Par ailleurs, l'OMS acquiert une nouvelle autorité mondiale à une échelle sans précédent en cas de pandémie.
Dans de cadre des plans pandémiques spéciaux décrétés dans le monde entier, en particulier aux États-Unis en 2005, en cas d'urgence pandémique, les gouvernements nationaux doivent être dissous et remplacés par des comités de crise, qui prennent en charge les infrastructures de santé et de sécurité des pays, et qui relèvent de l'OMS et de l'Union Européenne en Europe et de l'OMS et des Nations Unies en Amérique du Nord.
Si le
Model Emergency Health Powers Act est mis en œuvre sur instructions de l’OMS, refuser le vaccin sera un délit pénal pour les Étasuniens. La police est autorisée à utiliser la force brutale contre les suspects « criminels. »
Grâce au contrôle de cette crise pandémique spéciale et aux comités dotés du pouvoir de promulguer une législation pour l’instaurer dans la plupart des pays, l'OMS, l'ONU et l'UE deviennent de facto le gouvernement d'une grande partie du monde.
La grande quantité de morts entraînera aussi l'effondrement économique et des bouleversements, la famine et la guerre, et ces événements provoqueront encore plus de réduction de la population.
Pour résumer : l'OMS contribue à créer et ensuite à propager une pandémie virale mortelle. Celle-ci permet à OMS de prendre le contrôle des gouvernements d’Amérique du Nord et d’Europe, et d’ordonner aussi la vaccination obligatoire des populations, par ces mêmes compagnies qui ont d’abord créé et propagé le virus mortel. Et tout ça sous le prétexte de protéger les populations contre la pandémie qu’ils ont créée.
Les principaux médias, possédés par ce même groupe d’« élite » qui finance l'OMS, cachent systématiquement au grand public la nature du danger réel de ces injections de H1N1, en retenant les informations essentielles concernant l'interdépendance des agissements à leur propre profit de ce groupe d'organisations.
En conséquence, la plupart des gens croient encore que le virus H1N1 est une grippe porcine naturelle, alors que même l'OMS a officiellement abandonné le terme « porcin » dans une tactique de reconnaissance de son origine artificielle.
La plupart des gens pensent encore que les compagnies pharmaceutiques peuvent fournir un remède, alors qu’elles sont en train de préparer une série de piqûres létales, contenant le virus vivant atténué, des métaux toxiques et d'autres poisons.
Les deux piqûres de H1N1 sont conçues pour endommager le système immunitaire et ensuite l’attaquer avec un virus vivant, dans un processus qui reflète celui décrit par deux mémoires de 1972 de l'OMS, où ont été définis les moyens techniques pour transformer les vaccins en tueurs.
Le Mémorandum Strecker révèle aussi que l'OMS a recherché activement des moyens pour affaiblir le système immunitaire.
La meilleure protection contre le virus H1N1, qui a été libéré et qui deviendra inévitablement de plus en plus mortel puisqu’il mutera en automne, est l'argent colloïdal et aussi les vitamines pour renforcer le système immunitaire, les masques et les autres mesures de ce genre [le
chlorure de magnésium améliore beaucoup le « terrain, » ce qui renforce la résistance aux micro-organismes, ndt].
Mais aucun des gouvernements d’Amérique du Nord ou d’Europe n’a fait des provisions d'argent colloïdal ni préconisé des mesures de santé judicieuses pour contenir la prochaine vague meurtrière.
Il y a à la place de plus en plus de signes montrant qu’ils utiliseront la panique pour effrayer les gens afin qu’ils acceptent les vaccins toxiques, qui sont sûrs de provoquer des lésions ou des dommages uniquement grâce à la présence de métaux lourds.
Cette campagne de vaccination de masse permettra même l’émergence d’une souche plus mortelle et fournira une couverture pour la libération des virus de la grippe aviaire ou d'autres agents pathogènes.
C’est pourquoi des mesures doivent être prises maintenant pour arrêter la vaccination de masse prévue cet automne, en intentant une action en justice pour bloquer la distribution des vaccins et/ou les lois gouvernementales forçant les gens à accepter la vaccination.
Une enquête sur cette association criminelle internationale corporatiste doit être conduite dans chaque pays, car ses tentacules sont partout. Pour essayer de lancer cela aux États-Unis, j’ai déposé en juin des charges auprès du FBI contre l'OMS et l'ONU, entre autres accusés. J’ai inclus le Président Obama parmi les accusés car je pense que le moment est venu d'identifier et d'isoler les principaux membres de ce groupe criminel international corporatiste, qui a annexé de hautes fonctions dans le gouvernement des Etats-Unis, et de les mettre en prison une fois pour toutes, et il existe des rapports, qui doivent être étudiés par les autorités, selon lesquels Obama a des liens financiers directs avec Baxter.
Il existe des preuves selon lesquelles la ministre autrichienne de la Santé et d'autres fonctionnaires ont aidé Baxter à dissimuler ses traces.
Il existe aussi des preuves évidentes montrant qu’une partie des médias autrichiens sont activement impliqués dans la propagation de mensonges et de désinformation pour bercer les gens dans un faux sentiment de sécurité concernant la fabrication et la distribution par Baxter d'un matériel pandémique ce février en Autriche.
C’est une nécessité vitale pour les individus et les collectivités locales de prendre des mesures efficaces pour se protéger contre la prochaine vague mortelle de virus H1N1 afin de minimiser son impact.
Pour trouver des informations sur les accusations que j'ai déposées à ce jour en allemand et en anglais, en Autriche et auprès du FBI, vous pouvez vérifier le
site wakenews.
Original : www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=14475
Traduction libre de Pétrus Lombard pour
Alter Info