ÉTAT SANGUIN :
L’état du sang modifié donne lieu à l’édification de structures cellulaires différentes :
Une course est engagée contre la mort. Il s’agit d’une lutte gigantesque qui revêt des formes sans cesse plus puissantes, d’une lutte dont l’issue se devine très facilement. Le potentiel d’intelligence humaine a une limite, et la réserve de possibilités s'épuise; le pouvoir d'assimilation de l’homme ne peut dépasser un certain plafond, et le rêve de tous les temps : un homme sain, inattaquable par la nature de mort, reste un rêve. La crise qui sévit à notre époque est le signe dramatique que l’heure de sa fin est proche. Dans le monde dialectique la lutte pour l’existence ne présente, au cours de longues périodes, aucune phase décisive; c'est une succession de hauts et de bas. Cependant, après de telles périodes, l’adversaire de l’humanité prend très nettement le dessus, et l’humanité entre dans la crise d’une révolte cosmique. L’état maladif croissant de l’humanité, impossible à endiguer, provient de ce que le monde et l’humanité sont saisis par une telle révolte cosmique. Pour les causes dont nous avons parlé dans les chapitres précédents, des forces qui ne proviennent pas de notre nature sont momentanément actives dans notre atmosphère; elles ne peuvent, pour cette raison, se lier à cette nature, ni apporter des propriétés nouvelles à ce qui est de cette nature-ci. Par conséquent ces forces cosmiques sont brisantes et destructrices. La force atmosphérique dont nous parlons est présente en toutes choses. Elle a un pouvoir parfait de pénétration et vient à nous, non seulement d’en haut, mais aussi de bas en haut. Le souffle cosmique dont il est question passe à travers tout. Et des maladies telles que le cancer sont étroitement en rapport avec cela.
Le mot « cancer » attire notre attention sur une force de la lipika, ou être aural, qui exerce son emprise sur les bases de notre existence dialectique. La maladie du cancer attaque fondamentalement ces bases. Par suite de l’augmentation de l’activité des douze forces cosmiques, qui surpassent ainsi l’activité des douze forces planétaires, l'état sanguin est modifié ce qui donne lieu à l’élaboration de globules sanguins différents et, par là, à l’édification de structures cellulaires différentes de la structure ordinaire.
Gde R. 121
C’est la nature et l’état de votre sang qui déterminent l’identification à l’élixir de mort.
En lui se manifeste tout le passé du microcosme. Les occupants successifs de notre microcosme s’y expriment ainsi que les facteurs héréditaires, donc, les occupants successifs des microcosmes de vos parents. Toutes ces voix parlent dans le sang; et tout ce que nos ancêtres innombrables ont fait ou négligé, exerce une influence notoire sur l’état du sang. C’est sur cette base que nous attirons les forces, éthers et autres influences identiques à notre sang et qui vont le nourrir; car le semblable attire le semblable. -Considérez les organes du corps producteurs de sang, la moelle par exemple. Ces organes sont constitués de cellules et ces cellules d’innombrables atomes; et vous savez que chaque atome est un monde en soi. Donc, si le courant sanguin est une rivière de mort - et, c’est le cas - si le fluide sanguin représente une similitude absolue avec la contre-nature - et, c’est encore le cas - alors le principe même de tout ceci réside aussi dans notre être entier : “Jusque dans nos os” dit la Bible; oui, jusque dans chaque fibre, chaque cellule de notre corps. Cela est un fait inéluctable, auquel personne n’échappe et dont il faut tenir compte.
G.O.E. 2 –26 , 27