SYSTÈME CÉRÉBRO-SPINAL,
SYSTÈME DU FEU DU SERPENT
Système psychique, système du feu du serpent :
Vous portez tous un serpent dans votre être. Ce serpent s'enroule en votre arbre de vie, autour de votre arbre de vie, et sa tête est très nettement révélée à notre vue matérielle ordinaire. Dans la Langue sacrée, ce serpent est parfois désigné symboliquement par l'expression "serpent d'airain". Ce serpent, c'est votre être psychique, votre radiation de conscience, votre potentiel psychique qui remplit tout votre système du feu du serpent, le système cérébro-spinal. C'est cela, le serpent d'airain. Et ce serpent est celui qui, la tête pleine d'un venin mortel, rampe sur la terre.
Pourquoi parle-t-on d'un serpent d'airain?
Sachez d'abord que le mot "cuivre" en hébreu peut aussi se traduire par "serpent". Sachez ensuite que le cuivre, et donc le serpent, est un principe féminin: il vous suffit de penser au cuivre, métal de Vénus. Et le cuivre forme la base de l'alliage appelé airain. - Dans l’âme, dans le potentiel du feu du serpent repose le principe reproducteur, le principe féminin. Cependant, le même système recèle également le principe créateur, c'est-à-dire l'aspect masculin de l'âme.
Dans tout système psychique, dans tout système du feu du serpent, nous apercevons donc deux aspects: le serpent d'airain et celui que l'on nomme le serpent igné, donc respectivement le principe féminin et le principe masculin en nous. On peut dire aussi, sous une forme symbolique, que dans l’arbre de vie habite deux serpents. Chez telle personne le principe masculin est positif et le principe masculin négatif ; en une autre personne ces deux principes sont en ordre inverse.
G.U. 49, 50
Les deux aspects du système du feu du serpent :
Vous portez tous un serpent dans votre être. Ce serpent s’enroule en votre arbre de vie, autour de votre arbre de vie, et sa tête est très nettement révélée à notre vue matérielle ordinaire. Dans la Langue sacrée, ce serpent est parfois désigné symboliquement par l'’expression « serpent d’airain’. Ce serpent, c'est votre être psychique, votre radiation de conscience, votre potentiel psychique qui remplit tout votre système du feu du serpent, le système cérébro-spinal. C'est cela, le serpent d’airain. Et ce serpent est celui qui, la tête pleine d’un venin mortel, rampe sur la terre.
Pourquoi parle-t-on d’un serpent d'airain?
Sachez d’abord que le mot « cuivre » en hébreu peut aussi se traduire par « serpent ». Sachez ensuite que le cuivre, et donc le serpent, est un principe féminin: il vous suffit de penser au cuivre, métal de Vénus. Et le cuivre forme la base de l’alliage appelé airain. - Dans l’âme, dans le potentiel du feu du serpent repose le principe reproducteur, le principe féminin. Cependant, le même système recèle également le principe créateur, c’est-à-dire l’aspect masculin de l’âme.
Dans tout système psychique, dans tout système du feu du serpent, nous apercevons donc deux aspects: le serpent d’airain et celui que l’on nomme le serpent igné, donc respectivement le principe féminin et le principe masculin en nous. On peut dire aussi, sous une forme symbolique, que dans l’arbre de vie habite deux serpents. Chez telle personne le principe masculin est positif et le principe masculin négatif ; en une autre personne ces deux principes sont en ordre inverse.
G.U. 49, 50
Dans le système du feu du serpent :
Dans les vieux mythes persans, le griffon est la bête mystérieuse qui garde la Montagne d’Or. Si l’élève peut encore comprendre l’appel de la Gnose, il se tourne vers la Montagne d’Or de l’Esprit d’où lui vient le secours. Et quand alors il s’approche de la Montagne sainte des Béatitudes, il annonce d’une voix forte « Mon secours vient de l’Éternel qui a fait toute chose ». Aussitôt qu’il a prononcé ce mantran, les gardiens de la Montagne, les mystérieux griffons, les Chérubins, planent autour de lui. L’un d’eux fond sur lui avec la rapidité et la fulguration de l’éclair, lui déchire la poitrine et lui applique, dans le système du feu du serpent, la chaleur intense du cautère. Celui qui est ainsi atteint par le Feu de l’Esprit entend un formidable coup de tonnerre, et du milieu de ce bruit retentissant, une voix dit : « Un fils des hommes et un fils des serpents. Voici je t’envoie comme une brebis au milieu des loups ; sois prudent comme les serpents ». L’élève se détourne alors de la Montagne d’Or car le temps de son ascension n’est pas encore venu. Il se tourne à nouveau vers la vallée et s’en va comme une brebis au milieu des loups, les bras croisés sur la blessure ardente infligée par le griffon.
G.U. 54
L’Esprit de vie doit être éveillé dans le système du feu du serpent :
Celui qui, dans cet état, étend ainsi les bras, sentira dés mains invisibles saisir les siennes avec le Signe de l’Ordre. Elles l’intégreront dans la chaîne vivante qui s’étend à l'infini.
Le corruptible en lui est brûlé et, par la mort de la nature, transformé en flamme de vie.
Il se tient debout dans la Rose-Croix d'Or.
Il est libéré pour toujours
La plupart des chercheurs n'en sont pas encore à cet apprentissage de la naissance du Saint Esprit. Encore élèves du Parvis, ils sont appelés à cette naissance.
Ils pourront la célébrer quand, par la connaissance de soi, ils aspireront tellement à l’Esprit du Renouvellement qu’ils seront assoiffés du courant d’Eau Vive, telle la biche qui soupire après les courants d’eau.
Seuls sont mûrs pour une nouvelle naissance, ceux qui, ayant faim et soif de l’Esprit, se tiennent dans la vie dialectique, non plus dans l’égocentricité mais dans le silence d’un désir sans égocentricité.
C’est sur cette base que repose la naissance spirituelle.
S’il y a en vous la gravité sacrée de trouver l’Esprit de Vie, alors vous avez à l’éveiller vous-même dans le système du feu du serpent. Si vous voulez conquérir l’Esprit, vous devez oser vous perdre vous-même. Celui qui veut contempler l’Esprit doit l’activer dans son être propre, de l’étincelle à la flamme.
De quelle manière?
En allant le Chemin de Croix, c’est-à-dire en brisant de ses propres mains les chaînes de la dialectique.
Quand, debout dans ce processus, nous serons capables d’offrir à l’Esprit un état de vie acquis dans le silence d’un désir fervent et sans égocentricité de la nouvelle source de vie, alors l’Esprit pourra vivre et vivra de toute éternité.
N.S. 84
Le corps héberge une conscience. Nous la trouvons dans le système cérébro-spinal, dans la colonne du feu du serpent.
Nous savons que ce feu de conscience est en liaison étroite avec le sang et le système nerveux. Cette conscience, ainsi que le sang et le système nerveux sont régis par notre être du désir – s’expliquent effectivement par lui. Aussi cet être du désir est-il le nucléus de notre existence matérielle dialectique, c’est le moi, le moi-sang l’âme terrestre
H.N.V. 32
Par la renaissance mystique le Logos descend harmonieusement dans le système du feu spinal :
Le cancer dans votre corps, ou éventuellement une autre affection, vos malaises nerveux par exemple, ou votre nervosité, ou vos maladies de coeur, sont des preuves de la vérité de la philosophie transfiguristique. Les réactions physiques aux douze forces cosmiques démontrent que l’humanité entière est saisie par un brisement négatif du temple humain. Et aussi longtemps que l’humanité ignorera le but divin de l’existence, la souffrance, le chagrin et les maux physiques accompagneront cette vie dramatique.
La prolifération du cancer prouve que l’homme est pris dans un processus auquel il ne participe ni consciemment ni intelligemment, et qu’il réagit fautivement à une force qu’il ne connaît pas. La prolifération du cancer est le reflet caricatural, la parodie sanglante, douloureuse et infecte de la reconstruction du temple humain
La seule possibilité d’échapper aux fléaux dialectiques causés par cette violente révolte est la transfiguration: transfiguration fondamentale, mystique et structurelle. Par la renaissance fondamentale, l’élève établit une liaison consciente avec le dodécuple Logos cosmique.
Par la renaissance mystique, le Logos descend harmonieusement dans le système du feu spinal.
Par la renaissance structurelle, la construction du nouveau temple s’ccomplit suivant de nouvelles lois. Alors le cancer n’a plus le sens de maladie « cancer », mais est la Pierre Angulaire d’une nouvelle construction, la demeure du Saint-Esprit Comprenez bien que le cancer qui ronge les membres est néanmoins la preuve d’une certitude éternelle. Si vous voulez comprendre Jésus-Christ, la Pierre Angulaire d’un nouvel édifice inébranlable sera posée dans votre microcosme. La Pierre Angulaire de la demeure du Saint-Esprit.
Gde R. 123
Système cérébro-spinal n’est pas encore conquis :
La Gnose est alors entrée dans le système de l’élève. Mais la conscience et le feu du serpent, le système cérébro-spinal et la plus grand partie des chakras ne sont pas encore conquis. Ils ne font qu’observer ce premier attouchement gnostique. Ils sont encore reliés à l’ancien champ magnétique. Il est donc clair que cet ancien champ magnétique influence encore fortement notre être entier, âme et corps, situation qui éclaire largement votre état corporel du moment. Beaucoup parmi vous sont nerveux...C’est pourquoi l’élève doit livrer à la Gnose sa volonté, sa mentalité, sa conduite cristallisée en tant qu’expressions et démonstrations de sa conscience. - Comment ? Par le nouveau comportement ! par une vie du Sermon sur la Montagne positive, radicale. Si vous voulez être révolutionnaire, soyez le donc en cela. Vivez une vie véritable du Sermon sur la Montagne, radicalement. Alors le nouveau pouvoir de la Gnose percera votre âme entière et le nouveau comportement, appliqué d’abord comme une méthode, vous deviendra bientôt une seconde nature. Car vous remarquerez que vous n’avez plus à vous forcer en rien. Vous éprouverez ceci : je suis en paix, je peux respirer, tout en moi est harmonieux. Mais si vous cramponnez à l’ancienne nature cela vous deviendra une torture, une impossibilité. Vous êtes ballotté entre deux champs inconciliables.
G.T.P. 178, 179
SYSTÈME de l’âme, celui du corps, système cosmique :
Jean a baptisé votre système :
La conscience est le véritable siège de l’âme. Elle siège dans les sept cavités cérébrales. Le quatrième chandelier, ce centre de conscience le plus important est maintenant relié à cette force. … Dans cette situation deux pouvoirs existent en vous : deux grands-prêtres : premièrement l’ancienne volonté, Authadès. Siégeant toujours au centre du sanctuaire de la tête ; deuxièmement le Pouvoir gnostique, l’Élément gnostique croissant, désigné comme Jean Baptiste, le précurseur de Jésus-Christ… Jean a baptisé votre système, celui du corps, celui de l’âme, votre système cosmique entier, de l’Eau-de-vie gnostique… C’est cela être baptisé de l’eau, être baptisé dans le quatrième chandelier, dont la lumière rayonne au dehors par la cavité frontale. … Si vous suivez cette voix intérieure qui s’adresse à vous avec une grande force et qui a libéré en vous un pouvoir, vous serez baptisé une seconde fois. Vous recevrez alors le baptême du feu, le baptême de la naissance de la Lumière divine… Employez ce pouvoir !
G.T.P. 185, 186
Donner au système cérébro-spinal son rôle véritable : porter la Sagesse absolue qui rayonne du vêtement de Lumière des libérés :
La Pistis Sophia, avec l’Apocalypse, est le plus mystérieux des textes sacrés qui donnèrent naissance au véritable Christianisme gnostique.
Car il existe de nombreux écrits que l’homme religieux prend à la lettre dans la seule dimension historique, bien plus importants sont ceux qui présentent l’aspect universel de la Révélation christique, la splendeur du devenir de l’Homme caché intérieur, l’Homme-Christ en retour vers sa Patrie divine.
Ces textes mystérieux, ces récits initiatiques révélés, selon la Pistis Spohia, par l’enseignement que donna Jésus après Sa résurrection ne concerne pas la conscience ordinaire de l’homme-moi. Ils s’adressent à la conscience supérieure qui doit s’éveiller par un processus menant l’être humain au stade Jean (la préparation du chemin), au stage Jésus (la naissance de l’âme), pour parvenir au stade Christ, la relation rétablie avec l’Esprit.
Jean Van Rijckenborgh nous fait pénétrer dans le monde intérieur de l’homme en qui s’éveille cette conscience supérieure. Tout, dit-il, se passe en relation avec le septuple champ magnétique qui l’entoure afin de donner au système cérébro-spinal son rôle véritable : porter la Sagesse absolue qui rayonne de ce « Vêtement de Lumière » dont la tradition gnostique revêt les libérés.
Car la Pistis Sphia, en un langage allégorique que Jan Van Rijkenborgh explique par la notion de champ magnétique, montre qu’une loi puissante s’efforce de rallumer l’Étincelle de Lumière du cœur pour éveiller le microcosme humain à sa dimension universelle.
Jamais un commentaire, s’appuyant tant sur la structure ésotérique du corps humain que sur la connaissance des propriétés « spirituelles » de l’Atome n’a permis une telle compréhension de ce texte hermétique.
P.S. 4ème de couverture