Franc-Maçonnerie de la Pierre Angulaire
Sens de la Franc-maçonnerie de la Pierre Angulaire ; Vends tout et suis Moi :
Quand le vrai Soleil de l'Esprit nous appelle et que nous suivons cet appel nous devons, en même temps, abandonner quelque chose, l'infra-rouge étant toujours accompagné de l'ultra-violet. Ceci est le sens de la parole: « Va, vends tout ce que tu possèdes, et suis-Moi . » Ceci est le sens de la franc-maçonnerie de la Pierre Angulaire. Celui qui veut construire sur la Pierre d'Angle, sur la Lumière du Soleil Divin, a le devoir de tenir compte des deux activités de cette Lumière: démolir et construire, perdre et gagner!
Cette double activité de la Lumière Divine est d'une signification incroyable dans votre vie. Elle est d'une signification telle que vous pouvez expliquer par elle toutes vos expériences. Chaque page du livre de votre vie est écrite par ces influences. Votre situation particulière, en tant qu'élève, travailleur, homme, femme, vos rapports avec autrui et avec la société, s'expliquent par cela. Il est évident qu'en tant qu'élève de l'Ecole Spirituelle vous vous exposez à l'activité vigoureuse de la double Lumière Divine. De même qu'un miroir concave peut réfléchir la lumière du soleil terrestre et former un foyer, notre Ecole elle aussi forme un foyer pour la Lumière Divine,..
H.N.V.14
Il s’agit d’un processus de franc-maçonnerie :
1 - L'École de la Rose-Croix d'Or est, premièrement, un Champ de Force, c'est-à-dire qu'une influence de nature gnostique s'y exerce sur l'élève, de l'extérieur.
2 - Deuxièmement, l'objectif est de donner l'enseignement à l'aide de cette Force. Si l'élève ne réagit pas à la Force, alors l'enseignement perd son sens.
3 -Troisièmement, la manifestation du Corps Vivant de 1' École de la Rose-Croix d'Or témoigne de l'apprentissage, si l'élève réagit à cette force de la manière requise. L'École Spirituelle est donc là pour instruire, rayonner la Force-Lumière et la relier magiquement au candidat. Il s'agit d'un processus de franc-maçonnerie, auquel chaque élève peut prendre part de sa propre autorité, à condition de s'en tenir à l'Ordre supérieur de 1' École.
Si le candidat réagit de la juste manière à la Force gnostique, donc préserve ainsi l'Ordre sublime des Mystères, il est admis parmi les frères et soeurs du Treizième Eon. Il est, existentiellement, non seulement relié au Treizième Eon, mais il y est aussi admis.
Lorsque le candidat travaille sur cette triple base de l'École Spirituelle, alors son œuvre a pour fondement les grâces qui lui sont envoyées. Admis dans un chantier de la franc-maçonnerie, il y accomplit son œuvre et parcourt son chemin avec une Force qui n'est pas de ce monde. Le chapitre 30 de la Pistis Sophia n'a pas trait à quelqu'un dont le développement serait, de façon incompréhensible, plus avancé que le vôtre. Non, c'est de vous qu'il s'agit!
P.S. 355
Pierres de construction du travail de Franc-maçonnerie :
Dans le champ de force, sont libérés les éthers du renouvellement, dans les Temples et les foyers de l’École, d’une manière directe, de sorte que l’élève peut réaliser son processus de revirement fondamental.
Tout est orienté dans le champ de force de l’École spirituelle, et toute l’attention est portée pour la sauvegarde des conditions telles que les essences spirituelles du Soleil spirituel peuvent se révéler.
Ce sont les éthers du renouveau qui forment les pierres de construction du travail de Franc-maçonnerie. Ces purs effets éthériques possèdent un curieux pouvoirs. Quand nous les assimilons et les employons de la juste manière, d’une façon harmonieuse, la clef vibratoire de notre être se modifie. Les atomes de notre état véhiculaire sont ainsi entraînés dans un processus d’accélération qui change totalement la vie et son orientation ? Nous rétablissons intérieurement l’harmonie avec le champ de rayonnement du Soleil spirituel et comprenons ainsi à nouveau l’Intention divine. Notre vie ne sera plus alors une goutte de conscience isolée, mis nous retournerons à l’océan de vie spirituelle d’où provient jadis notre foyer spirituel. Le conflit entre le temps et l’espace se résoudra en nous.
Pent. n°1-1980/13, 14