L’introduction de toutes les particules de l’univers, nous amène à un phenomene très nouveau au niveau de la création de matière et de l’antimatière. Ce phenomene est nommée: La Matérialisation.
Sachant que une particule de matière réagis avec une particule d’antimatière pour nous donner une énergie, met en question si la matière peut être crée a partir de l’énergie ou même la création de matière a partir du vide exprimées pas les théories de Heisenberg et de Planck.
En effet, la matérialisation n’est que le phenomene inverse de la dématérialisation.
Dématérialisation: Matière et antimatière s’unissent pour se transformer en énergie.
Matérialisation: Une quantité d’énergie se sépare en matière et antimatière.
Theories de la mécanique quantique
le physicien allemand Werner Heisenberg est le père de cette loi (parfois aussi nommée principe d'incertitude), que nous dit ce principe ? Qu’il est impossible de déterminer avec précision et simultanément la position et la vitesse d'une particule comme l'électron. La notion de trajectoire exacte n'a pas de sens pour les particules. Ce paradoxe quantique (encore un !) est lié à la difficulté d'observer un électron...
Comment observer un électron ?
On ne peut observer quelque chose qu'en l'éclairant avec de la lumière. Or à l'échelle de l'infiniment petit, cela pose un problème tout à fait nouveau. Le moindre photon qui percute ou interagit avec un électron va modifier la trajectoire initiale de ce dernier ou le faire changer d'orbitale. A cette échelle, le photon devient un projectile qui pourra déterminer la position de l'électron, mais qui aura en même temps modifié sa vitesse et sa trajectoire; celle ci ne pourra donc pas être connue en même temps. La moindre mesure interfère avec l'objet de la mesure... et la change! Donc, le principe de Heisenberg et de Planck intervient: il est impossible de savoir la position ET la vitesse d’un même objet quand sa vitesse rapproche celle de la vitesse de la lumière.
Structure des particules:
Électrons
muons
tau
neutrinos électroniques
neutrinos muoniques
neutrinos tauniques
quarks up
quarks strange
quarks bottom ou beauty
quarks down
quarks charmed
quarks top
neutrons
protons
lambda
sigma
ksi
oméga
pions
kaons
eta
rho
phi
D
J/Psi
B
Upsilon
photon
gluon
graviton
Z0
W-
W+
Théorie des Univers parallèles
Théorie de la relativité restreinte
Elle fut publiée par Einstein en 1905.Voici quelques aspects de cette théorie à retenir:
Tout d'abord, elle repose sur une analyse critique des notions d'espace et de temps, rendue nécessaire par la contradiction de la mécanique classique et de l'électromagnétisme.
Einstein remit en cause les notions de temps absolu et d'espace universel et en particulier la notion de simultanéité de deux évènements se produisant en des lieux différents: En clair, cela signifie que deux évènements pourront être simultanés pour un observateur placé dans un repère R sans l'être pour un observateur placé dans un repère R' en mouvement par rapport à R
De toute cette théorie, Einstein propose en 1905 les postulats de la relativité restreinte. Il y a quelques postulats qu'il est important de retenir:
Rien ne se déplace plus vite que la vitesse de la lumière et seuls les photons ou d'autres particules sans masses intrinsèques peuvent l'atteindre.
Non-existence du repos absolu dans l'Univers. Einstein postula que deux observateurs, se déplaçant l'un par rapport à l'autre à une vitesse constante, observent des «lois de la nature» identiques. Toutefois, l'un des observateurs peut enregistrer deux événements sur des étoiles éloignées comme s'ils avaient lieu simultanément, pendant que le second observateur constate qu'un événement s'est produit avant l'autre. Cette divergence des observations n'est pas une objection valable à la théorie de la relativité. En effet, selon cette dernière, la simultanéité n'existe pas pour des événements éloignés. En d'autres termes, il est impossible de seulement spécifier le moment où l'événement se produit, sans préciser l'endroit où il a lieu. La «distance» ou l'«intervalle» entre deux événements peut être décrit exactement en combinant les intervalles de temps et d'espace, mais pas par l'un ou l'autre séparément. L'espace-temps à quatre dimensions (trois dimensions pour l'espace et une pour le temps), dans lequel tous les événements de l'Univers ont lieu, est appelé continuum espace-temps. Dans cet espace, le mouvement spatio-temporel d'un corps est décrit par sa ligne universelle.
Il n'y a pas de temps absolu : Il n'y a aucune raison théorique que la même montre mise entre les mains de deux observateurs différents (qui sont placés dans des lieux différents) indique la même heure.
On apprend donc grâce à la relativité restreinte que le temps "ralentit" dans un repère en mouvement, autrement dit que plus un objet se déplace vite, plus le temps s'écoule lentement pour lui...on peut illustrer ceci grâce au célèbre exemple du paradoxe des jumeaux de Langevin:
Imaginons que Julien et Aurélien soient deux jumeaux de 20 ans habitant sur la Terre...Julien décide d'embarquer dans une fusée spatiale alors qu'Aurélien reste sur Terre...imaginons maintenant que Julien voyage à une vitesse ultra-rapide à bord de sa fusée (disons 2/3 de la vitesse de la lumière)...Julien reste deux ans dans sa fusée qui voyage à une vitesse ultra-rapide et décide de rentrer sur Terre...pour lui, deux ans se sont écoulés ce qui lui fait 22 ans...quand il rentre sur Terre, il est stupéfait car il découvre que son frère est devenu un vieillard...sur Terre, plusieurs dizaines d'années se sont écoulées...
Le mot de paradoxe découle du raisonnement naïf (et faux) voulant que l'effet soit symétrique (sous le prétexte qu'en relativité une vitesse n'a aucun caractère absolu), ce qui aboutit à une situation contradictoire. En effet, en appliquant les mêmes arguments à son frère voyageant «par rapport à lui» dans l'espace (son frère s'éloigne puis se rapproche), Julien pourrait en conclure que c'est Aurélien, et non lui-même, qui serait le plus jeune lors des retrouvailles. Il aurait tort. En réalité l'aventure n'a rien de symétrique : c'est bien Aurélien qui bouge. La fusée doit notamment faire demi-tour pour revenir sur Terre, manœuvre entraînant un changement complet de repère (techniquement parlant on parle de changement de repère «galiléen»), alors que rien ne vient troubler la quiétude d'Aurélien sur Terre. Autrement dit encore, si un seul système de référence (galiléen, c'est-à-dire en mouvement uniforme) suffit à repérer Aurélien (et on peut le choisir de façon telle qu'il y reste constamment au repos), il en faut au moins deux pour repérer la fusée de Julien, un à l'aller, un autre au retour (et Julien doit impérativement changer de système de référence si il veut rester au repos dans chacun des repères successifs).
Pour expliquer la différence d'âge, prenons comme base un énorme phare dans l'espace de sorte qu'il soit visible de la Terre et de la fusée (on pourrait prendre un pulsar...). Considérons qu'en une seconde écoulée sur Terre, il y ait un éclair de phare...on remarque qu'à l'intérieur de la fusée, en 100 secondes lues sur les cadrans, on comptera non pas les 100 éclairs attendus mais 110. Comme le phare n'a pas modifié son rythme intrinsèque du seul fait du déplacement de la fusée, nous en concluons qu'en sens inverse ce sont les horloges embarquées qui se sont mises à battre plus lentement : à 110 éclairs du phare correspondent non pas 110 secondes lues (comme sur Terre) mais seulement 100. Autrement dit, à un certain temps en fusée mesuré avec les appareils embarqués (100 secondes) correspond un temps terrestre plus long (110 secondes).
Pour en revenir à l'horloge que constitue le phare, Julien et Aurélien auront (évidemment) compté les mêmes nombres d'éclairs. Comment se fait-il alors que Julien se retrouve plus jeune qu'Aurélien ? Tout simplement parce qu'il aura vu l'objet pulser plus rapidement dans un laps de temps plus court. Ceci compense cela.
Cette théorie fut complétée en 1916 par la théorie de la relativité générale :
Cette dernière nous apprend que l'espace-temps, qui comprend les trois dimensions d'espace plus une quatrième qui est le temps, est courbé au voisinage d'une masse et que le mouvement d'une particule au voisinage de cette masse s'effectue suivant le chemin le plus court dans cet espace-temps.
Et en manipulant les théories de la relativité, on remarque qu'il est théoriquement possible de trouver des objets assez lourds et denses pour pouvoir faire un trou dans l'espace-temps. Il se formerait ainsi des trous noirs, appelés aussi singularités, qui rendraient le voyage dans des réalités alternatives possible.
Les trous noirs et les trous de ver
Formation d'un trou noir
Au cours de sa vie, une étoile dégage de l'énergie par fusion thermonucléaire en créant une pression suffisante pour compenser les effets de la gravitation. Lorsque son combustible est épuisé, cette pression diminue et l'étoile commence à s'effondrer sur elle-même. Lorsque l'étoile est très massive (environ 10 fois la masse du soleil), l'effondrement est radical, la densité devient gigantesque, et le champ gravitationnel retient les photons (ce qui explique pourquoi nous ne pouvons pas voir un trou noir...ceci explique probablement le nom lui-même). Cependant, ils peuvent tous de même être détectés par leur effets secondaires s'ils appartiennent à un système composé de plusieurs étoiles ou par l'action de leur champ de gravitation sur les étoiles voisines (il y en aurait d'ailleurs sûrement un au centre de notre galaxie.
D'après le physicien britannique Stephen Hawking, de nombreux trous noirs seraient apparus lors de la formation de l'Univers. S'il en est ainsi, la plupart de ces trous noirs sont trop éloignés de toute matière pour pouvoir former des disques d'accrétion décelables! Cependant, ils représenteraient une portion significative de la masse totale de l'Univers. Hawking a également supposé que les trous noirs forment des «couloirs d'échappement» vers d'autres univers distincts du nôtre.
.Les fans de X-Files (et j'en fais parti) ont sûrement vu l'épisode intitulé Tungunska...on y apprend qu'en 1908, il s'y serait produit phénomène cosmique d'une ampleur extraordinaire...
météorite??? (Peu probable car aucun fragment ni cratère n'a été retrouvé).
Antimatière???
Trou noir??? (Cette hypothèse, bien que plutôt audacieuse est assez extraordinaire et n'est pas inconcevable: un mini trou noir de quelques millimètres de diamètre aurait heurté la Terre pour la traverser complètement et ressortir dans l'Atlantique nord)
Les trous de ver
Albert Einstein et Nathan Rosen supposèrent que certains trous noirs (ou puits gravitationnels) pouvaient déboucher sur un autre puits symétrique appelé fontaine blanche.
Ce passage est appelé trou de ver (Wormhole en anglais) ou également pont Einstein-Rosen-Podolski (appelé plus couramment pont Einstein-Rosen. Les fontaines blanches déboucheraient en un à point de l'espace et du temps complétement différent du point d'entrée dans le trou noir.
Les univers parallèles
Leur existence est prouvée en physique quantique dont le principal concept est le suivant:
On ne peut pas connaître simultanément la position et la vitesse d'une particule...c'est le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg.
La création des univers parallèles peut s'expliquer par le très bon exemple du chat de Schrödinger:
Imaginons un chat piégé dans une pièce sans fenêtres. A l'intérieur de cette pièce se trouve une capsule de cyanure prête à être brisée par un marteau. Imaginons que le basculement du marteau (qui éclaterait la capsule) soit déclenché par un photon, simple particule de lumière projetée vers un miroir semi transparent. Un tel miroir laisse passer le photon une fois sur deux. Si la particule traverse le miroir, le mécanisme se déclenche, si elle se réfléchit sur le miroir, rien ne se passe. La probabilité que l'un des deux évènements se produise est donc 1/2. Il y a donc une chance sur deux que le chat trépasse.
Là où les choses se compliquent, c'est qu'en physique quantique, une particule s'apparente non seulement à une particule mais aussi à une onde. Cette onde s'étale dans l'espace à la façon des vagues à la surface de l'eau quand on y jette un caillou. Le photon désigne aussi une onde et son aspect ondulatoire lui confère la propriété de se trouver en de multiples endroits à la fois. Le photon a donc la capacité de traverser le miroir et au même moment, d'y rebondir. Les deux possibilités coexistent et comme le destin du chat se trouve intimement lié à l'attitude du photon, on en déduit que le chat est à la fois mort (car le photon traverse le miroir) et vivant (car il rebondit dessus).
Mais bien sûr, une telle situation est inimaginable et physiquement impossible...la solution apportée est la suivante:
A chaque instant qu'une particule peut avoir plusieurs états simultanément, il se crée des univers correspondant aux différents états possibles. Il existerait donc un univers où le chat est mort et un autre où le chat est vivant et l'univers depuis lequel on observe ceci serait choisit aléatoirement.
C'est là que la série Sliders devient de la "science-fiction" car il n'est pas possible de voir ces univers et encore moins possible de voyager entre. Ces univers parallèles n'ont probablement pas les mêmes lois physiques que le notre. Il est donc tout à fait possible d'imaginer un univers dans lequel la flèche du temps ne pointe pas vers l'avenir mais vers le passé, ou encore un univers à 30 dimensions...Cependant, certains physiciens affirment qu'il est possible qu'il se crée en certains points de l'univers d'autres univers à partir des trous noirs...dans ce cas pourquoi ne pas voyager dans un trou de ver????
...pour la simple et bonne raison qu'il existe 2 problèmes fondamentaux:
Le premier problème que l'on rencontrerait pour utiliser le pont Einstein-Rosen-Podolski serait de le trouver. En effet même s'il existe, ce n'est qu'à l'échelle microscopique...il ne mesurerait que 10e-43 cm et ne resterait stable que 10e-35 secondes
Cependant en 1985, Kip Thorne montra que la seule manière de préserver la stabilité structurelle d'un trou noir serait de le tapisser d'une matière antigravitationnelle...ce qui produirait un champ anti-gravitationnel...or justement, en 1996, ce phénomène à été mis en évidence expérimentalement...il porte le nom d'effet Casimir. Si l'on impose un fort champ électrique entre deux plaques séparées par le vide, le champ impose au vide une telle tension qu'il l'oblige à fluctuer jusqu'à ce qu'il donne naissance à des électrons...ce qui revient à extraire de l'énergie du vide...qui ne peut-être que négative.
Le deuxième problème est de rentrer en toute sécurité dans le trou noir (sans être attiré vers la singularité de densité infinie et être ainsi littéralement broyé).
Là encore, en 1963, Roy Kerr apporta une solution à ce problème: il prétendit que les trous noirs tournent autour d'un axe central (comme un cyclone)...ce qui permet de définir un point par lequel il est possible de rentrer en toute sécurité...car ce point serait dénué de toute force gravitationnelle.
Enfin, même si Quinn Mallory refuse de l'admettre, les trous de vers pourraient non seulement nous faire voyager vers des univers parallèles mais également à travers le temps (ce qui n'est pas contradictoire lorsqu’on sait que l'espace et le temps sont intimement liés)
Les Editions du Septénaire cherchent à rendre accessibles au public les ouvrages relevant du courant gnostique, mettant en lumière cette Sagesse mystérieuse présente de tout temps, de manière sous-jacente au monde. On le dit gnostique, car il véhicule une connaissance concernant l’homme et son possible retour vers une patrie divine. Ce savoir, enfoui au cœur du monde et au cœur de l’homme a nourri bon nombre de Sages, donné naissance à des Ecoles des Mystères et influencé à des degrés divers des philosophes, des scientifiques, des romanciers, des écrivains