Catholicisme romain
Différences forme cultures et traduction bibliques chez les catholiques romains, grecs orthodoxes, luthériens, anglicans, calvinistes ou autres orientations…
« Problèmes et possibilités du chercheur chrétien à l’ère du Verseau »
Examinons aujourd'hui plus en détail les perspectives psychiques et spirituelles pour l'homme occidental de l'ère du Verseau. - 2 - L'occidental vit en Europe de l'ouest, mais aussi en Amérique du nord et du sud, dans les traditions religieuses regroupées sous le qualificatif de « chrétiennes ». Un examen plus approfondi fait cependant douter de la réalité « chrétienne », au sens originel de ce terme, des multiples phénomènes de l'occident « chrétien ».
Le Lectorium Rosicrucianum se base, pour cet examen, sur le haut idéal que le Christ lui-même a mis devant les yeux de l'homme qui cherche Dieu. Ce haut idéal chrétien est ce rayonnant état d'être et de conscience psychique et spirituel qui, il y a 2000 ans, fut transmis et révélé à l'humanité, et donné à chaque homme d'imiter. Pour le chercheur occidental, ce haut but humain semble cependant s'être perdu dans les églises établies, les sectes et les courants spirituels. – 2 –
Dans la civilisation occidentale, le chercheur de vérité intemporelle, de Lumière et de Force divines, a un long et fatigant voyage à faire s'il cherche le vrai Christ, l'Esprit de Dieu, dans les églises ou les sectes. Les formes de culture, et les forces mystiques qu'elles génèrent, sont aussi différentes que la plupart des traductions bibliques chez les catholiques romains, par exemple, les grecs orthodoxes, les luthériens, les anglicans, les calvinistes ou les autres orientations. Ceci est également perceptible en ce qui concerne les différentes formes de professions de foi. – 3 -
Où est la vision intérieure unificatrice? Où est l'unique force de foi et la lumière de l'espérance, exemptes de toutes ténèbres et de toutes contradictions? Où le chercheur éprouve-t-il l'irremplaçable attouchement de l'Esprit Septuple, dans le cœur et dans la tête, dont il puisse parler avec une certitude intérieure totale comme d'une religion, d'une liaison rétablie avec le courant de la Lumière et de la Force divines? Où trouve-t-il la base d'une solide compréhension de l'acte juste ? Et la force de mettre en pratique, en tant qu'homme, la notion d'acte juste comme elle est indiquée, par exemple, dans le Sermon sur la Montagne? – 3
Pent. Juillet Août 1986 / 2 à 11