de la nature dialectique. En plaçant et maintenant sous la loi tout ce qui existe, ils prolongent notre ordre d'existence et maintiennent la souffrance, le chagrin et les difficultés.
G.U. 108, 109
Les subconscients gratifient les troupeaux d’une mer d’illusion, de fictions religieuses, artistiques et scientifiques :
Les conscients cosmiques sont les gouvernants hiérarchiques de la nature. Les conscients sont les troupeaux qui vivent sous la loi; le lait qu'ils fournissent est du prana transmué dont les conscients cosmiques se nourrissent pour se maintenir. Les subconscients gratifient les troupeaux d'une mer d'illusions, de fictions religieuses, artistiques et scientifiques, grâce à quoi l'existence inacceptable paraît être "la vie". Et c'est dans l'avenir que l'humanité place son espoir, dans un avenir où elle croit pouvoir s'évader de son existence pétrie de douleur.
G.U. 109
a) Le subconscient est la synthèse des deux autres états de consciences
Le subconscient :
a) qui représente la synthèse des deux autres états de conscience - car - 109 -la somme totale des expériences faites par la conscience cosmique et la conscience de la personnalité y sont retenues.
b) Le subconscient est le miroir grâce auquel la conscience cosmique se fait connaître à la personnalité.
c) le subconscient contrôle quelques points importants des trois sanctuaires - tête-cœur-bassin ainsi que quelques autres centres. Exemple : ceux des pieds et des mains. –
G.U. 115
La Lumière se réfléchit dans le subconscient :
Il faut maintenant que chaque élève de cette École comprenne exactement comment, où et quand il peut saisir le fil de ce processus septuple libérateur C’est seulement quand ce fil a été saisi que le microcosme égaré peut retrouver la sortie lumineuse. On ne peut dans le labyrinthe dialectique saisir ce fil directeur que si la sainte et septuple Lumière se réfléchit encore - ou se réfléchit à nouveau - dans le subconscient.
G.U. 118
Ouverture du subconscient :
Il faut donc que le Prana originel s’ouvre un passage jusqu’au subconscient. Une vie de sacrifice de soi, d’abandon du soi, en dépit de l’existence dans cette nature, au point que la main droite ne sache pas ce que fait la main gauche, une telle vie disons-nous aidera à cette ouverture. . Et a un moment donné un Rayon d’Or de la Lumière pranique originelle pourra pénétrer jusqu’au fond du puits décrit dans les Noces Alchimiques de Christian Rose-Croix, correspond au miroir du subconscient, à la partie inférieure du système spinal. Le Rayon de la Lumière pranique originelle doit pénétrer jusqu’au plexus sacré.
GU 119,120
Pourquoi parlons nous de subconscient , :
Et l’on comprend que ceux qui peuvent ainsi voir à l’intérieur de leur être propre parlent de démons. Ce sont les images des tensions magnétiques qui séjournent dans le subconscient, dans le champ aural de respiration.
Pourquoi parlons-nous de subconscient? Parce qu’il y a encore une autre conscience: la conscience-moi ordinaire. Cette conscience-moi se développe en tant que somme de tous les éléments-conscience des atomes qui forment notre système. Elle est alimentée par des rayonnements de nature sidérale qui nous parviennent du cosmos qui nous entoure. Remarquez toutefois que les nuages démoniaques des tensions magnétiques dont nous venons de parler ne se tiennent pas seulement dans notre champ de respiration, mais qu’ils nous pénètrent et font partie des cinq fluides de l’âme naturelle, participant ainsi à chaque atome de notre être…
Nyc. A.T. 14
Il y a en nous une poussée subconsciente, un principe vital subconscient :
…On peut donc dire qu’il n’y a pas seulement en nous un principe de vie positif qui nous fait dire « moi », mais qu’il y a aussi, en nous, une poussée subconsciente, une attirance vers l’abîme du passé, un principe vital, négatif, multiforme, subconscient. C’est ainsi que ceux qui de tous temps ont étudié la psyché humaine sont arrivés à la conclusion que deux « moi » vivent dans l’homme: le moi de la conscience ordinaire et celui du subconscient, autrement dit le moi naturel et celui de la nature discordante, démoniaque…
Nyc. A.T. 14
A un moment donné nous vivons du moi subconscient :
…Nous vivons tous de ces deux entités « moi ». À un moment donné, nous vivons du moi ordinaire et l’on nous juge normaux; à un autre moment où nous vivons du moi subconscient, on nous juge anormaux. Les forces naturelles de jadis nous entraînent, dans ce dernier cas, à penser, à sentir, à agir selon des mobiles que notre moi normal déplore. Beaucoup d’hommes sont tellement dominés par les tensions magnétiques discordantes qu’ils vivent plus dans l’anormal que dans le normal. On les dit possédés du démon, ils descendent souvent au-dessous des normes permises par la société. Leur système nerveux ne peut plus supporter les tensions : on les dit criminels…
Nyc. A.T. 15
Dominés par le subconscient – la nature subconsciente :
… Et tous ceux qui doivent les juger, tous ceux qui les considèrent en tant que masse humaine ne sont pas encore dominés par leur subconscient, ou du moins pas encore ! Leur nature subconsciente ne s’extériorise pas pour l’instant, mais à l’abri des quatre murs de leur maison, ils donnent libre cours à leurs instincts. Ils conservent ainsi un pauvre équilibre et peuvent manifester dans leur vie publique une attitude prétendue « juste ». Pourtant leur état est aussi tortueux et compliqué que celui de tant d’autres.
Nyc. A.T. 14, 15
Passé, présent – deux « moi », conscient et subconscient :
Vous comprendrez ainsi que la psychologie « moderne » n’est pas du tout moderne mais est un effort pour protéger l’homme contre ses propres démons à l’aide de vérités des anciens gnostiques et des anciennes méthodes occultes sans le guérir réellement. C’est la version moderne de l’ancien exorcisme. Apollinus de Tyane révèle à ses élèves la cruelle réalité de la nature dialectique : tout homme est le produit de la totalité du passé de son microcosme. Le passé et le présent entremêlent deux « moi » : le conscient et le subconscient.
Nyc. A.T. 15
Le subconscient influence le feu du plexus solaire et nous relie au passé de toutes les existences du microcosme :
Nous pouvons en conclure qu'une extension des sens de quelque nature que ce soit n'élève pas l'homme au-dessus de la vie animale naturelle.
Si vous menez une vie très sobre ou observez quel qu'autre forme d'ascèse, ou si, les années passant, vous subissez le processus naturel de la mort, il se peut que vous deveniez plus sensible, donc que vous perceviez plus aisément les vibrations éthériques et astrales et deviez en tenir compte. Mais cela ne signifie absolument pas un changement libérateur de votre état de conscience. Tout ce qu'on dit à ce propos n'est que duperie, erreur et illusion vis-à-vis de soi-même, et n'a rien à voir avec la naissance d'un autre état de conscience, d'un état de conscience nouveau, différent.
Lorsque la Gnose parle d'un changement sensoriel - (et le développement gnostique opère effectivement des modifications sensorielles très curieuses), - elle envisage tout autre chose et conduit à un tout autre résultat qu'un simple embellissement de la conscience naturelle.
Au contraire! Lorsque le développement gnostique se poursuit, la conscience naturelle diminue de bien des façons! Elle se déplace à l'arrière-plan!
Demandons-nous maintenant si l'homme possède, outre sa conscience naturelle, une autre forme de conscience qui l'élèverait au-dessus de l'animal. Pensons, par exemple, au subconscient qui influence le feu du plexus solaire et nous relie à la totalité du passé de toutes les existences qui nous ont précédés dans le microcosme…
G.O.E. 4 – 46
C’est toujours le subconscient qui obombre le conscient :
…Ce passé, gravé dans l'être aural, exerce une puissante influence sur l'homme né de la nature. Si nous pouvions, grâce à l'ouverture totale du subconscient, remonter ce passé jusqu'à la première cause (ce qui est en principe possible), cela ne changerait toutefois rien à l'état de la conscience naturelle. Pensez en ce sens à la première Epître de Paul aux Corinthiens, ch 13: «Si je savais tout, connaissais tout, possédais tout à l'exception de l'unique, de l'essentiel, je n'aurais rien et ne serais rien.»
Voyez-vous, mes amis, ce n'est ni en fouillant profondément la nature, ni en expérimentant ses diverses forces qu'on la transforme, si ce n'est dans le sens d'une dégradation. Car si l'on en perturbe les lois, c'est la vie entière qui dégénère. Que notre conscience née de la nature n'ait encore pu s'élever au-dessus du niveau normal de la conscience animale naturelle prouve que nous n'avons jamais pu, dans le passé, rayonner quoi que ce fût qui nous élevât.
Dans la nature, en effet, c'est toujours le subconscient qui obombre le conscient.
Reste à examiner l'état du coeur. Qu'en est-il du sanctuaire de votre coeur? La conscience y est-elle présente? Non, simplement une vie émotive, certainement pas une conscience au plein sens du terme. -
Revenons maintenant à notre point de départ. Nous conclurons que nous ne possédons qu'une conscience-moi naturelle correspondant au sanctuaire de la tête; et qu'il est impossible de dire de cette conscience «qu'elle se connaît elle-même intégralement» au sens où l'entend Hermès au treizième livre. Le prétendre serait une illusion complète. Notre sanctuaire du coeur, quant à lui, est totalement régi par notre émotivité. Dans ce réacteur central de notre être, tous les rayons, toutes les
influences et toutes les forces qui jouent un rôle en nous se rencontrent.
G.O.E. 4 - 47
Dans la nature c’est toujours le subconscient qui obombre le conscient…
Qu’en est-il de votre cœur, la conscience est-elle la présente ?…- 47 - La conscience divine telle que l’entend Hermès quand il parle du Noûs doit être associée au Noûs, à l’état émotionnel transformé, purifié.
G.O.E. 4 – 47, 48
La conscience centrale de l’homme en contact étroit avec le subconscient :
Nous avons précédemment montré en détail que la conscience centrale de l’homme se situe dans le sanctuaire du cœur et qu’elle est continuellement en contact étroit avec le sanctuaire du bassin, autrement dit avec le subconscient et avec la conscience née de la nature, c’est-à-dire la conscience moi dont le siège se trouve dans le sanctuaire de la tête.
Ces trois consciences collaborent en unité, ne sont généralement pas statiques ; au contraire, chez la plupart des hommes, la conscience est sans cesse en émoi, phénomène qui prévaut surtout dans le cœur, siège de la conscience centrale. Nous tous nous connaissons l’agitation du cœur, l’inquiétude et le tiraillement, l’angoisse, le souci et la peur qui apparaissent alors, occupant constamment notre pensée et maintenant de fortes tensions dans notre système nerveux entier.
G.O.E.4/59
Le subconscient cache tant de chose de cette nature :
Cependant un examen absolument impersonnel vous fera conclure incontestablement que, tant que nous restons de cette nature et que la nature divine ne nous a pas encore libérés, il existe une interaction entre nous et tout notre champ naturel et que, de manière ou d'autre, nous contribuons au maintien de ce champ naturel. Notre microcosme héberge tant de passé et ce qu'on appelle subconscient cache tant de choses de cette nature que lorsque nous pensons aux paroles que Jésus adressa un jour à ses plus intimes disciples, à propos de leur jugement sur la pécheresse repentante : « Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle «, nous sommes obligés de reconnaître que « aussi longtemps que nous sommes de cette nature et dans cette nature, nous sommes co-coupables et la gardons en état».
Bien des élèves s'écartent de la vie basse et grossière et nombre d'entre eux ont percé jusqu'à la limite de l'accessible dialectique : d'autres les suivent rapidement. Ils n'en sont pas moins des habitants de la limite, des Éphésiens, et se trouvent, selon leur être intime, en deçà des bornes de cette nature jusqu'à ce que vienne le moment où ils peuvent passer la frontière. Comprenez donc votre immense responsabilité envers vos semblables. Vous n'êtes pas seul devant ce problème et vous n'avez pas à vous demander: « Comment m'en sortirai-je, moi ? » Mais tout ce que vous refoulez de votre être par culture, civilisation, etc., la somme de vos passions naturelles refoulées se joint au mal démoniaque des domaines de la limite et menace donc votre prochain comme les fantômes de vos semblables vous menacent. Soyons donc profondément persuadés de notre dette réciproque.
Avec des paroles d'altruisme et de bienséance civilisée, nous nous retenons mutuellement avec une force diabolique. Notre comportement est peut-être pur et, à notre avis, très élevé, mais nous vous disons : aussi longtemps que nous sommes dans cette nature, ce comportement est si terriblement venimeux, qu'on ne peut l'imaginer. - 179 - La Langue sacrée exagère-t-elle en disant que « nous sommes « une puanteur pour les narines de Dieu » ? Exagère-t-elle en parlant des hommes comme de sépulcres blanchis remplis de mort et de venin ? La Doctrine Universelle a-t-elle tort d'appeler l'homme dialectique: « la créature la plus dangereuse qui soit » ? Aussi, la maîtrise de soi telle que la comprend le monde n'est pas plus efficace que le fait de vouloir, pendant l'ouragan, boucher avec le doigt une brèche dans une digue.
Voyez, largement étalées, les causes de la souffrance, constatez-vous qu'on ne peut résoudre ces problèmes de l'humanité par des paroles amicales, des poignées de mains, des sourires, en jouant à l'élève de l'Ecole Spirituelle ? Découvrez-vous enfin que, pour sauver les hommes de l'océan de la vie, devenu à nouveau si sale, si corrompu et si dangereux chaque souffle en est mortel, il va falloir se mettre énergiquemnent à l'oeuvre ? Pour ce travail, il faut des hommes et des femmes, résolus à aller le Chemin de la Sangha, le chemin de la Sanctification, l'unique voie de guérison, non par exaltation mystique, mais à cause de la souffrance de leurs semblables. Il n'est moyen de soulager la souffrance de l'humanité : aller personnellement le chemin de sanctification. Car cc chemin fait de votre nature, de fond en comble, une nature autre, nouvelle, de sorte que vous pouvez, sans violence intérieure, vivre et être selon votre nature et votre être. Ce chemin vous délivre immédiatement de façon toute naturelle de tous les démons, fantômes et spectres de la sphère réflectrice vous quittent à jamais.
Vous n'êtes plus pour vos semblables un venin mortel mais vous allégez quelque peu leur souffrance et contribuez à vider et à purifier l'état de la sphère réflectrice.
H.N.V. 179, 180
La somme totale du subconscient de l’antique passé dialectique, se fait sentit dans le sang
Il est faux de croire, comme le pense généralement la littérature occulte, que seuls les éthers réflecteurs, par exemple, sont cause d’activité mentale. Non l’activité mentale et les autres fonctions du sanctuaire de la tête sont obtenues par l’action d’un groupe complet de quatre éthers, de même que les quatre éthers ensemble constituent le sang et l’entretiennent.
En résumé, disons que quatre éthers sont actifs dans le règne dialectique de la nature, se subdivisent en douze aspects, états ou vibrations. Ces douze forces ou nourritures provenant des quatre éthers et travaillant en trois groupes se retrouvent dans toutes les philosophies universelles. L'univers visible entier est constitué par ces Douze, et il s'est développé dans la Langue Universelle une série infinie de dérivations symboliques.
Pris dans leur unité, ils sont Dieu se manifestant dans la nature.
Pris dans leur triplicité, ils deviennent la Trinité.
Pris dans leur quadruplicité, ils sont les quatre Nourritures Saintes ou les quatre Seigneurs du Destin.
Pris dans leur totalité, on les appelle les douze Patriarches, les douze apôtres, les douze dhyânis, les douze hiérarchies, etc.
Supposez maintenant un homme qui soit entièrement de cette nature.
Il est clair que dans cet homme, les trois sanctuaires doivent fonctionner en parfait équilibre, de sorte que les processus d'assimilation des éthers et les activités qui en découlent démontreront une connexion absolue.
Nous constatons chez cet homme une première base vitale; un niveau sur lequel se développe la vie. Cette base vitale est celle du sang où se manifeste toute la poussée karmique de l'être aural. La somme totale de subconscient de l'antique passé dialectique, qui, durant de nombreuses existences s'est inscrite dans les points magnétiques de l'être aural, se fait sentir et valoir dans le sang. En conséquence, les éthers naturels absorbés par le système de la rate sont accordés à la nature cet homme et c'est ainsi que les premiers mobiles, les activités motrices de la vie sont assurés.
H.N.V. 183