Les deux univers (I)
Supposons un observateur immobile. Il observe une particule qui se déplace par rapport à lui avec une grande vitesse, mais inférieure à celle de la lumière. D’après la relativité, l’énergie de cette particule mesurée par lui est beaucoup plus grande que celle qu’elle aurait si elle était immobile et qui serait
E = mc2. Plus la vitesse se rapproche de celle de la lumière, plus l’énergie mesurée est grande. Pour atteindre la vitesse de la lumière, il faudrait une énergie infinie, ce qui n’a pas de sens en physique ; de même, pour la dépasser, il faudrait une énergie ‘imaginaire’, ce qui n’a pas plus de signification physique.
C’est alors qu’un physicien, G. Feinberg, a l’idée de supposer qu’il existe de l’autre côté du mur de la lumière des particules qui iraient toujours plus vite que la lumière. En se basant sur les formules habituelles de la relativité, il montre que de telles particules auraient une énergie et une quantité de mouvement (des impulsions) réelles, donc mesurables par un physicien. Feinberg appelle ces particules hypothétiques des tachyons (du grec tachus, rapide), le nom de bradyons (du grec bradus, lent) étant réservé à toutes les particules sub-lumineuses. Quant aux particules justes égales à la vitesse de la lumière, il les nomme des luxons. Naturellement, parmi celles-ci se trouve le photon, ou quantum de lumière.
Feinberg décrit également les propriétés étranges qu’auraient les tachyons. Par exemple, à mesure que la vitesse d’un tachyon augmente, son énergie diminue ; si sa vitesse est infinie, son énergie devient nulle. Pour les tachyons, la vitesse de la lumière constitue la limite inférieure, les photons se déplaçant alors pour eux et comparativement à la vitesse des escargots !
Le mur de la lumière constituerait alors bien la frontière séparant deux univers, celui des particules sub-lumineuses, le nôtre, et celui des particules superlumineuses, tachyoniques. Le mur de la lumière constituant un univers de la limite en lui-même, le cercle ‘on ne passe pas’ en quelque sorte. En effet, dans cette conception, il semble impossible à une particule d’un type donné de passer de l’autre côté du mur.
Un réel problème se pose alors aux physiciens : Si ces tachyons existaient, que deviendrait la loi de la causalité, celle qui veut par exemple que je ne puisse pas naître avant mes parents ? En effet, on peut montrer qu’avec une physique tachyonique il serait possible d’observer des phénomènes d’inversion temporelle, c’est-à-dire l’occurrence d’un événement apparaissant avant sa cause. Mais est-ce suffisant pour rejeter cette hypothèse?
Sources: http://gnoseetscience.blogspirit.com/les_deux_univers/
Commentaires poétique d'un point de vue gnostique
Ainsi nous entrons dans le monde inversé de la physique pour entrer dans le supra-mental.
Le temps et l'espace ainsi que la loi de causalité s'anéantissent une fois atteint la vitesse de la lumière.
Cette loi s'applique également à la personnalité humaine mais inversement. Le champs magnétique gnostique vibrant à grande vitesse accélère le temps intérieur permettant les résolutions karmiques ou leur effacement par dissolution des aggloméras psychique et de la mémoire.
Comme pour le monde physique dans les plans psychiques la distinction objet/sujet s'anéantie.
Les particules à hautes énergie anéantissent les corps psychiques.
Toute matérialité se décorpuscularise. La matière se dissout libérant l'information originelle qui reconstruit de l'autre côté du mur quantique l'être originel qui est déjà la. Paradoxe, l'homme divin est mort dans la matière et il renait de cette matière, mais il était, il est et il sera. Paradoxe mais non contradiction qu'il se doit d'intégrer dans la conscience.
Les chakras sont arrêtés, le temps est suspendu dans un non-espace.
Puis tout s'inverse. L'être double apparait. Il n'est pas temps de partir, mais d'annoncer le feu a l'humanité et d'offrir ce qui a été donné.