FÉMININ- MASCULIN
Dans les textes qui suivent, les expressions hommes/femmes doivent se comprendre comme principe féminin & principe masculin, principe reproducteur et principe créateur ou polarité négative et positive. Les définitions ne concernent pas l'homme ou la femme biologique en tant qu'individu.
Mais on pourra comprendre pourquoi les religions mondiales qui n'ont rien compris à la gnose ont fait de la femme une figure du diable.
Le créateur fit l’homme et la femme
- 3 - Les pharisiens l’abordèrent et lui dire pour l’éprouver : Est-il permis à un homme de répudier sa femme pour un motif quelconque ?
- 4 - Il répondit : N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme,
- 5 - et qu’il dit :Cest pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme et les deux ne feront qu’une seule chair ?
- 6 - Ainsi ils ne seront plus deux, mais ils sont une même chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.
- 7 - donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner à la femme une lettre de divorce et de la répudier.
- 8 - Il leur répondit ; c’est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ; au commencement, il n’en était pas ainsi.
- 9 - Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère.
- 10 - Ses disciples lui dirent: Si telle est la condition de l'homme à l'égard de la femme, il n'est pas avantageux de se marier.
- 11 - leur répondit : Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cela est donné.
–12 - Car il y a des eunuques qui le sont dès le ventre de leur mère; il y en a qui le sont devenus par les hommes; et il y en a qui se sont rendus tels eux-mêmes, à cause du royaume des cieux. Que celui qui peut comprendre comprenne.
- 13 - Alors on lui amena des petits enfants, afin qu'il leur imposât les mains et priât pour eux. Mais les disciples les repoussèrent.
- 14 - Et Jésus dit : Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. 15 Il leur imposa les mains, et il partit de là. –
Matthieu 19 / 3
Deux énergies, deux entités, image réfléchie l’une de l’autre, contrairement polarisées, homme -femme formant ensemble une double unité cosmique :
Le lecteur se rappellera que ces deux énergies sont confinées à l’intérieur d’un atome. Dès qu’elles sont libérées, elles doivent librement et dynamiquement travailler ensemble, suivant la pensée qui se trouve à la base de la division de l’atome : elles doivent aussi témoigner de leur vocation divine. –111…
Pour aider à cette représentation, on pourrait penser à une roue. Le technicien prend un morceau de fer, ce qui représente des atomes de fer agglomérés formant ensemble une masse. Il la forge jusqu’à en faire une roue et emploie cela au but qu’il s’est proposé. - Or, le Principe divin se trouvant à la base ‘roue’ est mouvement, rapidité, force de portée, activité. S’il nous était donné de pouvoir diviser les atomes du fer dans la pensée créatrice d’une roue, cette roue possèderait elle-même le mouvement, la rapidité, la force de la portée et l’activité ; il serait alors question d’une roue vivante. – L’électricité est un rayonnement d’atomes déterminés. Si nous savions diviser ces atomes nous aurions une forme vivante qui serait elle-même lumineuse et chauffante. Nous n’aurions plus besoin d’appareil technique afin de rendre lumineux et chauffants le rayonnement de certains atomes.
Tous ces pouvoirs, toutes ces manifestations créatrices sont possibles par la libération des deux énergies contraires de l’atome. – Et nous pourrons également anéantir un peuple en un clin d’œil
Il y a aussi des Atomes Étincelle divine, le noyau de l’homme céleste. À la Genèse étaient présentes dans l’Atome Étincelle divine, de laquelle les hommes sont sortis, deux énergies, deux entités qui étaient l’image réfléchie l’une de l’autre, contrairement polarisées : homme-femme, formant ensemble une double unité cosmique. À l‘aurore de notre création cet atome fut divisé; de formidables forces furent ainsi libérées. Les deux pouvoirs de l’atome durent apprendre à travailler ensemble en liberté et en perfection. C’est en liberté qu’ils auront à se rencontrer à nouveau; non plus comme à l’origine, pour une liaison, mais pour la manifestation de l’Univers : L’Homme-Dieu
en eux.
Les deux énergies de l’Atome-Étincelle divine, en collaboration harmonieuse, sont symboliquement exprimées par ‘l’Arbre de vie’ chacune ayant une activité dissidente par l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
P.E. ch 9/ 113
Deux énergies l’une appelée féminine, s’occupe de l’assimilation et de la croissance, l’autre masculine veille à l’extériorisation et à la manifestation :
Lorsque les deux énergies de l’Étincelle divine sont libérées au cœur du cosmos planétaire, elles sont guidées vers le haut à travers les différents strata. Elles subissent dans chaque stratum un certain processus et accomplissent un travail déterminé au profit de l’ensemble. - Le processus final, le résultat, se développe dans le stratum le plus haut ou supérieur Là nous remarquons comment les deux énergies s’extériorisent en une merveilleuse splendeur, en un résultat final bienheureux et immaculé : la double unité parfaite. Le Plan tout entier qui se trouvait à la base du processus alchimique va révéler sa solution.
Cette béatitude, cet état immaculé parfait, existe dans le stratum supérieur de tout cosmos planétaire. En ce qui concerne notre cosmos terrestre nous appelons ce stratum supérieur : l’Ordre de Dieu, le Royaume des Cieux, la Sphère de Feu supérieure. Dans cette béatitude vivait l’humanité originelle dans la liberté des énergies collaboratrices comme double unité cosmique. L’homme était un enfant de Dieu, vivant dans le jardin de Dieu et se manifestant dans la vie et dans l’Être de Dieu avec toutes ses valeurs et tous ses pouvoirs. – Dans ce Paradis se trouvait ‘l’Arbre de vie’, image des énergies collaboratrices selon le plan de la formule alchimique : santé, force, immortalité, comme valeurs statiques – Mais il s’y trouvait, naturellement, aussi l’arbre de la connaissance du bien et du mal représentant l’arbre défendu, car la perturbation ou le forcement de la collaboration des deux énergies devait occasionner la calamité, le désastre et la mort, comme conséquence naturelle et inévitable de la perturbation du Principe de vie. – Dans le domaine de vie dans lequel nous vivons actuellement, les deux énergies se manifestent encore séparément. - L’une que nous pourrions l’appeler : féminine, s’occupe de l’assimilation et de la croissance; l’autre, ‘masculine’, veille à l’extériorisation et à la manifestation.
P.E. 114,115
Énergie féminine :
Ce qui, maintenant, est le mal était auparavant la deuxième énergie inviolée, l’image opposée de l’autre énergie que nous appelons le bien. Cette deuxième énergie est l’énergie féminine, mais actuellement réduite, mutilée, dégradée. De là vient que l’essence du mal est toujours négative et que l’activité du mal conduit inévitablement à des résultats négatifs
P.E. 116
Le corps du péché dans notre sang est le satanisme de l’énergie féminine :
Lorsque dans le cœur de la terre, les énergies deviennent libres, la sphère, la concentration de substances originelles devient lumineuse. Le sombre feu qui plane sur les eaux s’extériorise en lumière. Cette lumière apporte de la chaleur, de l’ardeur, par conséquent des possibilités de vie : le grand Plan devient visible. –116,117… Cette vie éclairante, palpitante, qui accomplit dans tous les strata un processus, une tâche, peut être comparée à l’âme, au sang, du cosmos planétaire. Ce sang est dans chaque stratum d’une composition particulière, en concordance avec la nature du stratum. Par conséquent il est clair que les entités qui se manifestent dans un certain domaine de vie possèdent du sang en concordance avec le principe-lumière de ce domaine. C’est pourquoi nous avons ici-bas du sang dans lequel s’exprime la séparation de deux énergies. - Notre âme, notre âme-sang, recèle en elle le principe de l’opposition : jour et nuit, bien et mal, lumière et obscurité. Notre âme, notre sang, est par là coupable et entaché de maux de ce stratum. Nos corps sont eux aussi formés selon le même principe de péché, et par là, soumis à la mort. Le gluten, le corps du péché dans notre sang, est le satanisme de l’énergie féminine. (Voir énergie féminine). C’est cette prédisposition de notre sang qui nous lie à la roue de la naissance et de la mort, au stratum de la dialectique; nous y restons jusqu’à ce que, sous la poussée spirituelle du présouvenir nous ayons conscience de notre filiation perdue, nous sondions notre état actuel, nous approfondissions le but de l’Univers et parvenions jusqu’au revirement fondamental, afin de retourner sur cette base à notre Demeure originelle.
P.E. 116 à 118
Le 1er champ de droite du grand sympathique donne l’impulsion a une fonction masculine
– le féminin passe par toutes les variétés du saphir, toutes les couleurs du spectre solaire – le violet de l’améthyste :
Puisque le candidat doit encore, aussi longtemps qu’il est nécessaire, vivre selon la nature, il faut que soit formé dans son corps un second feu du serpent.
La possibilité s’en présente dans le grand sympathique, raison pour laquelle la Sagesse antique parle du grand sympathique comme de la future, de la seconde moelle épinière.
Le sympathique se compose de deux cordons nerveux situés à gauche et à droite de la colonne vertébrale. Il part d’un point situé au-dessus du buble rachidien, point de la jonction des deux cordons du sympathique et de la sphère d’influence directe de la pinéale.
Ces deux cordons du sympathique forment en fait deux champs distincts.
Le premier champ, à droite de la moelle épinière, est créateur. Le champ de gauche a pour fonction de se manifester. Le premier champ donne l’impulsion et a une fonction masculine ; …
H.N.V. ch 5 - 2ème part. 201, 202
Le second réagit et a une fonction féminine passe par toutes les variétés du saphir, toutes les couleurs du spectre solaire
– rouge chez l’homme animal – violet de l’améthyste dans la 5ème marche :
le second réagit et a une fonction féminine. C’est pourquoi les anciens Aryens appelaient « Pingala » le champ masculin du sympathique et « Ida » le champ féminin. - Dans les actes des apôtres, le champ masculin est appelé « Ananias », le champ féminin « Saphira » ou, selon leur signification littérale, le champ de la grâce divine et celui de la merveilleuse beauté. Le champ de rayonnement du champ manifestateur du grand sympathique – le féminin – passe, comme toutes les variétés du saphir, par toutes les couleurs du spectre solaire.
Chez l’homme de la masse la couleur de ce rayonnement est rouge ; chez le candidat de la cinquième marche elle est du violet merveilleux de l’améthyste.
H.N.V. ch V - 2ème part. 201,202
Le principe reproducteur, le principe féminin
– Principe créateur, l’aspect masculin – Les deux principes en nous - principe masculin est positif, le principe féminin négatif :
Sachez d'abord que le mot "cuivre" en hébreu peut aussi se traduire par "serpent". Sachez ensuite que le cuivre, et donc le serpent, est un principe féminin: il vous suffit de penser au cuivre, métal de Vénus. Et le cuivre forme la base de l'alliage appelé airain. - Dans l’âme, dans le potentiel du feu du serpent repose le principe reproducteur, le principe féminin. Cependant, le même système recèle également le principe créateur, c'est-à-dire l'aspect masculin de l'âme.
Dans tout système psychique, dans tout système du feu du serpent, nous apercevons donc deux aspects: le serpent d'airain et celui que l'on nomme le serpent igné, donc respectivement le principe féminin et le principe masculin en nous. On peut dire aussi, sous une forme symbolique, que dans l’arbre de vie habite deux serpents. Chez telle personne le principe masculin est positif et le principe féminin négatif ; en une autre personne ces deux principes sont en ordre inverse…
Pourquoi parle-t-on d'un serpent d'airain?
Sachez d'abord que le mot "cuivre" en hébreu peut aussi se traduire par "serpent". Sachez ensuite que le cuivre, et donc le serpent, est un principe féminin: il vous suffit de penser au cuivre, métal de Vénus. Et le cuivre forme la base de l'alliage appelé airain. - Dans l’âme, dans le potentiel du feu du serpent repose le principe reproducteur, le principe féminin. Cependant, le même système recèle également le principe créateur, c'est-à-dire l'aspect masculin de l'âme.
Dans tout système psychique, dans tout système du feu du serpent, nous apercevons donc deux aspects: le serpent d'airain et celui que l'on nomme le serpent igné, donc respectivement le principe féminin et le principe masculin en nous. On peut dire aussi, sous une forme symbolique, que dans l’arbre de vie habite deux serpents. Chez telle personne le principe masculin est positif et le principe masculin négatif ; en une autre personne ces deux principes sont en ordre inverse.
G.U. 49 à 51 G.U. 49