Quand la décélération cause l'accélération!
par Laurent L'Écuyer
Article paru dans la revue Cheminement de mai/juin 2007
La Terre est en perte de vitesse
Selon les observations des scientifiques, la vitesse de rotation de la Terre sur son axe diminue, ce qui fait que les journées actuelles sont plus longues que les journées d’autrefois. C’est, disent-ils, l’attraction de la Lune sur les masses océaniques qui en est responsable.
Comme nous le savons, notre planète est composée d’un noyau dense, d’une croûte et d’un manteau plus ou moins solides ainsi que d’un magma liquide situé entre le noyau et le manteau. La vitesse de rotation du noyau diffère de celle de la croûte et du manteau. Ce phénomène physique de double vitesse génère un mouvement du magma conducteur d’électricité et crée ce que nous appelons le champ magnétique terrestre.
Or, actuellement et depuis quelques milliers d’années, la vitesse de rotation de la Terre est en chute libre, ce qui a pour effet un effondrement du champ magnétique puisque l’intensité de celui-ci est directement proportionnelle à la vitesse de rotation. Cette intensité a ainsi diminué de 60 % en 2000 ans dont 35 % sur les 30 dernières années.
Nous savons qu’une des principales fonctions du champ magnétique terrestre est la protection de la planète des influences venant de l’espace, particulièrement des bombardements des rayons cosmiques et des particules solaires. Cette diminution de l’intensité de ce champ couplée à l’activité grandissante de l’astre solaire constituent les principales causes du réchauffement planétaire actuel. Celui-ci ne serait pas dû principalement à l’activité humaine.
Nous sommes donc bombardés de plus en plus par toutes sortes de particules cosmiques, dont les tachyons qui ont une vitesse supérieure à celle de la lumière et qui sont issus de ce qu’on appelle le champ d’énergie tachyonique. Ce champ constitue en quelque sorte le substrat universel dans lequel baignent toutes les énergies et la matière dont sont formées les galaxies. Une plus grande présence de ces hautes énergies n’est pas sans nous affecter et nous propulse certainement vers une vie différente de celle que nous connaissons. On pourrait dire qu’elle accélère notre évolution.
En étant ainsi moins protégés de ces influences, nous entrons dans une phase où nos véhicules physique et psychique doivent s’adapter pour survivre puisque tout passage d’un état à un autre engendre un déséquilibre temporaire mais inévitable. La Terre est en train de passer à une autre étape et de changer sa vibration.
Son cœur palpite
Selon les recherches scientifiques, la fréquence de la résonance de Schumann fondamentale – reconnue comme étant le pouls de la Terre – augmente. Il y a quelques années et depuis des millénaires, elle se maintenait aux alentours de 7,8 Hz (vibrations par seconde) et soudainement, elle est rendue à 13 Hz. Ce phénomène est dû, entre autres, à la baisse de la vitesse de rotation planétaire et de l’intensité du champ magnétique de même qu’au bombardement de plus en plus intensif provenant du champ d’énergie tachyonique.
Nous sommes évidemment affectés par ce changement de fréquence important. Chaque cellule, chaque particule de notre corps, possède sa propre fréquence harmonisée depuis des millénaires avec la fréquence terrestre. Cette brusque modification fréquentielle engendre un stress considérable sur tout notre être et notre survie dépendra de notre capacité à nous adapter rapidement à cette nouvelle réalité.
Nous ne parlons pas ici seulement de l’adaptation physique de nos cellules et organes mais aussi de l’adaptation de notre pensée et de notre émotivité ainsi que de notre spiritualité. Et cela s’étend aux relations entre individus, à la société, ses politiques, ses économies, ses valeurs.
Le plus important dans cette adaptation est de préserver la connexion, ou l’ouverture, entre les basses fréquences de notre appareil humain physique et les hautes fréquences du champ d’énergie tachyonique de plus en plus présentes.
Tous ces phénomènes étant naturels et s’étant déjà produits à plusieurs reprises depuis l’origine de la Terre, il est certain que la planète ainsi que la vie qu’elle porte s’en sortiront. Cet événement cyclique n’affecte en rien la pérennité de la vie.
Mais pour l’individu, il en est autrement, car s’il ne parvient pas à s’adapter, il périra. La nature est ainsi faite. C’est pourquoi nous devons rechercher et développer des moyens pour nous aider dans ce processus d’adaptation.
L’évolution accélère
Il y a donc une décélération du mouvement de la Terre et une accélération de sa fréquence. Ces phénomènes produisent des changements de plus en plus rapides à tous les niveaux, physique, psychique et spirituel, ou en d’autres mots, une accélération du processus évolutif.
Les conséquences physiques prévisibles sont :
* Une modification du bouclier magnétique terrestre de protection qui, durant une période de quelques milliers d’années, laissera passer les influences cosmiques et solaires.
* Une inversion possible des pôles magnétiques terrestres – une inversion importante se produisant en moyenne une fois tous les 500,000 ans – due au ralentissement de la vitesse de rotation et à une trop grande perturbation du champ magnétique, inversion qui viendra « déboussoler » nos technologies modernes.
* Un bouleversement climatique à l’échelle du globe dû à l’exposition différente de la Terre au rayonnement solaire et à l’inversion possible des pôles magnétiques.
Les conséquences psychologiques sur les êtres vivants devraient être :
* Une perte de repères due au dérèglement progressif mais rapide des rythmes psychobiologiques qui sont en relation étroite avec les rythmes de la planète.
* Une altération des perceptions sensorielles et du fonctionnement cognitif due aux variations intenses et soudaines de l’activité électromagnétique terrestre.
* Une réorganisation de la psyché nécessitée par tous ces bouleversements.
Notre façon, en tant qu’individu ou collectivité, de réagir à ce déséquilibre va déterminer la qualité de notre passage dans cette nouvelle vibration. Plus nous serons en harmonie avec les nouvelles énergies, plus nous pourrons facilement passer à travers ce chaos temporaire et nous adapter à cette fréquence plus élevée.
Notre capacité d’adaptation dépendra d’abord de notre ouverture d’esprit, de la prise de conscience que nous ne sommes pas, en tant qu’humains, des êtres supérieurs, dominateurs et indépendants mais que nous faisons partie d’un tout et que nous sommes tout simplement des maillons de la grande chaîne cosmique. Notre mentalité devra s’assouplir pour accepter le fait que ces changements naturels font partie d’un plan infiniment plus vaste que nous, à défaut de quoi nous pourrions en être perturbés et avoir de la difficulté à compléter le passage.
Sur le plan évolutif
Dans cette démarche adaptative, nous pouvons aussi profiter des outils que la tradition spirituelle et la science moderne mettent à notre disposition. Des techniques d’autoréalisation comme la méditation, le yoga ou le tai-chi en sont des exemples. Des technologies nouvelles favorisant l’induction d’une fréquence désirée, l’harmonisation de nos fréquences à celles du champ d’énergie tachyonique, ainsi que la protection contre les pollutions vibratoires environnantes provenant de nos maisons, voitures et lieux de travail super-électrisés, de la téléphonie mobile, des radars, des fours à micro-ondes en sont d’autres exemples.
Voilà notre défi en ce début du 21e siècle. Saurons-nous le relever ?